jeudi 13 décembre 2007

La pie voleuse va rendre gorge

La pie voleuse va rendre gorge


 


 

La vieille pie voleuse a du souci à se faire, jusqu'ici elle entassait ses richesses dans son nid plein au ras bord de toutes ses voleries depuis des millénaires et y'en avait et y'en avait même que depuis qu'elle était revenue chez nous j'veux dire au Machin elle en entassait encore plus et plus et plus, elle se filait sous la table et ramassait tout ce qui tombait, il fallait la retenir par les plumes de la queue et la secouer pour qu'elle rende ce qu'elle volait, un peigne au glabre, un ergot pointu à la Méchante Mégère, une nuisette à troutrou à Pocpoc la bécassine…la baudruche qu'à un caractère de cochon, elle en a eu marre et lui a envoyé à domicile le chef des gendarmes merles gris, celui qui est bourru et malotrus…comme elle « hé, qu'il lui a dit, tu me rends tout ce que t'as volé vieille chouette » « houhouhou » s'écrie la chouette de son arbre, c'est pas une chouette, elle nous déshonorerait c'est une sale pie voleuse et méchante ». On s'en fout, c'que j'veux c'est qu'elle déballe ses voleries et tout ce qu'elle a pris depuis des millénaires de pie ». Et de l'empoigner comme un vieux sac. Gnagnagna    gnagna,elle perd ses dents de rage gnagnagna, lâche-moi, affreux jojo ». J'm'appelle pas Jojo mais Merlo et Merlolui balance un marron d'Inde qui fait splash, dame c'est du mou…. « . Ta gueule ! » Et il lui file un autre marron pas d'Inde cette fois, qui l'assomme d'un coup. Ouf ! Furieuse la vieille pie quand elle apprend ça alors qu'elle posait son auguste popotin au CA, fière comme Artaban, elle se jette sur sa voisine la plus proche au hasard, pas de pot, c'est Geogeo les belles mirettes, une pauvre vieille pie un peu passée et même trépassée qui n'y est pour rien et qui se met à hurler comme si on la violait ce qui hélas n'a pas du lui arriver depuis des lustres : «  snif, snif, snif, j'ai rien fait moi j'sais même pas d'quoi on cause dans ce Machin, pourquoi qu'me cogne c'te vieille pie, moi j'en ai marre »…Bordel général, la pie voleuse elle a de la voix comme toutes les pies. Et voilà ti pas que la « Percée » qu'est copine comme cochon avec le glabre surtout au plumard, elle se met à crier pour protéger la vieille pie voleuse ; entre voleuse ça se soutient, elle qu'à volé plein de graines, oui mes amis zosiaux, des sacs entiers, dans sa souillarde. De plus on sait qu'elle est percée des esgourdes mais aussi du citron. La cervelle manque dans sa totalité c'est le doc le Grand Choucas qui l'a dit, même qu'il avait mis ses grosses lunettes pour y voir de plus prés mais rien à faire, ya juste un trou béant, et ça béait sec. Y manquait plus que c'te guenon au Machin. Oh ! pardon j'insulte les grands singes, quand j' l'appelle guenon, c'est qu'elle leur ressemble côté esthétique, pas intelligence évidemment car les singes sont supérieurs, rien à redire à cette évidence. Elle fait la paire avec le glabre. Décidément, ça s'arrange pas au machin, moi j'sens venir la fin. Vivement qu'on rigole un peu… Moi je rêve mais je sens que ça vient : la pie voleuse et la baudruche gonflée comme une autre, au gnouf, le glabre aux Pompes Funèbres , la viole de gambe qui joue faux au bordel ça peut toujours servir en cas de disette…pour jouer de la musique évidemment à quoi pensez-vous ? La haquenée percée, pas grand-chose à en faire on la laissera avec le glabre jusqu'à la fin de ses jour, à eux d'eux ils on t la gueule de l'emploi, et la pocpocplouf, eh ben plouf, aux oubliettes, j'en connais des chouettes, première catégorie, au choix : partager la cellule avec le héron vert de gris, le plumard avec l'ectoplasme poële à frire bisquebisquerage qui préférerait Croacroa même en brochette. Moi je jouerai à qui mangera l'autre ? Le béribéri en Afrique au garde à vous chez les singes ses supérieurs qui lui referont le mental pour le rendre moins prétentieux, « non c'est pas moi c'est ma sœur qu'à cassé lazgueule à baba… » ; la carotte Vichy chez les chinois à apprendre le mandarin entre deux épandages de m…,recyclage qui disent et puis tous au fond à l'épandage sans oublier la vieille corneille, toujours à touche-touche avec le dernier qui cause mais qui s'oublie derrière les rideaux, dame elle radote…J'ai fait un rêve mais il faut que je me réveille car ça sent le faisandé et comme j'ai pas envie d'les regarder s'entretuer, je prends mon envol avec le Père Noël en souhaitant à mes pov'zosiaux de partout une prompte délivrance de cet appendice malsain que l'on appelle comment déjà ? Ha oui le CA ! Faîtes comme moi, tirez-vous à tire d'aile . Sur un air bien connu et comme d'hab :

Chantez

Il est cinq heures, les Abrutis s'réveillent,

ils se sont entretués toute la nuit

ya des macchabées sur le plancher

hélas ils ne sont que blessés

ça crie, ça piaille, ça jacte,

ça gadrouille notre magot

Faudrait prendre la mitraillette

Et nettoyer l'plancher

On pourrait pas même en faire du pâté

Car en bouffer, c'est s'condamner…

La lalalaala-troulala-itou, lalalalala-itou-trou-lala…c'est fou !

dimanche 2 décembre 2007

L OBESE ET SA BANDE DE TARES, CA CONTINU.....

L’Obèse et la bande de tarés, ça continue...

Quand Satan ramasse ses proies pour l’éternité, il en prend soin, il les bichonne aux petits oignons, il les engraisse pour mieux les essorer à petit feu ; c’est exactement ce qui arrive à notre affreux Croacroa. Je l’ai aperçu l’autre jour volant bas, c'est-à-dire essayant de se rendre intéressant sans y parvenir en croassant pour la cantonade dans un de ces jeux stupides devant un écran où il s’est planté devant la commisération des gros oiseaux présents. Hihihihihihi…la claque, car il n’est ni malin, ni intéressant ni intelligent. Eh ben vous le croirez si vous voulez je l’ai pas reconnu. Obèse il est, triple jabot bien goîtré, la plume courte et rare, elle brûle et tombe dans les abîmes diaboliques, l’œil torve et cerclé de choses rondes qui lui faisait l’œil idiot. A faire peur au coin d’un bois d’ailleurs pas besoin de coin de bois demandez aux fauvettes, il te les a harponné méchamment …mais sans témoin dame les témoins ça cause, lui c'est un lâche qui opère dans l'ombre et l'anonymat. Pauvre mec raté, ratiboisé, il avait bien essayé à la demande de Satan de s’faire une petite gloire en cachant ses antécédents douteux, manque de pot pour lui mais pas pour les autres, il a fait rigoler la galerie car battu à plates coutures, il s’est trouvé le manteau big size pour les grands froids. Pôv mec !Sauf que chez Satan le bronzé ça lui sert à rien car côté frimas ça chaufferait plutôt à en sentir le roussi. Moi j’le plaindrai presque, imaginez si Satan le bouffe pas et il le bouffe pas car il sent trop mauvais personne n’en veut pas chez les OS diablotins aux longues queues…mais pas pour lui hum…, oui, imaginez la chose vieillissante, la plume blanchie et de plus en plus rare, la queue pendante et rabougrie, les mirettes opaques, le teint cireux, et le quadruple, quintuple jabot…Obèse! Les corbeaux que voulez –vous ça aime la charogne, ça peut pas s’en passer, ça se vautre dedans et si y’en a pas quest’ce’ que ça fait…hein p’têt ben que ça crève. Chouette alors !!! Y m’a fait penser à une chanson qui dit
Les notaires c’est comme les cochons plus ça devient gros
Les notaires c’est comme les cochons plus ça devient vieux plus ça devient con
Moi j’dirai
Les corbeaux c’est comme les cochons et ainsi de suite….Non ?
Ah à propos vous savez le bruit que fait courir ce sale corbeau de Croacroa, il dit qu’il est devenu méchant à cause de sa mère qui lui embrochait les côtelettes avec un couteau. Ya vraiment de quoi mourir de rire comme dans les films d’horreur, plus vrai que nature ! Comme quoi il a reçu l’héritage cinq sur cinq car la vieille était une fêlée et lui il a gagné la timbale, farci comme il est, j’en viens à plaindre les petits démons que le grand rouge met au tournebroche. Mais il croasse n’importe quoi et il voudrait nous faire prendre des vessies pour des lanternes. N’empêche que moi j’crois vraiment qu’il est malade, bouffi comme ça, c’est de la mauvaise graisse ! Côté satanique, le glabre, marqué de la main rouge, le glabre lui fait concurrence. Ce diabolique canard boiteux qui s’prend pour un redresseur de tort lui qui s’tord sous les torts et qui en trimballe en cascade, ne sait plus où donner du bec dans sa grande malveillance et il s’en prend à tout le monde : « Eh toi le ceci, toi le cela et pan t’as fait ci t’as fait ça, à la moulinette et dont acte. I s’ prend pour la succursale du palais de justice des vautours qui le prennent pour un malade. Mais les malades du ciboulot ça fait illusion, ça rameute le banc et l’arrière –banc des tarés toujours près à dénigrer les copains. Ca lui remonte le moral qu’il avait dans les chaussettes avant d’arriver dans le repaire du Machin, à la recherche de la moindre poubelle ; Au moins là maintenant il s’assure de ses petites graines quotidiennes, il s’en empiffre même et y’voudrait bien amener à la table ouverte sa vilaine copine de nid, aussi teigneuse que lui. Eh ben…y’a vraiment du beau monde dans ce repaire, la baudruche elle a réussi à rester la présidente mais elle es t flanquée de la dinde dodue au gros c…qui se dandine en vice, plus bête t’as beau l’imiter tu y’arrives pas, plus teigneuse non plus : c’est celle qui pique le boulot qu’ont fait les copains et qui dit entre deux sauteries nocturnes de pattes en l’air « c’est moâ qui l’a fait ». plus nulle y’a pas. Enfin tout ça va bientôt se bouffer le nez, comme nid de vipères tu fais pas mieux. Y’ a aussi les p’tits nouveaux qui joue les initiés beriberi c’est quoi comme maladie brrrr, saleté ! Et la viole de gambe en solo ça joue faux quand ça essaye de jouer mais vaut mieux s’b oucher les esgourdes question de survie. La MM, vous connaissez n’tre vieille copine aux hublots qui lui bouffent sa vilaine trogne eh bien celle-là elle a copiné avec ceux qui s’font calciner au Temple du Soleil. Oui elle en a mis plein ses poches car elle les a ratissés juste avant et elle elle a sauvé ses vieilles plumes. « Amène tes petites graines mon coco aprés t’iras au ciel ». C’est sa technique, elle a déjà impôsé le coipain de son corbeau d emari un dénommé de la quelque chose. Conflit d’intérêt : c’est pas comme ça que ça s’appelle quand on gratifie ses potes juteusement ! C’est la reine des voyous, la voleuse 3 D. Belle équipe ! On s’demande comment on a pu trouver de pareilles cloportes, un tel ramassis de génies, même avec les p’tites annonces ça le fait pas. J’ai appris aussi que la vilaine oie coincoin avait été renvoyée jouer dans sa cour de ferme et qu’elle sera bientôt mûre pour le foie gras, car mûre elle l’est de toute façon. Et puis n'oublions pas la vieille pie voleuse toujours présente au poste, plus voleuse que jamais, plus méchante que jamais plus gibier de potence que jamais, elle s'nourrit tant qu'elle eput aux frais de la maison, c'est toujours cela d e pris dans la poche des copains. Ah la belle brochette!Ah je vous jure j’ai plus envie d’pleurer que d’rigoler et plains surtout nos pov’moineaux qui eux ne seront pas à la noce. Et de profundis pour la société des paumés amortis !Amen !Je les voue aux Enfers où ils fi niront tous. Satan me l'a dit un jour en rigolant à gorge déployée.Il se promet surtout le glabre, la baudruche gonflée à mort et la vieille MM, du Temple du Soleil, mais ne crachera pas sur la dinde dodue, l'oie coincoin, le chien chien de Croacroa, à deux neurones. B on appétit ya de quoi te faire vomir ou pire t'empoisonner. Un vrai cyanure ce Machin où y s'rencontrent pour tout casser y compris leurs sales tronches!

jeudi 11 octobre 2007

Quand on est un oiseau....

