lundi 23 avril 2007

Le singe imite l'homme

Le singe imite l’homme…et comment la Société des Abrutis va à sa perte



C’est un adage bien connu, on imite le maître,le supérieur… ainsi en va-t-il de feu Croacroa. Ce vilain corbeau qui n’a ni esprit ni originalité ni intelligence et ne s’exprime que par la médiocrité, l’insulte, le ragot visqueux, quand il tente de se faire une nouvelle peau, il cherche à imiter l’original, il m’imite…mais qui peut confondre l’original avec la sinistre copie, illisible et à vomir de celui qui ne peut pas troquer sa triste figure contre celle d’un honorable oiseau car Croacroa ne peut pas faire ce qu’il n’est pas. Jusqu’à sa dernière heure il sera la peste et le choléra réunis que même Satan et ses sbires voudraient voir dans un autre Enfer. Malheur il n’y en a qu’un ! Croacroa c’est la putréfaction faite corbeau, la fange et la bêtise réunie et je sais parce que cela se crie partout que certains voudraient bien le voir rôtir en Enfer pour toujours. Vaut Rien Mort comme il ne valait rien vivant. Sa maigre cervelle démolie par le vice ratiocine de vieilles vengeances comme si la terre entière et les airs lui prêtaient encore une oreille. « T’es mort Croacroa et De profundis, t’es pas intéressant » car la triste maison n’a pas besoin de lui pour s’agiter, toujours « contre », toujours « contre » sans rien faire, s’agiter, brasser de l’air…ainsi le vilain croque-mort le glabre marqué au fer rouge par Satan tente de se faire sa propre cour de courtisans, pardi il en aura besoin quand il voudra dégommer le petite pie tchacheuse qui se dégonflera comme ce qu’elle est, une baudruche, car ce glabre il a beau être bête comme ses pieds il a les dents qui traînent par terre et raclent le plancher à chaque fois qu’il fait un pas. Tout ça ça truande à qui mieux mieux , ils veulent tous la couronne royale mais y’en a un qui voudrait bien la garder, c’est le héron, dame il l’a fauchée, elle est à lui. Fauchée dîtes-vous ? Tiens ça me rappelle quelque chose, la pie voleuse, c’est sa profession faucher, faucher l’argent et l’argenterie et en avant la musique, à la Société des Abrutis, tout est possible, condamnée par la loi à la noire peine elle lavera plus blanc que blanc. L’autre jour, comme ça, mine de rien j’ai v olé au-dessus de son nid et ben mazette ça regorgeait de marchandises, où c’est qu’elle l’a prise hein je vous le demande ? Le juge vautour lui il a tout compris, aboule no’te fric vieille pie, ma Dalton, aux Enfers ! La malade des bords du fleuve, elle fait fort, moi j’rigole car elle fait le boulot qu’on est pas cap’ de faire…elle va tellement secouer tout ce vieil édifice branlant que les autorités qui gouvernent nos oiselles provinces, elles vont se mettre en rogne et ça va mal finir. Ah ! le bonheur de les voir tous devant le juge-vautour, menottes aux mains, j’en rêve ! La MM, la Méchante Mégère, la pie aux hublots qui a volé nos cadeaux, à la tour des vautours où ça sent le moisi et les rats crevés. On va faire ta pub dans tout le royaume des Oiseaux, et l’oie coincoin, la traîtresse qui transfère sa graisse partout, son couteau caché sous ses plumes, ah ! celle-là y’en a qui rêve de la mettre au four entouré de marrons. Miam miam. Et si on s’empoisonnait car elle dangereuse. A traiter avant au détecteur de mensonges avant usage ! Si elle gagne la malade du bord du fleuve, il va y avoir des réveils difficiles. Qui est élu ou qui croyait l’être, tous devant le juge. Y’en a qui auront pas eu de chance par exemple le corbeau carotte Vichy, le Rouge , tout clinquant de ficelles de la tête aux pieds, y fait un raffut quand il arrive…et ben le pôvre ça fait dix fois qu’il essaie d’en être et ben paf, pour une fois qu’il a fini par arriver au but, boum à dégager, « t’es pas élu du chnok », tu recommences à te lustrer les plumes et peut-être que cette fois t’en sera pas », sûr il en fera une crise cardiaque, à dégager ! Et le croque-mort, encore un à qui on fera sa fête ; on dira tout comment il tue les pauvres oiselles qui vont couver sur leur nid, comment il va partout en catimini raconter pis que pendre sur tout le monde y compris sur le pie tchacheuse, dite la baudruche « et je suis le plus beau, le plus intelligent et voyez mes plumes, ma queue ; mon chant… » Ouah ! C’est fou y’a que des intelligents là-dedans, des beaux, c’est à croire qu’on les attire et pour chanter ça ils prétendent tous savoir, sauf qu’ils chantent tous faux, qu’ils font honte à la Société et qu’on se demande comment les zosiaux abrutis du royaume des zosiaux ont pu élire pareille collection de tarés ! Y’avait longtemps que j’avais plus entendu parler de la méchante bécasse qui offre ses services gratos –sauf qui faut tout lui payer car elle a pas une tune ! Eh ben ça y est elle se déchaîne la folledingue ici et là elle ramène se cris d’orfraie pour se venger de qui lui déplaît, toujours pareil, même couplet perfide « t’as pas fait comme je veux, t’as désobéi, allez pan tu seras punie ». C’est comme je vous le dis : des débiles mentaux, on se croirait à la maternelle où c’est encore permis de jouer. Ca vole bas à la société des abrutis et au Machin, c’est encore pire, là tu descends de trois crans d’un coup dans la conneritude…