Quand on est un oiseau on a une chance, une vraie de vraie, quand ça cocotte trop en bas on prend l’air…dans les airs et a à l’AG du Machin ça cocottait fort, y’avait des miasmes qui vous prenaient à la gorge à dégueuler surtout quand la Baudruche elle essayait d’raconter ses bobards à de braves gens qui y comprenaient que couic et qui continuaient à s’demander pourquoi que le serin y l’était plus président et ses copains qui causaient bien et valaient à la gente oiseau considération et des petites graines en plus ici et là. Maintenant besef, les vaches maigres, écoute zéro au bigophone et ça vaut mieux que d’entendre des conneries qui font marrer le ban et l’arrière ban des copains. Y vaudrait mieux silence radio, abonnés absents. Mais ça pour empêcher la tchatcheuse de super marché au rabais de dégoiser y faudrait au moins être un de ces grands tchatcheurs de politique qui en imposent quand y z’ouvrent le bec, elle, elle fait s’taper le cul par terre et s’ étrangler de rire : et piapia et piapiapia et piapiapia ya pas moyen de l’empêcher et ça cause ça madame ya pas moyen de l’arrêter et ça cause pour raconter des menteries à la pelle, par exemple qu’elle a fait ça et ça et ça et elle en remet des tonnes à croire que l’stakanovisme côté Staline ça existe encore : la pie tchatcheuse orchestre, à croire qu’elle à des bras en moulinet comme l’autre derviche tourneur qui donne le tournis, vous savez bien celui qui piaille et passe son temps à s’étouffer,( hélas pas assez !) en gloussant « c’est un scandale… » piapiapiapia et piapiapia, scrogneugneudesrogneugneu, toujours vat’en gueguerre, boumboum…Ouf ! Mais je dois faire la chronique des événements alors vrai de vrai, foi d’oiseau libre, bergeronnette à tire d’aile j’dois faire mon sale boulot, raconter que le glabre, celui qui tue dans l’ombre, à l’œil en fiente d’oiseau, il était tapi dans l’ombre comme d’hab en espérant que son oiselle emplumée posera son cul au Machin, manque de pot y’arrivera pas…Mais ce qui m’attriste c’est que tout ça c’est véreux et compagnie, petites cervelles magouilleuses en recherche d’existence et petits avantages crads à nos frais, aux frais des miséreux et qu’est-ce qui va en faire les frais, les milliers d’petits zoziaux errants oui errants et de plus la reine de la tchatche elle se vante d’avoir tout fait, « moi je, moi je, moâ, moâ… eh cocotte en papier t’étais même pas au Machin ,même pas des nôtres quand ça s’est fait pour les pôv’errants c’est pas ton nom qu’est au bas des décisions, pipelette de mes deux, voleuse et malhonnête, t’es bien le copier-coller de la vieille pie voleuse, le suppôt de prison, la vieille maffieuse du bord de mer qui rembourse pas ses dettes…et continue à nous voler grâce à toi. Jusqu’à quand tu seras complice de ces magouilles? Et j’en apprends tous les jours de plus juteuses : quoi la vieille pie voleuse radine maintenant sa fraise pourrie de vieille maffieuse chez les po’v du bord de mer, là où y’avait eu du sacré bon boulot de fait par la grande fauvette et ses copines, eh ben vrai, vla ti pas que c’te sorcière elle arrive, inspecteur des travaux finis, son bec jaune en avant et qu’elle joue les reines d’un jour, comme la Baudruche moâmoâmoâ, moi j’ai envie d’lui en coller une à lui faire la bille au carré. Y’a pas de justice et la Baudruche en papier collé et le glabre en savates qu’à même plus le droit de tuer les p’tits zosiaux car même ça y sait pas, tout ce beau monde de traîne savates ça dit amem saecula panpan : c’est sûrement qui zon des avantages…comme l’autre grand duchnoc de héron avecv ses bijoux, enquêtons mes amis, enquêtons. Combien ça coûte pour aller caviarder sur les copains à l’autre bout du pays, hein et en CO2 tu compenses combien le glabre, ratichon de mes deux qu’t’as pas car t’es aussi courageux qu’un mille pattes, tu fuis de toutes tes ailes, mais on te rattrapera dans un an et alors gare à tes miches, on déléguera le grand aigle des prairies, mon copain cow boy qui rigole pas, surtout quand il a la dent…tu passeras le quart d’heure jouissif de ta vie de maq. Y’a tout de même un truc qui m’épate grand angle, qui sait qui a pu trouver du charme physique, intello, honnête à cette vieille chouette de MM, mézchante mégère, la vieille aux hublots sur le bec, grands comme sur un bateau de croisière, avec son vilain bec crochu ? Qui ma parole ? On les a anesthésiés les petits, c’est sûr. C’est une vieille sorcière, il lui manque plus que le balai dans le trou du c…elle est si méchante que même Satan qui a pris Croacroa au rabais à la cuisson lente, eh ben lui il en veut pas, ça pue trop qu’il dit, après faudra désinfecter les Enfers, trop de taf…avec les 35 heures j’peux plus m’permette ça, les cornus veulent plus rien foutre ! Alors réfléchissez bonnes gens envoyez –la au tapis…Elle déteste le serin, c’est son ennemie, alors si vous aimez le serin, détestez-là, nom d’un zosiau .Y’ a qu’une chose qui m’a mis l’baume au cœur, c’est de voir le serin récompensé comme il le méritait, au mérite j’suis pourcomme Niko, car eux y zon travaillé chapeau…en ce temps-là la grande maison elle existait, elle était prem’s en tout tandis que maintenant qu’est-ce qu’on rigole dans les chaumières… ! Y’a aussi des jouissances secrètes par exemple de voir l’oie dodue coincoin, la traîtresse de vaudeville au tapis ! Ouais au tapis, tu pourras aller réfléchir sur tes mérites toi aussi qui la ramenait comme si t’étais la papesse et pan sur le bec…comment on les apprécie les salauds de ton espèce et paf et pif et paf de limande… groggy…et à la casserole pour la fin de l’année, t’iras méditer sur ton charme absent depuis qu’t’es née l’oie. Saperlipopette ça ça m’a bien fait rigoler. Et le monstre noinoir de la tête au pied, passé au baranne tant il est noir, noir dans l’âme, noir dans sa tête, noir dans son plumage : il est ex-clu, ex-clu des réjouissances le graçon de café gominé de Chez ma tante, y peut baver, croasser, vitupérer, il est ex-clu, il a beau la ramener de temps en temps pour essayer de s’faire entendre, nous on le voit venir avec ses mille identités de faux cul, personne ne l’écoute et j’vous dis pas ce qui s’fait botter l’cul par Satan le Rouge quand il ramène sa fraise déconfite à croire qu’il aime ça… !!! Ahahahahah…ââââââh ! : « alors t’as fait quoi le verdâtre rôti ? », « Euh, euh (sanglots hypocrites) » » Zon pas voulu m’entendre, veulent m’occire…rien foutu ».Le Rouge rageur et tonitruant « et passez-moi ça à la lèche-frite et que ça saute ». Croacroacroacr o ….a, non pitié pas à…..Trop tard…

Quand on est un oiseau, on vole là-haut
Où c’est encore plus beau
Où ya pas d’baudruche qui déconne,
De glabre à l’œil torve
De magouilles de pie voleuse
Qui fauche les pov’zosiaux,
Pas fauchée la viocque
Ya ca voir son nid perché, de brillants truffé
Ah si tous les oiseaux y pouvaient voler plus haut
Mais ya ceux qui aiment la fange et le purin
Ya ceux qui volent bas
Comme le chienchien à 2 pois chiches, méchant et goujat
Un vrai cancrelat qui sort des égouts
Le héron et la dinde dodue et tant de pauvres minables
Qui savent pas même que le ciel existe…
Moi je préfère là-haut où ya que de s petits oiseaux
Qui chantent en chœur
« Quand on est un oiseau, on vole là-haut
Où c’est encore plus beau…. »

mardi 18 septembre 2007

OUF!

OUF!


Ouf, loin de l’air vicié du Machin

Je suis allé me refaire un peu les plumes, celles de mon manteau lissé et brillant et en même temps je n’ai pas manqué d’acérer celle avec laquelle je vous livre mes tristes pensées. Car ça pue vraiment la-dedans, la-dedans c’est le Machin vous avez deviné, ça sent l’air vicié, le cloaque, le remugle, l’égout, ça pue ce que c’est. Pour un oiseau qui vole haut et libre dans l’air pur, ce cloaque c’est la mort, l’asphyxie, le rase-motte de la connerie organisée. Car mais oui, c’est à la mort que nous convie cette sale petite pie tchatcheuse, toujours aussi bavarde, aussi prétentieuse, aussi nulle, bref, plus baudruche que jamais. Moi j’arrive pas à la prendre au sérieux, c’est comme dans les mauvais films comiques, on se dit qu’est-ce qu’ils vont bien pouvoir inventer au chapitre du grotesque pour amuser la galerie qui rie jaune car ce n’est jamais drôle. Que voulez vous, même les pitres ça fait pas recette. Comment rigoler aux piapiapia de la vieille pie voleuse plus voleuse que jamais, la honte habillée en plumes de pie que l’on garde et que l’on couve tandis qu’elle plume nos zosiaux à coups de larmes de crocodile. « Ah le pôvre petit, ah le pôvre chéri, ah le malheureux p’tit zosiau », aboulez, et vlan dans sa poche de kangourou ! Rigoler avec carottes Vichy et ses plumes autour du bec, avide de médailles en graines de sésame pour se donner l’illusion d’exister lui qui n’existe pas, rigoler avec la dinde dodue roucoulante et toujours en transes entre deux séances plumard, sauf le métropoliplume qui ne lui est pas encore passé dessus ? Plumard oui, douillet de plumes s’entend, honni soit qui mal y pense ! Rigoler avec l’horrible mégère, la vieille pie aux hublots, Méchante Mégère, M la Maudite qui récupère pour son nid de vipères les dons faits aux zosiaux des champs, les miséreux de nos campagnes qui se gèlent les papattes pendant le froid hiver : laide, vicieuse, idiote, incompétente, vantarde, enflée comme une outre de sa crasse, elle te fait gerber rien qu’en la regardant. Rigoler avec le minable héron qui change de plumage tous les quart d’heure et fait prendre à tous des vessies pour des lanternes tandis qu’il se pare des plumes du paon, les bijoux aussi il les aime tellement qu’il les stocke c’est plus fort que lui. « Hum ça brille, c’est beau, c’est pour ma pomme, couaccouac, glouglou, couac « !. « Non qu’elle dit la pie voleuse, c’est pour la mienne » et de s’envoyer des coups de bec, des coups de pattes « piapiapiacloccloccouacouarecoua Incompréhensible ! « C’est ma couronne » dit le héron, c’est à moi dit la vieille pie voleuse qui s’y connaît en vols, pas dans les arbres, dans sa poche et dans son nid. ». « Vieille chouette » qui lui balance ! « J’suis une pie pas une chouette, vieux hibou » ! qu’elle lui répond. Comme vous voyez ça vole haut ! Et les plumes de voler ! Haut les cœurs, y’a plus qu’eux en hauteur ! Quelle bagarre, que de plumes qui volent et les bijoux la-dedans ? Où qui sont hein ? Au cou de la dinde dodue qui partouze avec le héron vert de gris, passé, trépassé ! Hahahahaha… ah ! Wou !Rigoler avec la sale pie vicieuse l’ex Val d’Orge à l’affût de tout ce qui peut lui donner des ailes en attendant qu’on les lui coupe « rasibus ». Toujours prête à trahir quand elle voit d’où vient le vent, auteur de blogs aussi puant qu’elle fausse sainte nitouche, laissée pour compte avec 800 voix…c’est vous dire comme on l’aime. Attention la tchatcheuse, elle prépare ses couteaux pour t’écharper le moment venu. Jure qu’elle trouvera des charmes au serin qui ne lui en trouve pas ! Rigoler avec le joyeux glabre, face de carême toujours hilare, messager d’outre-tombe comme s’il venait d’enterrer sa belle-mère, faux jeton comme pas deux , assassin en réserve, gare à ses couteaux, le diable veille, vous savez celui qui lui a mis la main rouge sur le front et malhonnête avec ça, se servant de ses piètres titres en peau de zibi pour parader et se faire des clients qu’il envoie dare-dare chez le croque-mort . Et y fait la promotion de sa vioque, une traitresse faisandée comme lui avec un be c qui lui traîne par terre oui c’est une chouette et de mauvais augure. Pour lui trouver du charme fau’ete maso , même au plumard, ouah quelle partouze de pattes en l’air ! Fatal ! Rigoler avec la grosse oie balourde qui adore ce qu’elle brûlait hier, la traîtresse du vaudeville le plus grotesque, se dandinant dans son cloaque, toujours en transfert de pois chiches ou de patates. Ah toi fais bien attention c’est le moment du foie gras, d’oie ! Rigoler avec le sinistre chienchien à deux pois chiches dont le citron est bouffé aux vers, benêt patenté dans un fourre-tout au QI =0, quand tu le vois tu te trisses à tire d’aîle. Rigoler quand on fait son boulot pour les p’tits miséreux et qu’on s’entend piailler aux oreilles pour 3 grains de riz alors que la pie voleuse se les fourre par poignées dans sa sous-ventrière de kangourou ! Rigoler avec cette bande de requins assoiffés de pouvoir qui n’a qu’un désir « pourvu que ça dure ! ». Ya ceux qui sortent, ceux-là on va s’en occuper lors du grand jour du jugement dernier où les premiers seront les derniers : c’est pas comme ça qu’on dit ? Dehors la vioque MM, le héron au long bec, la crécelle de Jojo La touffe, dehors le tocard aux grandes pattes avide et prête à ramasser tout ce qui pourrait lui tomber dans le bec en balourdant les autres, sans pitié cette sauterelle aux pattes grêles qui bouffe que lorsque c’est nous qu’on paye ! Tout ça ça se repaît de nos oboles. Mais les autres ne perdent rien pour attendre, ils ont pourri notre grand nid, ils ont plumé les oiseaux gentils et sérieux, ils ont dilapidé nos greniers à grains. A la lanterne, c’est les soirs du grand soir. Un bon coup de balai, on ira chercher les sorcières qui en ont toujours en réserve et on plumera la volaille comme dans les contes, les méchants au cul de basse fosse pour l’éternité avec Croacroa ravi de récupérer ses petits amis en attendant de tous les rouler dans la farine? Non dans la fiente d’oiseau bien entendu, et De Profundis sans honneur et sans gloire ! Ouf je me sens déjà mal, c’est l’asphyxie, vite que je regagne les cimes…Qu’est-ce que ça pue là-dedans !Ca sent pas la giroflée…Le glabre il proclame déjà partout qu’ils vont gagner ça veut dire quoi mon déplumé ? Que tu fausses les résultats dans ton sale Machin avec ta remplumée au programme. T’en est bien capable car t’es un sale vicieux. On t’a à l’œil va…et gare à ta peau. Ah dans l’affaire on allait oublier de donner des nouvelles du sale méchant corbeau Croacroa. Des nouvelles, faisandées bien entendu car entre deux marinades,il croasse…surtout depuis que malgré les manigances sataniques électorales il s’est payé une veste maxi, un manteau de plumes big size de quoi lui donner la mesure d e l’intérêt qu’on lui porte, la mesure de sa nullité éternelle et consacrée. Mais plus il en prend sur le bec plus il est content que voulez-vous c’est un malade, un schizo, un maso…Croacroacroacroa et patati et patata. On m’a raconté qu’il avait changé de crémerie car là où il avait son ancien nid on l’a jeté hors et le coucou après l’avoir bien nettoyé s’y est installé avec armes et bagages, ainsi Croacroa va lors de ses passages hors Enfer aller pourrir la vie d’autres pauvres innocents et bouffer les petits oisillons dont il se délecte…Pouah ! Et de plus son ectoplasme a repris du service malgré les couleuvres que l’autre lui fait avaler et il lui fait infiltrer le grand nid où la concierge en chef, vous savez celui qui fait des moulinets avec ses aîles et ne brasse que de l’air, vicié ; bien entendu eh ben il lui raconte tout à l’oreille, eh ce qu’on s’aime tout de même ! Moi comme beaucoup d’autres je rêve du jour où Satan n’aura plus besoin des services de Croacroa l’ignoble et le croquera pour de bon. J’imagine…« Miammiammiam . Oh ce que ce moche corbeau est dur à cuire et à becqueter. C’est de la vieille carne que vous me servez là les diablotins…ronchonne-t-il, de quoi s’empoisonner… » C’est normal répondent les diablotins ça fait 40 ans qu’il empoisonne la gent oiseau, les humains et même l’Enfer…Ahahahahahahahahahah (rires sataniques).Mais dîtes donc, il a bien mauvaise mine ce sale méchant corbeau, il est jaune livide et tout fripé, c’est grave docteur Choucas. Ouais, ouais, opine le vieux Choucas, gravissime, une maladie grâââââââââve, y s’en relèvera pas, y sera pas même comestible pour l’Enfer, ne l’approchez pas, la connerie, c’est contagieux…con à vie, la maboulerie c’est à vie et plus tu devient vieux plus tu devienbs con et maboul. Oh là là…. ! Gravissime ajoute-t-il en tournant les talons, le bec dans ses plumes pour éviter la contagion, GRAVISSIME ! Satan croquera, croquera pas ? La suite au prochain numéro…

Machin, drapeau en berne!

Machin, drapeau en berne !



Drapeau en berne car le Machin de la Baudruche, du glabre, de la Méchante Mégère dite Mimi la bigleuse, de carottes Vichy le plumeux, du chien- chien de Croacroa à deux pois chiches toc-toc, du héron traître aux deux têtes de lard un jour oui un jour non, eh ben ouais il a du plomb dans l’aile car vous n’allez pas braves gens renvoyer au Machin pour vous nuire la MM méchante mégère aux gros hublots, voleuse, hargneuse, idiote malgré ses prétentions arborées sur son CV tout faux…allez vérifier, des preuves, des preuves, moi je n’ai que celle des tas de grains qu’elle nous a fauchés pour les donner à son vieux hibou de mari alors quelle vit de pois chiches, chiches et qu’elle mange qu’à nos frais la grosse ; ni le cuistre héron qui s’écoute roucouler comme un pigeon alors qu’il nous chante des litanies de sa voix éraillée pour nous endormir ; envoyez des zosiaux sérieux, demandez au serin, aux fauvettes…Ce qui m’étonne c’est que plus c’est pourri, plus c’est fauché, plus ça s’radine pour venir au grand nid aux frais de la princesse : 4 jours, 2 fois par mois, en goguette, tous frais payés, y’a des amateurs, c’est des vacances gratos pour des nuls sans petites réserves de biens dans leurs propres nids, moi je paye pas pour ça, j’paye pour les pauvres errants qu’on envoie à l’abattoir parce que des petites graines y’en a pour tous ces paumés et y’en a pas pour eux : c’est de l’anti-protection, c’est la faillite de la mission. C’est la honte. Et ça ose mettre son grain de sel partout là où on fait le bien pour dire que c’est pas comme ça, qui faut payer pour la vieille pie voleuse qui présente des factures démesurées, payer pour les nuls qui vont se goberger à nos frais, vacances tout payé comme si ces zosiaux là y bouffaient pas chez eux aussi. Moi je dis supprimez tout ça vous verrez qu’y aura moins de pékins sur les listes car de plus y font rien, rien ? Non y cassent tout, y revoient tout le monde y sont bêtes et méchants, y bagarrent tout le monde, y sèment la zizanie et moi je dis « qui sème le vent récolte la tempête… », la tempête j’vous dis pas comment je l’ai vécue l’autre jour, je baladais tranquille en vol plané au-dessus du Machin quand j’entendis des piaillements d’orfraie à vous en casser les portugaises. J’me pose juste en face pour voir le spectacle : Hahahahahahahaha ! j’en suis plié de rire…vous devinerez pas…une bataille de becs et de plumes et ça volait …très très bas : le héron cherchait la sortie comme d’habitude pour mettre les bouts au cas où, toujours courageux mais le serin bien que plus petit lui arrache trois plumes du cou et te le ramène sur le ring où il retrouve Geogeo la touffe, hérissée et hagarde criant de sa voix de surette « mais qu’est-ce qui se passe ici pourquoi ça piaille comme ça », un coup d’aile sur le bec et la voilà qui se ramasse sur la grosse Méchante mégère aux hublots qui piaille « au viol », la pauvre comme y’a longtemps que ça lui ai pas arrivé, elle confond, claque et… claque(bordel). Moi pas ,car c’est vraiment le claque…La dinde dodue cherche le mâle qui fuit, il préfère s’la taper dans les plumards payés par la Société Protectrice des Abrutis donc par nous…et se résigne en réclamant la presse, n’importe quoi pour qu’on parle d’elle, les people,c’est si beau et si intelligent, dame qui se ressemble s’assemble ! ahahahahah !. Malheureusement ya que moi qui cause mal…d’elle et du reste car je vois de haut et de haut, ça paye !. Pouf, mais voilà que le glabre m’interpelle, il m’a dans le collimateur car comme on sait, il n’est pas clair…eh toi le journaliste de mes deux…encore avec plumes acérées pour raconter nos p’tites histoires. Pourquoi tu les racontes partout mon salaud, nous on aime pas ça, nos magouilles dégueu c’est juste pour les copains alors si tu continues à dégoiser on va te couper les ailes, dont acte (il adore…) ». Dis-donc facho que j’lui réponds, c’est Staline dans ton Machin depuis qu’té là avec la Baudruche et la vieille pie voleuse la fauchée condamnée qui fait la loi et toute ta bande de voyous, moi j’dis qu’on est en démocratie et la presse elle dit ce qu’elle voit et entend », je le vois qui s’décompose un peu plus car il est toujours décomposé au naturel et de sa voix flûtée en me regardant par en dessous comme d’hab « si tu couines de nos affaires j’te fais la peau… »Eh ! fils de Satan que j’lui réponds, essaie et j’convoque la presse, on te fait le souk à l’AG. Ça y craint, y tourne ses plumes et me présente son postérieur déplumé, alors j’hésite pas j’te lui en applique un coup super bien visé au trou du c… qui l’envoie gicler à trois mètres. Le temps qui s’ramasse et j’avais pris mon vol dans les cimes et j’rigolais, j’rigolais, vous savez les zosiaux y rigolent car ils sont libres, libres, libres…comme la presse. Après cette aventure on m’a raconté que la Baudruche elle pleurait des larmes de crocodile car elle disait que tous la trahissait, qu’elle faisait ce qu’elle pouvait, dam la pôvre, c’est qu’elle peut peu, chacun ses compétences et elle, elle en a pas, dans la bagarre elle s’est pris trois mandales et elle couinait « je suis la présidente, j’veux qu’on m’respecte, qu’on m’respecte… » qu’elle répétait en pleurnichant mais personne ne l’écoutait et personne ne la respectait car présidente ! ses jours sont comptés…la bande des fauvettes rigolait et les mésanges et les bergeronnettes y’avais que les vieilles pies et les sales corbeaux qui riaient jaune, même la grosse oie dodue en passe de se transformer en foie gras se demandait si elle devait trahir tout de suite et raccrocher ses plumes à un autre wagon, mais là, c’est chacun pour soi et sa tronche pour rester au Machin nous on en fait du papier mâché pour nos p’tites déjections, en somme on lui chie sur la tronche . Dans ses noirs enfers, entre deux douloureuses grillades, Croacroa se morfondait car il aurait bien voulu être là, plus c’est minable, plus ça lui ressemble et plus il pourrait déverser sa bave nauséabonde mais Satan lui avait pas donné congé, y’sconsolait car il avait son copain l’ectoplasme ressorti dont ne sait où en observateur et puis ses vieux copains, la grôôôôsse buse obtuse et l’oiseau qui cause,le CD ambulant, qui ne fait rien que des moulinets avec ses ailes vous savez qui…Certains pensent que Croacroa c’est d e l’histoire ancienne , y’en a même qui pensent qu’il est mort, lui qui rigole de la mort des autres : c’est tout comme, car qui sème le vent récolte la tempête et Satan le Rouge, il aime ça, c’est son plat quotidien !!!

Sur un air de rap bien connu
Titre : Vol au-dessus du Machin par un oiseau-rappeur connu des spécialistes es/rap

J’v’olais au-dessus du nid d’coucous
Coucous c’est pas tout à fait ça
ça r’semble plutôt à un nid d’cobras
Ça siffle, ça piaille, ça tape, ça rasemotte
J’me dis où c’est qu’ta mis caisse ici ça va cramer
alors j’bouge mes miches côté GDN
au moins ça m’bote
pour la prochaine, j’ai répéré l’truc
j’me radinerais avec mes cems à moi
et on l’les f’ra à la moulinette
ça les apprendra à essayer d’nous imiter
nous on aime pas ça, on est des keufs dans n’t métier …
Et c’te merde là on en veut pas…