mardi 17 avril 2007

Nuls, nuls, archinuls

Nuls, nuls et nuls on peut pas faire pire !!!


Je m’étais accordé un petit congé car on ne peut pas sans risque pour ses méninges rester au degré 0 de la pensée, dans la fange où se complaisent la baudruche, le glabre, la dinde dodue, le héron, la pie voleuse, la pie aux hublots et leur compère des basses œuvres, le geai gaillard, pas gaillard du tout, le corbeau marron and co, ça cocotte et ça rend neurasthénique, aussi je me suis barré respirer l’air du printemps, voler parmi les jeunes pousses des arbres et les fleurs des champs : c’est beau le printemps. Mais pas au Machin, comprendre le CA dans la Société des Abrutis. La Baudruche en plein délire de la personnalité voit le complot partout, elle dégomme tout le monde et veut rester seule sur son tas de fumier. Le pire c’est qu’elle se croit très intelligente et supérieure et unique en son genre. Ah ça oui, unique en son genre car pire c’est pas possible « moi, je…je suis la plus belle, la plus intelligente, la plus, la plus… » conne, ça oui. Une pie comme ça j’avais jamais vu et pourtant les pies ça radote, ça piaille, ç’est infernal mais celle-là elle bat tous les records, comme la pie voleuse enfin condamnée par le juge vautour qui n’a pas cru ses salades, et qui lui en a collé une, pas vu pas pris, aboule ton fric vieille voleuse et celui que t’as soutiré aux braves adhérents qui ont payé ton avocat… tout, la totale, tu te retrouveras en caleçon : ô quel affreux spectacle. Quant au glabre, alors là il ramasse la famille pour consolider son siège branlant, lui, ça suffit pas, il rameute sa mégère, une grande G…qui connaît que dalle et l’ouvre pour ne rien dire, cuicuicuicui, ta G…, et bientôt sa maîtresse…enfin toutes ses maîtresses, peut-être, les copains, les exclus, point bis , les véreux, bref tout ce qui pourrait soutenir ses malhonnêtetés…il a beau être moche à faire peur, il doit avoir des secrets quelque part sous ses plumes pour leur faire miroiter le 7° ciel ! On va s’en occuper, mazette !Ah je rigole vert et jaune quand je pense à toutes ces petits zosielles qu’il a envoyé à trépas avec ses méthodes nazies de stérilisation par avortements. Et ça joue les docteurs ! Juste bon à t’envoyer ad patres ! C’est ce que pense notre Grand Docteur Choucas, expert en psychiatrie car le glabre il en relève sûr !. Maintenant il envoie partout la stupide vieille pie aux hublots, celle qu’on appelle MM, Maudite Mégère, pour cracher sa bave nauséabonde partout, flanqué du corbeau carotte Vichy toujours aussi voyant et cliquetant d’argenterie du bec à la queue, clic-clac-clic-clic-clic et toujours aussi content de lui et ça cause ça madame, ça cause…ça donne son avis sur tout, ça pérore…une vraie perruche « et moi j’cause anglais et franglais » et français, tu causes, peigne-cul, toujours plus haut que sa queue ! Mais on s’en fout de ce que vous pensez, moi ce qui m’intéresse c’est ce qu’on pense de vous, car dans les flûtiaux ça marche aussi très fort, juste un peu de temps et un grand coup de balai, le ménage de printemps quoi et ça marche tellement bien dans les flûtiaux que on sait déjà que la folle dingue, la gélinotte qui hante les bords du fleuve et qui veut à tout prix venir couiner au CA, elle porte plainte contre la baudruche, le glabre, leurs pompes et leurs œuvres, chouette ce qu’on va rigoler, on lui a raconté des histoires, on l’a dupée paraît-il, on lui a caché des noms, des noms d’zosiaux, pour quoi faire je vous le demande : il paraît que c’était pour dire qu’elle était la plus belle, la plus intelligente… » encore une ah ! ya pas à dire ya que des cedrveaux chez nous et faut voir le QI cuicuicuicui… cui, elle a inondé les airs de ses discours foireux et de sa tronche à se voiler la face et ça lui suffisait pas, elle en voulait encore et encore, à s’en rouler par terre de rire, qui est pris qui croyait prendre et que j’annule les élections et y’en a qui vont se retrouver pas élus, d’autres sortis du Machin, et qu’est-ce qu’on fait de ceux qui seront plus élus bientôt ? Ahahahahahahahah !, quelle rigolade, y’aura plus que des « pas élus », donc plus de CA. Tout le monde devant le grand juge ! Chouette alors ! Comme ça y’aura plus de conneries et peut-être même que les autorités, là-haut dans le ciel, elles vont s’en occuper…le balai de crin et pan pan cucul sur les plumes de la queue du glabre, de la baudruche, du marron, de la pie voleuse, de l’oie traîtresse, de la calebasse fêlée, le copain de Croacroa dont Satan s’est si bien occupé qu’il lui a même coupé le sifflet pour quelque temps entre deux cuissons à point. Ca n’a pas empêché ce voyou rassis de fausser compagnie aux sbires de Satan fatigués par son tintouin, de venir en catimini parcourir notre Grand Nid, conduit pas le Glabre et la Grôooooosse Buuuuuuuse Obtuuuuuuse de venir fouiner partout dans nos réserves. Un voleur ! Il n’est rien ce Vaut Rien Malheureusement, ou Voyou, Raté, Mort pour nous, exclu, viré, tatoué « indésirable ». Alors fichez-moi la Buse et le Glabre à la porte pour crime de lèse majesté. Ah ça on s’en souviendra le Jour J, devant tous ceux qui crachent au bassinet pour que vous puissiez vous empiffrer à nos frais. Ah !oui, on rêve même de les voir dans la Tour des Vautours à payer leurs forfaits, ailes et pattes liées. Mais j’en apprends de belle sur le vent des nuages, je tends mes écoutilles : la vilaine baudruche cul de poule elle s’en ai pris à la gentille bergeronnette, hyper sympa et hyper compétente, trop sans doute pour ces paumés car même schéma que pour les autres : tes plumes ne me plaisent pas, ton bec est trop pointu, trop aiguisé, tu rampes pas assez au sol devant Sa Majesté la Baudruche diplômée es tchach de super marché, jour de rabais, les pires. Elle plaît plus la bergeronnette, elle a jamais plu à ces ratés car elle était une amie du serin et de ses copains, alors ça leur fait de l’ombre à tous ces nuls, y compris au Gaillard pas gaillard, un vieux geai déplumé qui connaît rien à rien, un Nul puissance N qui a tout dans la tchatch comme la bande à la Baudruche et au Glabre ; mais fais gaffe la baudruche, ton temps se compte en jours pour toi et tes copains, surtout si la gélinotte gagne à la tchatch contre toi. Supe, r, la viole de gambe des bords du fleuve, elle chante la messe à notre place, elle fait tout le boulot qu’on espérait, le toutim, car la déglingue est totale et tout le monde le sait ; moi je prie le ciel que le juge vautour lui donne raison, j’en suis plié en deux de rire ! Il faudra que tu rendes des comptes car t’as gadrouillé nos petites graines et toutes nos réserves, t’a laissé sur la paille les pauvres petits zosiaux, les errants, tu gardes les graines qu’on te donne pour payer tes copains le geai déplumé gaillard derrière et pas devant, traître et menteur. Tous pareils, tous pourris ! Du balai ! Que nos autorités du ciel s’en mêlent vite et bien ! Ca va chauffer, je sens qu’il souffle un vent mauvais sur les ondes des flûtiaux qui balancent tous azimuts vos forfaitures jusqu’aux nids les plus reculés. « Hou , hou, hou, hou ! Venez voir venez voir la Baudruche aux abois, réduite à elle-même et le glabre sans plumes et la pie voleuse dépouillée et l’oie dodue vissée au plancher sans transferts de plumes et la pie aux hublots enchaînée, le corbeau-chien toujours grossier et qui ne comprends que couic, bientôt tous empaillés ou faisant la queue à la rôtissoire chez Satan en compagnie de Croacroa, le spécialiste de l’ignoble ». Et tous d’applaudir…

Et chantons pour nous donner du courage dans l’attente des jours de colère.
Sur l’air de « Il pleut bergère… »


Il tonne, il tonne, baudruche, casse-toi avant l’balai
Sans abri la baudruche, tu s’ras pas à la fête
Voici venir l’orage, j’entends l’tonnerre qui roule,
Le glabre met les bouts mais on lui tient la tête

Y’a du vent dans les voiles, les cinquantièmes hurlants
Ton bateau tangue et coule
Y’a le juge-vautour qui se régale,
au coin en embuscade,

Vous finirez à la cocotte, accommodé aux petits pois !
Ah ! c’qu’on rigole au Machin, c’est quoi l’CA ?
Ceux qui rigolent pas, ce sont ceux qui banquent et caracaca….
Caracaca, Caracaca, Caracaca, caca

Et selon la coutume vous reprenez en chœur dans toutes les langues que vous connaissez et si vous ne connaissez que la vôtre vous dîtes en claquant du bec,caracaca, caracaca, caracaca, caca ! Signé le Justicier !