lundi 25 juin 2007

veste et manteau de plumes douillet,douillet pour l'hiver ! big size

Y’a un truc chez Croacroa, un truc de dingue, ce maudit noirot, à la plume terne et rase rêve, rêve de quoi je vous le donne en mille, de la Toison d’Or, eh oui rien que ça, aussi il se démène dans tous les sens comme un malade qu’il est, en essayant de faire oublier ses turpitudes passées pour paraître, paraître, paraître avec des plumes dorées. Se parer des plumes du paon, ah voilà qui lui plairait, il a bien essayé mais le paon s’est pas laissé faire, il lui a même flanqué une raclée, le paon vous imaginez, le play boy contre Croacroa le noirot, le maudit, le vilain ! Croacroa c’est un maniaque du « m’as-tu vu », un rien du tout qui veut à tout prix être quelqu’un, mais les rien du tout ça reste des riens du tout car avec ce qu'il trimballe, y ferait bien de rester au secret car évidemment la gent oiseaux, du haut en bas de l’échelle sait qui il est. Un pareil oiseau ça se repère de loin. Il veut jouer lui, le mafieux, les redresseurs de tort plein de bons sentiments, lui qui n’en a que d e mauvais, « croacroacroa, je défends la veuve et l’orphelin, les pauvres et les opprimés, la nature et les autres zosiaux…et gnagnagna et gnagnagna » tout y passe, la générosité même et le cœur sur la main, le champion des opprimés et de la justice, lui qui est la malhonnêteté incarnée, bref, tout l’inverse de ce qu’il est et de ce que raconte, ce suppôt de Satan. Tout y passe, il se gargarise de grands mots dont il ne connaît pas même le sens, lui l’illettré. Et piapiapia et piapiapia, il en raconte des vertes et des pas mûres de sa vilaine voix éraillée de corbeau raté. C’est vrai que d’autres ont pensé pour lui, d’autres qui pensent car lui ne pense qu’avec son c…, d’autres qui ne savent pas encore qui il est mais le sauront sans tarder car ses concurrents eux savent. Eh oui, on ne passe pas inaperçu quand on a été Croacroa pendant des lustres ! Sa dernière aventure n’arrête pas de nous faire tordre de rire au point de s’en étouffer. Il a tenté de se recycler. V’la ti pas qu’il a imaginé de représenter nos oiseaux au sein de la grande communauté nationale, en tête mes zamis, sa vilaine tronche et son bec pointu à la une, y’en a qui en tombèrent à la renverse, avec rigolade à l’appui à gorge déployée et trilles sur tous les tons « pioupioupiou, lalalala, cuicuicuicuicuicui, wouah ! » l’histoire a fait le tour des nids et même des ciels. Une pareille provoc’ à la République de laquelle il a reçu des « rappels à la loi » mais silence sur ses exploits passés, les insultes, les bagarres, les délits de justice, les coups de flûtiaux anonymes, la taule et la maison des fous, Satan et la broche de l’Enfer… Rien, silence radio, comme la vieille pie voleuse nickel chrome, il a un toupet d’enfer c’est le cas de le dire…mais la vengeance était au coin de la rue : il a écopé d’une veste majuscule, une piteuse veste manches longues, big size qui pourra servir de manteau de plumes pour l’hiver et couvrir jusqu’aux plumes de la queue que t’as intérêt à protéger ! Dame c’est’y pas ton capital-travail, pelé ? t’es paré mon salaud et pas avec la toison d’or : 0, 64% de suffrages soit 344 voix sur de milliers et des milliers de voix – 54298 exactement dit notre super flûtiau- données heureusement à des candidats sérieux . La honte ! 344 innocents qui ignorent qui il est sans aucun doute qui ne savent pas à quelle fripouille satanique malhonnête et crapuleuse, ils voulaient confier leurs petits pécules et leur avenir. Mazette ! La peste noire, il leur aurait tout bouffé et de plus, il n’habite plus où il dit qu’il habite, son vieux nid sinistre il l’a abandonné, le coucou a fait le ménage et le squatte pour de bon. Lui il s’est envolé ailleurs, pour tenter de refaire ses plumes et raconter de nouvelles salades. Mensonges, mensonges et mensonges, tout est mensonges dans sa triste existence, tromperies, hypocrisie et monstruosités ! Il crèche maintenant au 11° cercle de l’Enfer, là où la cuisson est lente et permanente et là où de ses croassements, on s’en fout. Même on en rigole ! Pas de pitié pour les corbeaux boiteux, on le retourne méchamment avec une broche bien pointue et bien brûlante, « c’est bien tout ce qu’il mérite » chantent les oiseaux qui en ont bavé à cause de lui comme les pauvres fauvettes ! Chez les gendarmes noirs et gris, corneilles de partout ça rappelle des trucs, tous à leurs flûtiaux « taratata taratata… » mais maintenant eux y lèvent le pied, z’en ont marre du Croacroa, chaque fois qui le pinçaient, ils lui donnaient une bonne raclée mais le juge vautour qu’avait plus d e place à la Tour des Vautours le renvoyait à son nid et il recommençait aussi sec ses flûtiaux anonymes qu’il envoyait dans les airs à tous les honnêtes oiseaux à qui il en voulait. C’est Satan le Rouge, le maître de la fourche et du feu permanent qui s’en charge maintenant et qui est venu récupérer son sadique esclave et hop ! A la cuisson, un coup face un coup pile…Il en a pris plein le bec et les plumes et la queue. Wouaouh ! De plus Satan lui a savonné le bec de la belle manière car il était furieux de voir qu’il avait été si peu reluisant, dame quand on porte les couleurs de l’Enfer on doit gagner et lui il a fait plouf, plouf, plouf, noyé dans le vermicelle, pauvre vermisseau ! Moi je rigole et j’en fais mon beurre bien baratté, j’suis chef des flûtiaux nom d’un zosiau !Je me demande ce que cette sadique crapule va bien pouvoir inventer maintenant car il n’existe que par la rancœur, la méchanceté et la médisance anonyme. Ya encore des élections au maudit Conseil Machin des Abrutis et ben moi je vous jure vaut mieux compter les coups de loin car les blogs visqueux et autres machins ça va se déchaîner et le « dégueu », sûr y va se déchaîner même que c’est le Roi de la cuisson à point, la quintessence du Mal qui l’envoie et c’est un chouette serviteur du Maître. La baudruche elle continue à chercher des noises à ceux qu’elle peut pas piffer parce qu’elle a peur à son hégémonie, encore une pie qui a tout de la dinde, de la bécasse et de la grenouille réunie : Sa Maaajesté emplumée a besoin de vils et de veules courtisans, sa lettre est un tissu de mensonges à croire qu’elle est partout en même temps, la pie-orchestre, trente ans que l’oiseau bardot- bergeronnette elle s’en occupe et même qu’elle, elle y est allé en se gelant les pattes sur la neige, elle s’en est une vraie et courageuse, pas comme la Baudruche, comme d’hab, tout dans la tchatch, et pour les éléphants y’a de grands spécialistes à la voix sympathique, écoutée partout et qui ne l’ont pas attendue, ceux qui copinent avec les éléphants et sont amis-amis depuis des lustres, pas comme elle, elle et son ignorance crasse. Pauvre Baudruche, pauvre petite pie tchatcheuse, l’essentiel c’est de se croire et de faire croire aux corniauds qu’on fait tout et que les autres font rien ! Moâ, moâ, moâ et que je me gonfle, j’ai été reçue par le Pape des zosiaux, le président de la planète, je vole au septième ciel, je suis la puissante pie tchatcheuse, la vraie authentique de super marché es qualités et tout le monde à genoux, je dois être respectée. A tes mérites, cocotte en papier, alors on a le droit de t’écraser les pattes, celui de te plumer et même de t’emplumer et ça on se prépare, t’aura beau gueuler et appeler Saint Glabre, ton complice ça chauffera. Personne ne la connaît cette pauvre Baudruche malgré ses cris et piaillements les « je suis là moâ, ne m’oubliez pas, oubliez le serin mais pas moâ », quand tu parles d’elle tout le monde dit « qui c’est ça, ah nous on connaît que le serin, il était bien cet oiseau là, y serinait correct, pourquoi qu’il est plus là avec ses zosiaux à lui ? Pas contente la Baudruche quand on lui piaille comme ça aux ouies. Alors en septembre posez, posez des questions…demandez-lui mais chut…motus et bouche cousue, entre temps dégommez la vieille pie voleuse qui continue à nous sonner les oreilles de ses piaillements et de piller tout ce qu’elle trouve même dans nos nids ! Qu’elle débarrasse le plancher de notre grand nid. Entre temps chantez sur l’air du p’tit vin blanc :

Ah la vilaine pie tchatcheuse
qu’on a trop vue tchatcher
C’est une sale menteuse
Qu’il faut en goudron emplumer
Avec tous ses copains, copines
Le glabre, du Val d’Orge la bécassine
La dinde dodue, l’oie au surin
Tout ce sacré Machin
MM et ses mafieuses embrouilles
Carottes Vichy, le marron et toute cette pouille
Poules et poulets, poules mouillées
Tous au four à rissoler !

Et comme d’hab, chantez, géant, pour le ciel clair, débarrassez-le de tous ces miasmes, n’hésitez pas chantez, prenez vos flûtiaux et racontez cette sinistre histoire pour qu’elle ne recommence pas. Oyez, oyez braves gens cette triste saga du vilain et méchant corbeau Croacroa et de sa bande de mafieux et sus à ces gibiers de potence, à l’hallali !Taïaut, taïaut, taïaut…






























lundi 18 juin 2007

des cumulus maousses à l'horizon

Des cumulus maousses à l’horizon


Ah pour ça y’en a. Dans le Val Masqué, ça chauffe, et ailleurs aussi ça gronde, tonnerre de pipe, y’aura du sport. Entre la huppe Viole de Gambe qui vole pas haut ou Viole de l’Eau, je sais plus (car elle n’a aucun intérêt) qui cherche des noises parce qu’on lui a caché 60000 corniaux auxquels elle voulait déclarer sa flamme ( le grand cœur malheureux!), donc acte et qui renverra la baudruche, ses pompes, ses oeuvres, ses copains au trou sombre, et tous ceux qu’elle a virés, tous les oiseaux qui lui faisaient de l’ombre, tous ceux qui faisaient bien leur boulot d’oiseaux, sous le vain prétexte d’une plume de travers ou d’un coloris délicat et trop raffiné qui complexe sa noirceur, pour y mettre tous les zéros qu’elle a pu ramasser et qui vont lui demander des comptes ! Ouais des cumulus maousses, bigre, ciel d’orage…. Oui, la quintessence de la nullité à commencer par ce, comment vous l’appelez déjà ? le copain de MM, la méchante mégère, celui qu’est là par intermittence, l’intermittent –dirlo du spectacle, gaillard avant mais bientôt gaillard par 1000mètres de fond, intermittent mais pas gratos, faut bien vivre, encore un vilain assisté, à nos frais, puis l’ectoplasme du flûtiau qui fait de la com comme moi je pédale avec mes petites pattes d’oiseau, tout ça avec l’onction de la bécasse ex Val d’Orge qui tisse les fils empoisonnés de ses rancoeurs et de sa suffisance de vieille bécasse ratée et qui se mêle de tout. La Baudruche, toujours aussi enflée et vaniteuse a raconté sur les flûtiaux tout un tas de chansons à sa gloire, de sa voix de fausset elle dit partout qu’elle est le top du top aussi compétente qu’un président de la république. Quelle comparaison flatteuse pour le ci-dessus nommé ! Elle doute de rien, c’est vraiment la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf ! Et ça finit comment chez le bon Lafontaine mon copain es-fable ? Wouah ! La pie tchacheuse, hier encore elle était rien de rien, puis comme au pays des aveugles les borgnes sont rois, elle a comblé un vide sidéral car de la tchach, elle en a à revendre, une vraie bonimenteuse sur un champ de foire ou une vraie marchande de poisson sur le vieux port de Marseille –quand je les survole je me barre tant elles piaillent désagréablement pour un oiseau chanteur- eh ben elle c’est quifquif besef, élue à notre top en l’absence d’oiseaux sérieux, tous à s’tirer dans les pattes et les plumes, tous à se donner des coups de bec : résultat, la grenouille enfle, enfle, enfle…comme une baudruche pardi et que croyez-vous à la fin qu’il arriva ? Elle creva ! Merci mon dieu ! La bonimenteuse, là où on met nos petits zosiaux perdus et nos moineaux qui crient la faim elle n’y met pas les pattes, fie, qu’y ferais-je moi, la reine de la tchatch de super marché au rabais, j’suis la présidente des zosiaux, moi, moâ , moâ, dans ce cloaque ! En somme elle connaît que dalle, elle confond même une pie rase-motte comme elle et une hirondelle qui vole haut la tête dans les nuages et elle raconte de sa voix de rinette déconnante, ah je vous jure, « qu’elle ira là-haut chez le Très-haut déposer tous les zosiaux morts que l’on garde dans les frigos » . Mazette, rien que ça et où c’est-ty qu’elle les prendra les zosiaux morts car personne n’en a. Quand ils meurent, ben ils font comme tout le monde,ils finissent en poussière, ya pas d’mouroirs chez nous, pas de p’tits vieux conservés dans le formol, pour ça faut aller au musée des oiseaux. Elle a rien dans le citron, la poule mouillée, elle fait croire à tout le monde la cinglée que dans notre royaume ailé on trucide, on zigouille, on fait de la chair à pâté. Rien que pour se rendre intéressante ! Eh cocotte, c’est pas le Machin dans nos campagnes, c’est au Machin, ce CA de malheur et grâce à toi et à tes copains que tout le monde se fout sur la poire et cherche à trucider le copain ! Elle s’aime tellement qu’il faut lui rendre hommage à 4 pattes toute la journée (nous les oiseaux on en a que deux, alors ! Va te faire f…. Elle sait pas la pauvre pie piaillarde que le respect ça se mérite par la dignité, la compétence, la science, la gentillesse et de tout ça, rien de rien, elle en a pas besef. Et elle a le culot d’aller se taper la cloche avec un autre tchatcheur de son espèce, grassement entretenu par nous, et de faire payer qui ? je vous le donne en mille, nous pardi, nos donneurs de petites graines et de gras bien gras pour l’hiver , elle a un de ces toupets la gueuse, pardon Sa Majesté à qui on doit faire des courbettes en balayant la terre de sa queue pour que SM puisse y déposer ses fientes ! Profiteuse en plus !Y manquerait plus que ça, non seulement elle nous met la maison a sac mais en plus il faudrait la nourrir pour ça ! Et ta satanée conseillère noire comme le péché, la vieille pie voleuse quand est-ce que tu la saques parce que rien qu’avec ça tu trimballes ta condamnation à mort même si tu l’as repoussée au mois de septembre pour rester un peu plus avec ta couronne en papier mâché et pour casser un peu plus longtemps la baraque ? La vieille gitane, le pie voleuse (et oui, gitane, c’est vrai, une vraie gitane de la vieille génération, ratiocineuse, voleuse, perverse, méchante, ringarde…), condamnée par le juge-vautour, elle s’accroche, hein, mais le fric il faudra bien qu’elle l’aboule sinon on fera des piqués sur son nid avec les vautours, tu sais ceux qui aiment la charogne avariée, ils iront de notre part chercher sa quincaillerie, elle aura beau se cacher elle et ses rapines, ses 3 pianos, ses bijoux, sa quincaillerie jusqu’au rebord du nid que ça en dégouline, ils le renifleront de loin car elle sent le faisandé, on s’la f’ra foi d’oiseau chanteur… et on chantera en chœur « la guenon la poison, elle est mo-ororrrrte ! ». Ah c’te marrade, ce jour-là et personne pour la plaindre, elle rendra gorge de toutes ces voleries, elle qui déshonore notre famille qui n’a pas besoin de ça pour être déshonorée ! Moi on m’a raconté dans le creux de l’oreille que de son temps elle faisait la peau tous les matins à des centaines de petits mendiants, des pauvres, aux Génevriers, salles 19 et 19 bis ça se passait…du sang partout, des têtes d’oiseaux épars, l’œil ouvert sur le vide qu’elle leur avait offert en cadeau d’arrivée. Oui une tueuse qui protège comme moi je chante, c’est naturel chez elle et elle raconte partout que dévouée comme elle à la misère oisillonne y’a pas, y’a qu’elle, tous azimuts ! Comment elle f’rait je vous le demande elle qui décolle pas du sol et qui vole bas depuis qu’elle a vu le jour pour notre malheur : La Dalton, la Voleuse, aujourd’hui elle dirige notre triste maison car elle a clôné la Baudruche en copier-coller. Elle coupe les têtes, elle règle ses comptes, elle éradique ce qui lui fait de l’ombre alors qu’elle devrait être à l’ombre, elle voudrait se faire couronner dans notre maison du bord de mer là où elle sévit pour notre malheur depuis des lustres en suppôt de la mafia en tuant tous ceux qui y sont, de braves et gentils oiseaux au service de tous les miséreux. Wouahou !, cette vilaine vieille pie, elle engendre la haine car elle incarne la haine, la médiocrité, la vengeance…Un jour, justice immanente, elle paiera sa dette à la société, moi qui ait des flashes sur l’avenir je le sens, c’est pour bientôt, la dalton…et pas de pitié pour la vieille pie ! l’autre jour j’ai eu un cauchemar, je rasais les murs dans notre grand nid parce que j’ai pas envie de voir tous ces brigands et paf, je tombe juste sur le glabre au coin d’un coin, un cauchemar je vous dis : depuis que Satan lui a filé la main rouge (y’a que lui qui la voit pas) il est encore plus blême, un vrai squelette ambulant en baskets, pour moi il a la maladie, il m’ fixé de son œil qui ressemble à un crachat ou à une fiente de corbeau et de sa voix d’outre-tombe il m’a jeté « toi le délégué aux flûtiaux, j’en ai marre de tes attaques frontales (« frontales » qu’il a dit oui, parce que lui il les préfère par derrière) ouais tu me les chauffes, je vais payer un nervi pour te faire les côtelettes et te fermer ton sale bec… Ouais comme ça qu’il cause le glabre, plus croque-mort que jamais, le vrai maffieux quoi !. Alors moi, fringant, « si tu me touches gare à tes plumes, car les flûtiaux ont le devoir de dénoncer les malhonnêtetés que tu magouilles avec la Baudruche et la pie voleuse sur le compte de la société des Abrutis et de tous ceux qui vous filent de s petites graines pour nos petits moineaux des champs et des villes, et si tu me pompes l’air, je te préviens, j’appelle Satan…Moi je fais pfitt, pfitt… come ça, pour rigoler et voilà t’y pas que tout d’un coup j’sens un coup de chaud et de cramé et que je vois le glabre se décomposer et se réduire comme une tête de jivaro, Satan était là qui s’fendait la pêche. Moi terrorisé, le glabre muet et plus pâle que jamais…Alors Satan lui imposa de nouveau la « main rouge, rouge ardent », hurlement du croque-mort et odeur de bidoche cramée et doucement comme on parle à un enfant il se pencha vers le glabre et lui dit « Sois tranquille, tu es à moi quoi que tu fasses maintenant ». Ouf il disparût comme il était venu dans une odeur de souffre et j’entends encore son rire « diabolique ». Sous le glabre, il y avait une mare d’eau…enfin j’sais pas quoi. Là il a pris ses cliques et ses claques, ce qui lui restait de plumes et de queue et il s’est enfui sans demander son reste. Ce que je vous raconte, c’est évidemment top secret mais comme je suis le roi des flûtiaux, mon devoir est de raconter l’actualité…
Et chantez avec moi sur l’air bien connu de Zorro est arrivé éé


Satan est arrivé éé sans s’presser éé
Le rouge Satan avec sa queue flammé éé
Le glabre voulait casser éé
Mais l’autre l’a alpagué éé
Pour lui coller éé
Sa main rouge et damnée éé
Je rêve de tous les voir embarqués éé
Et pour mauvais services grillés éé.
Wouahou, ouah… et vous connaissez les recommandations, chantez pour tous les copains, sur toute la terre, dans toutes les langues, la fable de l’abominable Croacroa et de sa mafia. Enfin la moralité de tout cela c’est qu’y a des cumulus maousses qui s’accumulent sur nos têtes et que ça commence à faire du C02 irrespirable !Salut les copains !

jeudi 17 mai 2007

La Fable ? Qui s’y frotte s’y pique

!


La Fable comme on dit y’a pas photo, ça raconte des trucs, des trucs qu’existent, des trucs rigolos ou pas rigolos, même que ça plaît pas à ceux qui s’y voient car si tu t’y vois pas, hein, eh ben t’as rien à redire, y’a pas photo, d’où si tu as à redire c’est que tu t’y vois. Limpide, même clair net et précis comme dirait l’autre…Moi je suis oiseau, un gentil oiseau lambda alors je raconte ce que je vois, rien que c’que j’ vois, et comme j’ai de l’humour je le mets à ma sauce béchamel à moi, finement concoctée, avec amour et tralala. Ca fait rigoler les honnêtes oiseaux, ceux qui n’ont rien à se reprocher, rien à redire. Car j’y peux rien, y’en a qui me débectent et un oiseau qui débecte, c’est pas content, ça raconte auxcopains, ça fait des fables. Voyez le bon La Fontaine, lui aussi y rigolait ferme avec les oiseaux par exemple le corbeau et le renard et ben le corbeau, comme Croacroa, comme la Calebasse fêlée, c’est un idiot, un fat, un benêt qui joue à qui perd gagne et qui y gagne des clopinettes comme notre vieux minable de Croa croa croa qui à force de faire le malin s’est retrouvé aux oubliettes et chez le Malin en sauciflard. Certes Le bon La Fontaine, il avait pas la chance d’avoir la panoplie fine fleur des pois que j’ai devant les yeux. Ah ça, y faut dire que pareille brochette ça relève de la génération spontanée ou de l’asile d’aliénés. Ca sort de partout en même temps et c’est tout impec, au diapason. Par exemple, quand je vois cette pauvre pie tchatcheuse qui se prend pour la fleur des pois cassés, intelligente à exploser, plus belle tu meurs, bref la pseudo-Poupée Barbie- pas-canon-du-tout- à l’Académie des Coincés, hé ben dis donc, quand tu la vois enfiler les conneries tu te dis « y’a des coups pieds au cul des plumes qui se perdent »…sauf pour le juge-vautour qui va bientôt lui demander des comptes. « Qu’est-ce t’as fait d’nos petites graines, hein maraude » ? Là-bas du côté de la mer, au Val Masque, ça chauffe tout rouge, la tourmente se prépare. Houhouhou, je me barre car je déteste les typhons, t’en prends plein la gueule pour pas un rond, même si tu gares tes miches à temps, alors elle, la Baudruche qui les a pas garées, elle peut pas trop enflée d’elle-même, je vous dis pas, bonjour les dégâts. Dans sa perte elle va entraîner le croque-mort, dit le Glabre, le vice incarné, quoi, ? -vicieux ? P’têt ben !-, sélectionné par Satan pour la prochaine tournée de broche même que les petits diablotins y s’ frottent les mains car lui c’est du concentré, pas gras certes, mais du miammiam satanique goûteux, et avec lui, la pimbêche aux hublots, la MM, Méchante Mégère, y s’ lèchent les babines d’avance, et ils lorgnent sur l’oie visqueuse en transfert de ratatouille(pour les zosiaux bien entendu) et en transes permanentes, il paraît qu’elle a vendu des vieux zosiaux à des salauds qui les ont plumés, oui plumés pour dire qu’elle est forte et qu’elle, elle sait faire pour les mettre à l’abri du besoin. S’en fout d’nos zosiaux celle-là ! Des comme ça, ça aime pas les vieux zosiaux, ni les jeunes, ni rien, ça aime que les plumes d’oie, les siennes, c’est comme la bécasse ex-Val d’Orge, tout pour sa pomme ; mais le jour où ça tombera, elles tomberont de haut, bonjour la marmelade ! les diables rouges et fourchus ils lorgnent aussi sur la dinde dodue, la plume relevée bien haut comme si y’avait toujours du vent dans les voiles, ça commence quand même à être du rassis car, elle, c’est pas un tendron, surtout que tout le monde l’a essayée, ahahahahah !ça s’use quand on s ‘en sert comme la pile wonder…alors…la dinde dodue a beaucoup servi, certes pour la bonne cause, en annexe du dévouement aux p’tits zosiaux et puis elle y prend sa papatte, ça compte le plaisir-papatte, le sien pardi ! ; ils lorgnent aussi nos cocos infernaux sur le corbeau carottes vichy qu’à fait tant d’effort pour en être et qui y perd sa quincaillerie et son angliche ; sur la calebasse fêlée du corbeau-chien-chien de Croacroa, et même sur le héron avec son sourire de vieux vert de gris refait niquel chrome, en berne pour grève générale (de sourire), car au Machin, on rigole pas et même sur Jojo la touffe qui dégoise toute seule en attendant la retraite, ya aussi les bouche-trous, toujours en retard d’une bataille et qui se réveillent quand les autres s’endorment au plus fort de la nuit quand tous les oiseaux normaux sont dans leurs nids douillés : j’ai dit Touchtouch la bariolée, une vieille pie jamais au parfum, méchante, méchante avec un bec crochu à faire peur qui se gonfle d’importance et la triste corneille, un vrai tocard qui n’a d’autre intérêt que le sien. Déjà emportés, plumes au vent, la sinistre bécasse (help !crie-t-elle mais tout le monde l’espère noyée !) et le Gaillard pas gaillard du tout ( la pétoche !).Il paraît qu’il a des accointances avec la MM et son vieux corbeau ! Ca m‘étonne pas, tout ça ça sent le rance et la pétaudière. Ah mes amis, que le typhon les emporte, ouais, ça nettoiera l’atmosphère. Moi je me planque dans mon nid douillé. Mais je les vois déjà cul par dessus bord, du vent dans les plumes, malmenés par une tempête qui ne fait que commencer,ils me passent devant le bec, je prends ma plume, je les hèle pour leur demander un interview, la dinde dodue et son ectoplasme de service soi-disant-expert en flûtiaux, y voudraient bien – vous pensez un interview où ils parleront d’eux enfin ! chouette même à l’article de la mort ça ne se refuse pas-, mais ils n’entendent que couic, ils perdent au passage encore quelques plumes : pardi la grande lessive a commencé, je les vois essorés, claquant du bec, en route vers l’Enfer où Satan le Rouge les attend un plumeau dans une main pour les fouetter et la fourche de l’autre pour les embrocher. C’est fou ce que je me marre! quand j’écris des fables, celle-là par exemple, j’me plie en 4, car j’me fais mon cinoche et là c’est grand écran et 3D . J’ me paye le luxe de plumer Croacroa une plume après l’autre sous la marrade des sataniques diablotins et comme il piaille ils lui crient « ta gueule du chnoc ! Ah la marrade ! Ca paye, je vous jure. Faîtes donc comme moi et vous vous en paierez une bonne tranche ; Ah ! les fables et tant pis pour les scrogneugneux qui sont pas contents et qui s’y voient car qui s’y frotte s’y pique… et chantez, chantez avec moi, sur l’air de Santiano :

Larguons les voiles, hisse eho
Tirons-nous du machin
Car y’a vent force 9 hisse et ho
Je vois la baudruche volant au crachin
Et la bande des zosiaux cao,c’est bono, hisse eho
Santiano, ils irons plumés jusqu’à la peau
Où les vautours nous hisseront au mât, hisse eho

Et voilà qu’on me raconte une histoire, une histoire à bien s’fendre la pêche mais aussi en avoir de frissons quand on rencontre sur son chemin le sinistre Croacroa. Il paraît que lorsque Croacroa a vu le jour, on l’avait laissé dans un coin dans son nid douillé et pendant qu’il coinçait la bulle, est arrivée toutes ailes déployées, mandatée par Satan qui déjà lui avait collé sa crête rouge sur le crâne comme sur toute créature lui appartenant dès la naissance, qui, je vous le donne en mille ? la fée Carabosse en personne. Elle s’est tout de suite mise au boulot car du taf, y’en avait sur le pense bête ! Elle lui a donc légué pour commencer son nez crochu qui rejoint son vilain menton, son teint glauque et verdâtre, puis savamment elle lui a injecté le gène de la paresse qui en fait un parasite de la société, un moins que rien, un inexistant social, un non-être total mort, sans n’être jamais né. Elle lui a injecté le venin du crotale qui en fait un concentré de méchanceté, un serpent à sonnettes qui les agite partout en tout lieu alors qu’on le sonne pas. Qu’il sonne tout seul dans son coin. Chez les Abrutis, il n’a rien à y faire, il a été viré comme le salaud qu’il est et fût, donc il n’a pas à s’en mêler, personne ne le sonne. Avec amour, la Carabosse lui a collé le virus de la bêtise tous azimuts, d’où son utilisation du ragot anonyme à coups de flûtiaux dans les airs en mobilisant les ondes de partout ; elle lui a injecté la vanité qui fait qu’il se croit intelligent, cultivé et malin et qu’il ne sait pas reconnaître ce qui lui est supérieur mais qui le connaît lui le pauvre raté? Il en crève de jalousie. Personne ne s’intéresse à sa sinistre gueule de c…, sauf les juges –vautours et les merles gendarmes gris et noirs. Et comme il connaît rien à rien, il prend ses désirs pour des réalités…les honnêtes gens lui crachent dessus, et on se réjouit car il est aux Enfers, à la broche ou aux petits oignons, il se cache et essaie parfois de se faire une nouvelle peau car on m’a raconté que les gardons l’ont éjecté car tous les juges-vautours l’avaient à l’œil là-bas, alors il fuit ailleurs, là où on ne le connaît pas encore et encore, mais on le suit, l’œil de Satan l’accompagne partout car qui a mal vécu finit mal. C’est Satan qui l’a parachûté de l’autre côté de notre grande rivière, là où il croît qu’on le connaît pas encore mais non zozo, on te suit à la trace car pour Croacroa y’a pas photo, il a toutes la marques sataniques qui se voient de loin. Puis la Carabosse a pris son temps pour lui injecter au fond du gosier une dose infinie de cynisme, grossièreté et irrespect, ce qui fait qu’il n’a aucune conscience de ce qu’il fait, puis elle s’est ingéniée à lui injecter le virus de la perversion, toutes les perversions, le cocktail explosif quoi, enfin pour couronner son chef d’œuvre, elle lui a injecté un cerveau fêlé et c’est comme ça qu’il a fini chez Satan qui avait bien programmé sa créature ! Ouah ! Vous le reconnaissez, Croacroa en chair et en os ? Vraiment Raide Maboule programmé ! Rigolons !Que Satan l’embroche ! Mais comme c’est aussi le printemps chantons, chantons les arbres et les fleurs, chantons, le voyage à tire d’aile, ne nous laissons pas pourrir la vie, en espérant que bientôt ils seront tous, tous, Croacroa et ceux qui lui ressemblent, à la friture. Chantons sur tous les tons !

Larguons les voiles, hisse eho
Tirons-nous du machin
Car y’a vent force 9 hisse et ho
Je vois la baudruche volant au crachin
Et la bande des zosiaux cao,c’est bono,
hisse eho
Santiano, ils irons plumés jusqu’à la peau
Les vautours les hisseront au mât, hisse eho.
Touwitttouhou !Ouah !

Et chantons à pleine voix, on est des oiseaux non ? Salut les copains !

lundi 23 avril 2007

Le singe imite l'homme

Le singe imite l’homme…et comment la Société des Abrutis va à sa perte



C’est un adage bien connu, on imite le maître,le supérieur… ainsi en va-t-il de feu Croacroa. Ce vilain corbeau qui n’a ni esprit ni originalité ni intelligence et ne s’exprime que par la médiocrité, l’insulte, le ragot visqueux, quand il tente de se faire une nouvelle peau, il cherche à imiter l’original, il m’imite…mais qui peut confondre l’original avec la sinistre copie, illisible et à vomir de celui qui ne peut pas troquer sa triste figure contre celle d’un honorable oiseau car Croacroa ne peut pas faire ce qu’il n’est pas. Jusqu’à sa dernière heure il sera la peste et le choléra réunis que même Satan et ses sbires voudraient voir dans un autre Enfer. Malheur il n’y en a qu’un ! Croacroa c’est la putréfaction faite corbeau, la fange et la bêtise réunie et je sais parce que cela se crie partout que certains voudraient bien le voir rôtir en Enfer pour toujours. Vaut Rien Mort comme il ne valait rien vivant. Sa maigre cervelle démolie par le vice ratiocine de vieilles vengeances comme si la terre entière et les airs lui prêtaient encore une oreille. « T’es mort Croacroa et De profundis, t’es pas intéressant » car la triste maison n’a pas besoin de lui pour s’agiter, toujours « contre », toujours « contre » sans rien faire, s’agiter, brasser de l’air…ainsi le vilain croque-mort le glabre marqué au fer rouge par Satan tente de se faire sa propre cour de courtisans, pardi il en aura besoin quand il voudra dégommer le petite pie tchacheuse qui se dégonflera comme ce qu’elle est, une baudruche, car ce glabre il a beau être bête comme ses pieds il a les dents qui traînent par terre et raclent le plancher à chaque fois qu’il fait un pas. Tout ça ça truande à qui mieux mieux , ils veulent tous la couronne royale mais y’en a un qui voudrait bien la garder, c’est le héron, dame il l’a fauchée, elle est à lui. Fauchée dîtes-vous ? Tiens ça me rappelle quelque chose, la pie voleuse, c’est sa profession faucher, faucher l’argent et l’argenterie et en avant la musique, à la Société des Abrutis, tout est possible, condamnée par la loi à la noire peine elle lavera plus blanc que blanc. L’autre jour, comme ça, mine de rien j’ai v olé au-dessus de son nid et ben mazette ça regorgeait de marchandises, où c’est qu’elle l’a prise hein je vous le demande ? Le juge vautour lui il a tout compris, aboule no’te fric vieille pie, ma Dalton, aux Enfers ! La malade des bords du fleuve, elle fait fort, moi j’rigole car elle fait le boulot qu’on est pas cap’ de faire…elle va tellement secouer tout ce vieil édifice branlant que les autorités qui gouvernent nos oiselles provinces, elles vont se mettre en rogne et ça va mal finir. Ah ! le bonheur de les voir tous devant le juge-vautour, menottes aux mains, j’en rêve ! La MM, la Méchante Mégère, la pie aux hublots qui a volé nos cadeaux, à la tour des vautours où ça sent le moisi et les rats crevés. On va faire ta pub dans tout le royaume des Oiseaux, et l’oie coincoin, la traîtresse qui transfère sa graisse partout, son couteau caché sous ses plumes, ah ! celle-là y’en a qui rêve de la mettre au four entouré de marrons. Miam miam. Et si on s’empoisonnait car elle dangereuse. A traiter avant au détecteur de mensonges avant usage ! Si elle gagne la malade du bord du fleuve, il va y avoir des réveils difficiles. Qui est élu ou qui croyait l’être, tous devant le juge. Y’en a qui auront pas eu de chance par exemple le corbeau carotte Vichy, le Rouge , tout clinquant de ficelles de la tête aux pieds, y fait un raffut quand il arrive…et ben le pôvre ça fait dix fois qu’il essaie d’en être et ben paf, pour une fois qu’il a fini par arriver au but, boum à dégager, « t’es pas élu du chnok », tu recommences à te lustrer les plumes et peut-être que cette fois t’en sera pas », sûr il en fera une crise cardiaque, à dégager ! Et le croque-mort, encore un à qui on fera sa fête ; on dira tout comment il tue les pauvres oiselles qui vont couver sur leur nid, comment il va partout en catimini raconter pis que pendre sur tout le monde y compris sur le pie tchacheuse, dite la baudruche « et je suis le plus beau, le plus intelligent et voyez mes plumes, ma queue ; mon chant… » Ouah ! C’est fou y’a que des intelligents là-dedans, des beaux, c’est à croire qu’on les attire et pour chanter ça ils prétendent tous savoir, sauf qu’ils chantent tous faux, qu’ils font honte à la Société et qu’on se demande comment les zosiaux abrutis du royaume des zosiaux ont pu élire pareille collection de tarés ! Y’avait longtemps que j’avais plus entendu parler de la méchante bécasse qui offre ses services gratos –sauf qui faut tout lui payer car elle a pas une tune ! Eh ben ça y est elle se déchaîne la folledingue ici et là elle ramène se cris d’orfraie pour se venger de qui lui déplaît, toujours pareil, même couplet perfide « t’as pas fait comme je veux, t’as désobéi, allez pan tu seras punie ». C’est comme je vous le dis : des débiles mentaux, on se croirait à la maternelle où c’est encore permis de jouer. Ca vole bas à la société des abrutis et au Machin, c’est encore pire, là tu descends de trois crans d’un coup dans la conneritude…

mardi 17 avril 2007

Nuls, nuls, archinuls

Nuls, nuls et nuls on peut pas faire pire !!!


Je m’étais accordé un petit congé car on ne peut pas sans risque pour ses méninges rester au degré 0 de la pensée, dans la fange où se complaisent la baudruche, le glabre, la dinde dodue, le héron, la pie voleuse, la pie aux hublots et leur compère des basses œuvres, le geai gaillard, pas gaillard du tout, le corbeau marron and co, ça cocotte et ça rend neurasthénique, aussi je me suis barré respirer l’air du printemps, voler parmi les jeunes pousses des arbres et les fleurs des champs : c’est beau le printemps. Mais pas au Machin, comprendre le CA dans la Société des Abrutis. La Baudruche en plein délire de la personnalité voit le complot partout, elle dégomme tout le monde et veut rester seule sur son tas de fumier. Le pire c’est qu’elle se croit très intelligente et supérieure et unique en son genre. Ah ça oui, unique en son genre car pire c’est pas possible « moi, je…je suis la plus belle, la plus intelligente, la plus, la plus… » conne, ça oui. Une pie comme ça j’avais jamais vu et pourtant les pies ça radote, ça piaille, ç’est infernal mais celle-là elle bat tous les records, comme la pie voleuse enfin condamnée par le juge vautour qui n’a pas cru ses salades, et qui lui en a collé une, pas vu pas pris, aboule ton fric vieille voleuse et celui que t’as soutiré aux braves adhérents qui ont payé ton avocat… tout, la totale, tu te retrouveras en caleçon : ô quel affreux spectacle. Quant au glabre, alors là il ramasse la famille pour consolider son siège branlant, lui, ça suffit pas, il rameute sa mégère, une grande G…qui connaît que dalle et l’ouvre pour ne rien dire, cuicuicuicui, ta G…, et bientôt sa maîtresse…enfin toutes ses maîtresses, peut-être, les copains, les exclus, point bis , les véreux, bref tout ce qui pourrait soutenir ses malhonnêtetés…il a beau être moche à faire peur, il doit avoir des secrets quelque part sous ses plumes pour leur faire miroiter le 7° ciel ! On va s’en occuper, mazette !Ah je rigole vert et jaune quand je pense à toutes ces petits zosielles qu’il a envoyé à trépas avec ses méthodes nazies de stérilisation par avortements. Et ça joue les docteurs ! Juste bon à t’envoyer ad patres ! C’est ce que pense notre Grand Docteur Choucas, expert en psychiatrie car le glabre il en relève sûr !. Maintenant il envoie partout la stupide vieille pie aux hublots, celle qu’on appelle MM, Maudite Mégère, pour cracher sa bave nauséabonde partout, flanqué du corbeau carotte Vichy toujours aussi voyant et cliquetant d’argenterie du bec à la queue, clic-clac-clic-clic-clic et toujours aussi content de lui et ça cause ça madame, ça cause…ça donne son avis sur tout, ça pérore…une vraie perruche « et moi j’cause anglais et franglais » et français, tu causes, peigne-cul, toujours plus haut que sa queue ! Mais on s’en fout de ce que vous pensez, moi ce qui m’intéresse c’est ce qu’on pense de vous, car dans les flûtiaux ça marche aussi très fort, juste un peu de temps et un grand coup de balai, le ménage de printemps quoi et ça marche tellement bien dans les flûtiaux que on sait déjà que la folle dingue, la gélinotte qui hante les bords du fleuve et qui veut à tout prix venir couiner au CA, elle porte plainte contre la baudruche, le glabre, leurs pompes et leurs œuvres, chouette ce qu’on va rigoler, on lui a raconté des histoires, on l’a dupée paraît-il, on lui a caché des noms, des noms d’zosiaux, pour quoi faire je vous le demande : il paraît que c’était pour dire qu’elle était la plus belle, la plus intelligente… » encore une ah ! ya pas à dire ya que des cedrveaux chez nous et faut voir le QI cuicuicuicui… cui, elle a inondé les airs de ses discours foireux et de sa tronche à se voiler la face et ça lui suffisait pas, elle en voulait encore et encore, à s’en rouler par terre de rire, qui est pris qui croyait prendre et que j’annule les élections et y’en a qui vont se retrouver pas élus, d’autres sortis du Machin, et qu’est-ce qu’on fait de ceux qui seront plus élus bientôt ? Ahahahahahahahah !, quelle rigolade, y’aura plus que des « pas élus », donc plus de CA. Tout le monde devant le grand juge ! Chouette alors ! Comme ça y’aura plus de conneries et peut-être même que les autorités, là-haut dans le ciel, elles vont s’en occuper…le balai de crin et pan pan cucul sur les plumes de la queue du glabre, de la baudruche, du marron, de la pie voleuse, de l’oie traîtresse, de la calebasse fêlée, le copain de Croacroa dont Satan s’est si bien occupé qu’il lui a même coupé le sifflet pour quelque temps entre deux cuissons à point. Ca n’a pas empêché ce voyou rassis de fausser compagnie aux sbires de Satan fatigués par son tintouin, de venir en catimini parcourir notre Grand Nid, conduit pas le Glabre et la Grôooooosse Buuuuuuuse Obtuuuuuuse de venir fouiner partout dans nos réserves. Un voleur ! Il n’est rien ce Vaut Rien Malheureusement, ou Voyou, Raté, Mort pour nous, exclu, viré, tatoué « indésirable ». Alors fichez-moi la Buse et le Glabre à la porte pour crime de lèse majesté. Ah ça on s’en souviendra le Jour J, devant tous ceux qui crachent au bassinet pour que vous puissiez vous empiffrer à nos frais. Ah !oui, on rêve même de les voir dans la Tour des Vautours à payer leurs forfaits, ailes et pattes liées. Mais j’en apprends de belle sur le vent des nuages, je tends mes écoutilles : la vilaine baudruche cul de poule elle s’en ai pris à la gentille bergeronnette, hyper sympa et hyper compétente, trop sans doute pour ces paumés car même schéma que pour les autres : tes plumes ne me plaisent pas, ton bec est trop pointu, trop aiguisé, tu rampes pas assez au sol devant Sa Majesté la Baudruche diplômée es tchach de super marché, jour de rabais, les pires. Elle plaît plus la bergeronnette, elle a jamais plu à ces ratés car elle était une amie du serin et de ses copains, alors ça leur fait de l’ombre à tous ces nuls, y compris au Gaillard pas gaillard, un vieux geai déplumé qui connaît rien à rien, un Nul puissance N qui a tout dans la tchatch comme la bande à la Baudruche et au Glabre ; mais fais gaffe la baudruche, ton temps se compte en jours pour toi et tes copains, surtout si la gélinotte gagne à la tchatch contre toi. Supe, r, la viole de gambe des bords du fleuve, elle chante la messe à notre place, elle fait tout le boulot qu’on espérait, le toutim, car la déglingue est totale et tout le monde le sait ; moi je prie le ciel que le juge vautour lui donne raison, j’en suis plié en deux de rire ! Il faudra que tu rendes des comptes car t’as gadrouillé nos petites graines et toutes nos réserves, t’a laissé sur la paille les pauvres petits zosiaux, les errants, tu gardes les graines qu’on te donne pour payer tes copains le geai déplumé gaillard derrière et pas devant, traître et menteur. Tous pareils, tous pourris ! Du balai ! Que nos autorités du ciel s’en mêlent vite et bien ! Ca va chauffer, je sens qu’il souffle un vent mauvais sur les ondes des flûtiaux qui balancent tous azimuts vos forfaitures jusqu’aux nids les plus reculés. « Hou , hou, hou, hou ! Venez voir venez voir la Baudruche aux abois, réduite à elle-même et le glabre sans plumes et la pie voleuse dépouillée et l’oie dodue vissée au plancher sans transferts de plumes et la pie aux hublots enchaînée, le corbeau-chien toujours grossier et qui ne comprends que couic, bientôt tous empaillés ou faisant la queue à la rôtissoire chez Satan en compagnie de Croacroa, le spécialiste de l’ignoble ». Et tous d’applaudir…

Et chantons pour nous donner du courage dans l’attente des jours de colère.
Sur l’air de « Il pleut bergère… »


Il tonne, il tonne, baudruche, casse-toi avant l’balai
Sans abri la baudruche, tu s’ras pas à la fête
Voici venir l’orage, j’entends l’tonnerre qui roule,
Le glabre met les bouts mais on lui tient la tête

Y’a du vent dans les voiles, les cinquantièmes hurlants
Ton bateau tangue et coule
Y’a le juge-vautour qui se régale,
au coin en embuscade,

Vous finirez à la cocotte, accommodé aux petits pois !
Ah ! c’qu’on rigole au Machin, c’est quoi l’CA ?
Ceux qui rigolent pas, ce sont ceux qui banquent et caracaca….
Caracaca, Caracaca, Caracaca, caca

Et selon la coutume vous reprenez en chœur dans toutes les langues que vous connaissez et si vous ne connaissez que la vôtre vous dîtes en claquant du bec,caracaca, caracaca, caracaca, caca ! Signé le Justicier !

lundi 12 mars 2007

Chronique du sale temps !

Chronique du sale temps !

Il m’a été raconté que le monstre Croacroa ce Vaut Rien Malheureusement continuait dans les glouglous de sa marmite à cracher sa bile noire sur tout le monde. Moi j’aurai préféré que Satan le croque tout cru plutôt que de nous le resservir de temps en temps en hors d’œuvre : ça devient une indigestion, que dis-je un empoisonnement tant il est nocif…oui je disais qu’il m’était venu aux oreilles car j’ai une bonne ouie que cette vermine utilisait toutes les voies et toutes les identités à son service pour cracher sa turpitude et menacer les braves oiseaux qui voudraient se présenter au machin vous savez celui où on tait son bec et où on jacte plus, eh oui menacer de blogs tous flûtiaux encore plus méchants et fielleux. Menacer ! Oui menacer mais pour qui se prend ce déchet, cette m… ? Tout le monde s’en tape de ses conneries, -sauf la justice des vautours qui accumul ;ent, accumulent pour frapper un jour très très fort- le pauvre se croie malin mais quand on cause de lui, tous sans un pli rigolent en se tapant sur le ventre ahahahahah ! Vous parlez du maboule ? Quel facho ! Y s’en rend même pas compte, c’est vous dire comme il est atteint ! Pouah !Ahahahahah ! Ouah ! Enfin tous sauf la Baudruche, tchatcheuse de supermarché au rabais qui continue, elle, à débiter ses sornettes et ses inepties : la dernière en date c’était sur les cirques et va que j’te balance des menaces d’un air je vous dis pas… assuré !Mais oui m’dame, la pauvre si on l’écoutait et on la prenait au mot elle saurait pas quoi faire de toutes ces centaines de grosses bêtes qui lui resteraient sur les bras…à moins qu’ils s’en fassent un franche lippée de la baudruche car ils aiment bien la barbaque, Miammiam. Y’a hélas des circonstances qui font qu’il vaut mieux fermer sa gueule si on a pas la solution car elle pourrait être pire que le mal et moi j’ai toujours peur que l’on règle la situation en les envoyant ces grosses bêtes sympas, de vie à trépas. Mais c’était juste pour faire parler d’elle car évidemment personne ne la connaît. C’est raté ! Y’a aussi une nouveauté au Barnum Circus de chez nous, i’ paraît qu’elle interdit à tout le monde de parler au nom du Machin, sauf elle, elle , elle, sa Majesté enivrée de sa supériorité. Elle a peur du serin, c’est sûr qui chante mieux qu’elle et raconte mieux nos histoires et que tout le monde connaît ! Comme si on allait lui obéir surtout qu’elle, elle couine comme une porte coincée. Mais une horreur n’arrive jamais seule, le pire nous est tombé dessus avec le coquelet. Ah, le coquelet, vous connaissez pas, c’est le Monsieur Muscle de la Grande Maison, celui dont les os font clac clac quand on le frôle, ça plie mais ça ne casse pas tout seul hélas! Celui qui voyage en rêve en Chine avec nos graines de soja mais qui les garde dans sa poche, nous les a pas rendues nos graines et alors pourquoi on les demande pas, elles sont à nous et il n’a rien fait que de photographier des nonosses de poulet et une pelle. Moi ça je sais faire et je demande pas 3500 euros ! Hihihihihihi !Ahahahahah ! Ce que c’est qu’un artiste tout d e même ça coûte cher, tout l’art est l’art de te faire prendre des vessies pour des lanternes…mais nous on est des oiseaux, on gobe tout, même les tguyaux crevés, tout ce qu’on nous raconte et comme en plus au machin, c’est le Royaume des Abrutis, ils gobent sans penser à rien. Moi je demande des comptes et j’en demanderais foi d’oiseau mécontent ! De plus y’sait chanter comme moi je sais aboyer, sur nos flûtiaux c’est devenu sinistre, le journal de la maison à se taper la tête d’ennui, y raconte même pas la vérité. Par exemple quand tous les copains sont venus de toute la France et qu’ils ont dit « pas d’accord avec tes conneries de baudruche, eh ben non, y’a rien d’écrit là-dessus, c’est comme si tout le monde se faisait des guilisguilis sous le menton en chantant que tout est bien dans le meilleur des mondes et justement personne n’était content et ils l’ont tous crié misère, sauf quelques dégonflés attentistes. Dans son journal que dalle ! « Ohé, ohé braves zosiaux, tout va bien chez les zosiaux et ceux qui sont pas contents sont priés de la boucler ! ». Moi j’appelle ça de la censure. Comme quoi ces temps pourris continuent à exister chez nous avec la baudruche et consorts. C’est comme la lettre, le Noël il était super succès et moi j’ai rien vu sauf nos petits zosiaux comme d’hab. pas de musique, pas de paillettes, sinistre, à en pleurer. Ah ! Où sont les Noëls d’antan ! C’est comme la nouvelle formule, moi j’ai rien vu ou pas grand-chose qui mérite des discours, ma foi il faut bien se remonter le moral car eux ils’ont p’ête bien pris du plaisir à la faire leur lettre moi j’en ai eu aucun à la yieuter ! T’es parvenu à rien ma cocotte en papier ! Ca ne m’étonne pas ! Mais il y a encore pire, pire de pire…car chez nous le pire peut arriver : la vieille pie voleuse du bord de mer, ça y est, le juge vautour l’a pas ratée, ratati et ratata, au nid, à la tour des vautours et un paquet de graines variées, un vrai paquet, à nous rendre, chouette pour nos petits moineaux…elle va nous rendre ce qu’elle nous a volé ainsi en a décidé la loi…et pan sur le bec, ramasse ton caquet…y’en a qui vont être contents, c’est tous les pauvres oiseaux crédules qui lui avaient donné de quoi payer ses tchatcheurs pour la défendre car elle avait mendié à toutes les portes, - chez elle tout le monde allait mourir et de pleurer des larmes de crocodile ! - eh bien y vont pouvoir lui réclamer. J’en connais qui sont contents et d’autres qui rigolent tandis qu’elle elle rit jaune même jaune pâle. Mais c’est pas tout, patati et patata, dehors la vieille pie, nous on en veut plus car nuire à la société même abrutie c’est nuire à tous nos petits zosiaux. Elle incarne le vice, le vol, les abus de biens d’zosiaux. Dehors la mégère et malgré ses piaillements d’orfraie à la ronde, hors du nid commun. Moi on m’a raconté que dans le sien y’avait plein de choses qui brillent jusqu’en haut, à ras bord, et même trois pianos pour s’accompagner au chant choral. Vu ce qu’elle couine ça lui sert pas à grand-chose mais c’est comme ça avec la pie, ma Dalton, ça accumule pour les mauvais jours, des pianos, de l’argenterie, ça fait du bruit, ça brille, ça peut toujours s’échanger contre de bonnes graines et du lard pour l’hiver et des fruits bien sucrés, ah elle est prévoyante notre pie voleuse avec les biens des autres et même ceux des pauvres moineaux des rues, elle est pas regardante, elle reprend d’une main ce qu’elle n’a jamais donné de l’autre et pendant ce temps-là y’a tous les pauvres couillons qui y croient ! Dame, elle a bien dit partout qu’elle était « blanche comme le lait », eh bien voilà, le juge-vautour y pensait pas comme elle et les pauvres couillons, il l’a trouvée gris très foncé virant au noir, dame pour une pie, c’est normal ! Quand je pense qu’il y a eu un dégonflé pour la défendre, un qui retourne toujours sa veste du bon côté! j’ai vraiment honte pour lui, ce tchatcheur vrai, il aime les petites graines plus que les petits oiseaux ! Enfin moi j’attends que l’air soit plus respirable dans le cloaque, avec les copains, ceux qui ont compris tout de suite, ceux qui ont compris un peu tard, restent les bouchés à l’émeri et ceux dont les ailes traînent par terre d’ambition comme le glabre, le chien-chien facteur, la pie aux hublots, les indécrottables brevetés es connerie, es encéphalogramme plat et raplapla. J’ai jamais vu une pareille collection de demeurés et je ne comprends pas qu’on puisse leur laisser toutes nos graines et nos greniers et tous nos biens…ils savent pas. Voyez par exemple le corbeau moreno, le marron qu’est marron même chez les cassoulets, y’spavane comme un paon mais c’est un faux-cul qui roule pour Croacroa, une des antennes du paria, aux ordres du recuit de méchancetés, moi je propose qu’on l’envoie avec lui comme ça y’pourrait prendre ses ordres sans avoir à prendre son flûtiau et nous on serait débarrassés. On m’a raconté qu’il insulte les braves oiseaux comme ça gratos et à domicile, son ami Croacroa a du lui refiler sa maladie car ça, c’est copier-coller le maboule. Tout ça, ça va mal finir, moi je le prédis et je ne me trompe jamais, dame je consulte Madame Soleil et c’est ce qu’elle dit « a partir du mois de juin ce sera tornades et vent debout, coups de balais et coups de pieds au cul, grande lessive de printemps, le rebut à la poubelle et les cons en prison et roulez manège », qu’elle a dit, je vous jure, foi d’oiseau et elle a même ajouté « y’aura des macchabées sur le carreau et des luttes sanglantes au corps à corps : les blogs ça va catcher, la maison va tanguer . Il vaut mieux garer ses plumes» qu’elle a dit. Moi, je gare avec quelques copains y’a longtemps qu’on a compris ! Ah, au fait mon ami le rossignol a préparé pour vous cette petite ritournelle fort à propos imitée de notre folk song. Chantez, chantez à pleine voix, prenez vos flûtiaux, rigolez en attendant de pleurer à chaudes larmes, c’est le printemps, le renouveau, on fait plume neuve, nom d’un oiseau :

Nous n’irons plus au bois, les chemins sont coupés

Les pourris que voilà, on les a tous virés

Entrez dans la danse, venez nous aider

A prendre le balai et à les plumer

Chantons, dansons, empalez les demeurés.

Nous n’irons plus au nid, les vivres sont coupés

Le juge-vautour et ses amis y ont veillé

Entrez dans la danse, venez les aider

A les envoyer, au trou noir enfermés,

Chantons, dansons, au clou tous les emplumés !

Nous n’irons plus au bois, les macchabées sont là

Attention aux horions, les coups bas y’en aura

Satan s’est déchaîné, c’est l’oeuvre de Croacroa

Chantons, dansons, empalez les enfoirés

Et comme d’hab pour ceux qui savent en chinois, en papou, en amérindien, en amazonien, en chihuahua en tout ce qui vous passera par la tête mais chantez et prenez vos tamtams et vos flûtiaux. Allez c’est parti. Ouah, tous en choeur !Et rendez-vous à la curée !

jeudi 1 mars 2007

Un peu de dignité voyons !

Un peu de dignité voyons !

Notre méchante société se défend mal. Comment un indigne corbeau, maboul psychopathe, qui devrait être enfermé à vie avec la camisole, que ses propres parents vomissent, que la justice a épinglé pour ses forfaits, comment ce sale volatile fétide a-t-il pu entrer dans notre maison y semer haine et violence et continuer à nous nuire là où il est, en Enfer ? Car ce suppôt de Satan, honni de la terre entière est toujours là en embuscade, avec ses fixations de cinglé, son vocabulaire révélateur de son état mental car pas besoin d’être diplômé es psychopathes pour savoir qu’un maboul y répète toujours la même chose, y raconte toujours les mêmes sornettes, y sait pas changer de disque : c’est même le signe de sa maboulerie et tout et tout…mais qu’il se rappelle que l’on accumule sur lui tant de preuves que le jour où il tombera, il ne se relèvera plus, ouf la camisole a vie ! Mais il n’est pas le seul , à croire que nous les attirons. Au même chapitre,il y a la pie voleuse qui crèche au bord de mer, la mama Dalton, la pie tchatcheuse nulle et non avenue, la facho du « boucle-là, t’existe pas » ou de « ta tronche et tes plumes me plaisent pas, dégage… », qui fiche en l’air toutes nos petites réserves et nous met sur le flanc(108000euros partis en fumée pour satisfaire les obsessions de madame piapia !) occupe-toi donc de ton petit zoziau qui piaille au nid avec les six autres du vieux père-pie, il y a le corbeau Moreno qui en trimballe une super couche, le ravi de service, content d’être là à nos frais en en glandant pas une, (de toute façon comme il a pas plus d’idée qu’une bulle d’air, vaut mieux qui se taise pour no’t survie ; il y a la sale pie aux hublots et aux échasses presque aussi voleuse que l’autre et qui est si bête qu’elle remporte partout le premier prix de la connerie es qualités, il y a le facteur chien chien de Croacroa, un pauvre corbeau déplumé qui comprend qu’une chose : répondre aux coups de sifflet du maboule et porter les nauséabondes missives anonymes de son copain, rien d’autre, n’essayez surtout pas, ce serait la cata, comprend pas, bouché à l’émeri ; et puis le glabre, hypocrite, menteur, incapable, aux ailes qui traînent par terre d’ambition rassis, qui voudrait bien se faire des petites graines en roulant des mécaniques (qu’il n’a pas, regardez-le, biceps en berne, regard fuyant, kingkong mini-mini-mini !…, le spécialiste du référé tous azimuts et du « dont acte »), puis encore la pimbêche, bénévole de la protection qui se prend pour la présidente…de la République et qui pérore partout que moâ, moâ moâ, j’ai toujours raison partout, je suis la science infuse…la spécialiste du nid douillet anglais, une glue super collante, encore une folle dangereuse qui me fait peur pour nos petits zoziaux, vous savez c’est elle qui zigouille tous les noirs… et y’en a d’autres à en dresser un catalogue, on croirait qu’il suffit de mettre un pied là dedans pour attraper le virus : on arrive sain d’esprit avec de bonnes idées bien généreuses, et une fois entré dans le cirque t’en ressors presque aussi vérolé (horreur !)que Croacroa, tu te mets à croasser au lieu de chanter ! Grave ! T’oublie même pourquoi tu es entré au cirque, tu balances des noms d’oiseaux, tu prends et tu envoies des ramponeaux enfin t’es un autre, t’es plus toi-même, t’es un clone…Moi j’ai peur à la contamination –vous imaginez ressembler pour la vie au glabre, au corbeau marron ou au facteur chien-chien ou à la pie voleuse ou à l’autre repoussoir aux hublots ! de quoi se suicider de désespoir ! C’est pourquoi quand je peux je me tiens au frais dans les arbres d’où j’ai une vue plongeante de la situation du cloaque et là-dedans ça cocotte…Pouah ! Encore, parfois, même là-haut j’entends la voix éraillée du la corneille qui crèche dans les trains et qui vent debout raconte( c’est sa seule occupation et c’est tout ce qu’il sait faire !), tous les potins qu’il ramasse, alimentés par la grôôôôôôsse buse obtuse, toujours aussi buse, toujours aussi obtuse et toujours aussi fan de Croacroa. Que voulez-vous le Mâl(e) ça fascine ! Ah !Ah !Ah ! AaâââââH !!! Le Mâle ou le Mal : juste le Mal mon capitaine ! Tout, pas de secret, ils transmettent tout au Chef, le satanique et méprisable Croacroa ( le Mal pas le Mâle !)qui cuit en ratatouille aux Enfers, la moindre petit info dont l’autre aussitôt s’empare pour médire méchamment, grossièrement, médire, médire, la seule chose pour laquelle il est programmé, CD non stop, de sa voix éraillée qui vient du tréfonds de l’Enfer, aïe, aïe, aïe, pôvres de nous !. Quel malheur ! Tout ça va mal finir ! je vois le spectre des autorités qui se penche sur notre triste cas et je me dis que tant pis pour eux…qu’on en finisse…On voudrait leur dire « Voyons un peu de dignité » mais c’est perdre son temps car de la dignité, n’en ont pas et ne savent même pas que ça existe. Quand on lui met le nez dans son caca la baudruche elle répond n’importe quoi, elle se prend pour Dieu le Père ou la Sainte Vierge, elle a toujours raison, elle se gonfle, gonfle, gonfle et qu’est- ce qui dit le bon Père La Fontaine…et elle nous gonfle, nous gonfle, nous gonfle :

Sur l’air d’un tube du chanteur Benabar

Elle nous gonfle nous gonfle nous gonfle

J’veux pas yaller

J’suis fatigué

On ira plutôt manger des pizzas pour rigoler

Arrosées d’un vin qui rendra gai

Tous ces cafards y’m gonflent

J’veux pas y’aller

J’suis fatigué

Ah oui j’suis vraiment fatigué ! Un peu d’air comme d’y l’autre ça rafraîchit. De l’air va y’en avoir dès la fin mars, les rigolos vont plus rigoler, c’est le grand chamboulement, on s’regarde déjà en chien de faïence, les blogs flûtiaux vont circuler , ça va voler bas dans la volaille. Moi j’vais bien rigoler. Faudra en envoyer chez les spécialistes des flûtiaux tous azimuts. Dame y faut bien que la France entière du ciel, les oiseaux de partout y rigolent eux aussi ! Ah y va y’avoir du rififi chez les abrutis !...

lundi 5 février 2007

C'est la fête aux oiseaux

Chapitre 21

C’est la fête aux Oiseaux

Le temps des upercuts et de horions

J’ai jamais vu un truc pareil. T’es élu à not’ maudit machin pour y causer et y dire ce que tu penses, t’es juste élu pour ça, non ? C’est même ça la démocratie, la vraie ? Eh ben chez nous c’est juste le contraire, c’est là que tu la boucles. La baudruche et ses sbires y s’asseoient dessus et décident tout avant, entre eux et toi, t’es là juste pour faire joli, enfin ça dépend qui…j’ai jamais vu plus facho que ce truc là, à croire que Croacroa inspire tout ça, car lui, c’était le pro de la lettre anonyme, c’était la langue de vipère de la délation et le champion de l’upercut, les fauvettes elles en savent quelque chose…Moi je crois que ça va finir comme ça, en échanges d’upercut et de horions collectifs, car à force de nous confiner au mutisme bec cousu, je sens que ça va exploser et que ça va même châtaigner manu militari comme dit l’autre. Moi ce CA j’en ai marre de le voir, y coûte cher aux Oiseaux et y sert à rien, ça vit aux crochets de nos petits moineaux, en plus maintenant il est muet, y cause plus, enfin avant y causait pour dire des conneries, alors peut-être qu’il vaut mieux qu’on l’entende plus. Mais la pie tchatcheuse qui soliloque ça fatigue, ça donne envie de dormir. Elle débloque et c’est tout le temps hors la loi, antidémocratique total ! Gare à toi, y a des limites à ne pas dépasser ou ça va chauffer ! Dans ce maudit machin, les dignes élus de la pseudo-démocratie se radinent deux fois par mois pour faire les beaux, les importants, plumes du jabot gonflées comme qui ? Comme des baudruches ou des grenouilles qui veulent se faire aussi grosses que le bœuf. C’est ça même, ça donne des ordres à ceux qui turbinent, ça se prend pour qui ? Je propose qu’on le supprime le machin, le CA, ça fera pas une vague. Et ça assainira l’atmosphère. Et ça fera des grosses économies. Déjà tu leur supprimes la bouffe y’aura moins d’amateurs, ben chez eux y bouffent bien non, alors pourquoi faut leur payer ? C’est plein vent debout. La révolte a des ailes…ahahah ! C’est parti mon quiqui! Ah ! Qui commence ? Je vois l’œil du serin qui devient rouge sang, mauvais signe, il en a plein les plumes depuis le temps qu’il encaisse des couacs à commencer par ceux de feu Croacroa l’embroché, je vois la mésange qui aiguise son bec bien affuté, les fauvettes qui battent des ailes en cadence, le héron qui gare ses miches dans le couloir doublé sur les bords par sa dinde dodue cherchant refuge dans le nid le plus proche, tandis que Geogeo la touffe en or(dure)en bataille piaille affolée « mais qu’est-ce qui se passe…mais qu’est-ce qui se passe…moi j’comprend rien, j’en ai marre » et que Touchtouch la barriolée se réveille alors qu’atterrit sur son nez les plumes du jabot du cuisinier spécialiste des carottes Vichy, arrachées vigoureusement par une corneille en transes. Piou, piou, piou,piououououou, se lamente le triste corbeau. La pie gendarme voudrait remettre de l’ordre mais personne ne l’écoute, elle finit par recevoir une boulette de pain dur sur le bec. Ca fait mal. Ras le bol. Elle ne sait même pas d’où elle vient. Le serin se prend un coup de bec de la pie tchatcheuse et il réplique en lui balançant quatre coups de pattes griffues qui l’envoient gicler à dix mètres et tous de piailler dans un concert jamais atteint de noms d’oiseaux, l’oie dodue cancane qu’elle veut manger la caille benoîte qui ne disait pas un piou piou plus haut que l’autre mais en voyant l’oie se dandiner vers elle, le surin à la main, elle botte en touche et aplatit l’autre d’un coup d’aile. La grosse pie aux hublots perd ses échasses, elle voit soudain les fauvettes qui lui règlent son compte en lui cassant de rage ses hublots, -ya des arriérés de rage- Coincoin cuicuicui, tilitttilitttilitt, croacroacroa, cararacacacacaracaca. Et le corbeau marron le copain de Croacroa embroché mais toujours prêt à nuire dès qu’il peut, avance, le crime dans l’œil. Qui c’est qui va en prendre ? Heureusement, il s’prend lui une prune bien ajustée qui lui remet la calebasse en place et l’envoie au septième ciel. A dégager, à la casserole ! Le glabre encore sous le choc de sa brûlante rencontre et la main de Satan copier-coller sur sa brosse à reluire voudrait se tirer mais la mésange lui arrache au passage quelques plumes, tandis que les pinsons se jettent sur son plumeau. Que va-t-il lui rester de son plumage, déjà qu’il a pas le ramage ! Nu, le glabre est nu ! Quel spectacle terrifiant ! La pie voleuse au plus fort du massacre cherche sous la table ce qu’elle pourrait voler au cas où… Ca vole bas. Y’a des macchabées sur le pavé. Le corbeau-facteur a pris un tel upercut sur sa citrouille creuse qu’il en oublie son must : insulter l’ennemi. Misère de misère ! Moi je me perche sur les haubans enfin là où je peux, je gare mes plumes, mon bec, mes pattes et ma queue. Et j’y retrouve ô surprise la vieille corneille échevelée qui en a par-dessus la huppe de tous ces pantins et les laisse à leur vacarme éhonté. Pendant qu’ils s’ront à l’hôpital sous perfusion on va tous respirer, au moins ils ne nuiront plus à personne. Heureusement qu’alertés par tout ce tapage le juge vautour et le merle-gendarme gris et sa bande de merles gris arrivent tout plumage déployé afin de remettre de l’ordre dans les rangs, juste à temps pour ramasser la pie voleuse qui avait profité du bazar général pour se remplir les poches avec tout ce qu’elle trouvait. Le juge vautour, les gendarmes gris et les vautours de la tour arborent un air sévère : « tapage nocturne…coups et blessures, échanges d’insultes, upercuts et horions, au poste ». Et d’embarquer tout ce monde de piaillards écharpés se rafraîchir dans l’ombre de la Tour des Vautours où comme vous savez, c’est pas rigolo. Pas rigolo du tout. Tout noir, tout froid, tout triste. On grelotte. Et là pas question de la ramener, de gonfler ses plumes, de jaboter, de cancaner, de pioupiouter, de cuicuiter. Là, la pie tchatcheuse va devoir faire, contrainte et forcée, ce qu’elle obligeait les autres à faire : « tu la boucles cocotte sinon je te transforme en cocotte en papier, ou j’te mets dans la cocotte-minute gronde le Vautour en chef ». Elle a beau se gonfler, dire qu’elle veut pas finir en cocotte en papier, qu’elle veut pas cuire dans la cocotte-minute, qu’elle est la présidente, la reine de la tchatch de supermarché, présidente de quoi ? reine de quoi ? rigolent en cadence les vautours en se tenant les côtes de rire, présidente de qui ? Ici, y’a pas de présidents, y’a que des présidés…hahahahaha ! Yaouh. Ouah ! Heureusement qu’avec les vautours ya une justice et faut voir le juge-vautour assis sur son siège de juge comme il les regarde férocement. Gare aux récalcitrants ! Ca va dinguer ! Glauque ! Je voudrais pas être à leur place, surtout à celle de la vieille pie voleuse qu’il ont pris par les pattes, qu’ils ont vigoureusement secouée comme un vieux tapis poussiéreux pour extraire tout ce qu’elle avait volé et qu’elle cachait dans ses plumes du jabot et sous sa queue. « Moi, j’ai rien volé Monsieur le Juge, moi je suis blanche comme le lait, moi j’ai rien fait, c’est pas moi qui ai volé tout ça c’est ma voisine… » qu’elle disait ; « cause toujours, tu m’intéresses, moi je te connais je t’ai déjà vue ici une première fois, t’es une sale voleuse…récidiviste ! Ton compte est bon ! Au gnouf ! ». Il a fallu que le juge lui mette une pastèque dans le bec jusqu’à ce qu’elle s’en étouffe pour avoir la paix, car elle n’arrêtait pas de jacasser…comme une pie !

Avec le rossignol on s’est garé les plumes vite fait bien fait juste avant la castagne et de là-haut sur les haubans on regardait la casse avec la vieille corneille échevelée qui n’en croyait pas ses yeux et on marquait les points : une rigolade j’vous dis pas, on se croyait dans un western, et pan et paf et boum et bing sur la tronche ! En attendant on chante pour passer le temps et pour nous consoler de la misère des temps…et chantez donc avec nous en attendant que ça passe…ou que ça casse.

C’est la fête aux oiseaux

Le grand vol des pruneaux

Le mano à moineaux

Entre plumes et flingots

Les fau- cons volent haut

C’est la fête aux oiseaux

La rigolade

Tourne à l’aigle

Ils vont toutes grives dehors

N’ont palombe d’un doute

Roulent à corbeau ouvert

Dans un toucan du diable

Habiles comme des manchots

Ils tirent, trucident, dézinguent

Passent les nids au tamis

Mettent les pies au tapis

C’est la fête aux Oiseaux

Le grand vol des pruneaux

Le mano à moineaux

Entre plumes et flingots

Les fau-cons volent haut

C’est la fête aux Oiseaux !

Yaouh ! Ouah !