lundi 12 mars 2007

Chronique du sale temps !

Chronique du sale temps !

Il m’a été raconté que le monstre Croacroa ce Vaut Rien Malheureusement continuait dans les glouglous de sa marmite à cracher sa bile noire sur tout le monde. Moi j’aurai préféré que Satan le croque tout cru plutôt que de nous le resservir de temps en temps en hors d’œuvre : ça devient une indigestion, que dis-je un empoisonnement tant il est nocif…oui je disais qu’il m’était venu aux oreilles car j’ai une bonne ouie que cette vermine utilisait toutes les voies et toutes les identités à son service pour cracher sa turpitude et menacer les braves oiseaux qui voudraient se présenter au machin vous savez celui où on tait son bec et où on jacte plus, eh oui menacer de blogs tous flûtiaux encore plus méchants et fielleux. Menacer ! Oui menacer mais pour qui se prend ce déchet, cette m… ? Tout le monde s’en tape de ses conneries, -sauf la justice des vautours qui accumul ;ent, accumulent pour frapper un jour très très fort- le pauvre se croie malin mais quand on cause de lui, tous sans un pli rigolent en se tapant sur le ventre ahahahahah ! Vous parlez du maboule ? Quel facho ! Y s’en rend même pas compte, c’est vous dire comme il est atteint ! Pouah !Ahahahahah ! Ouah ! Enfin tous sauf la Baudruche, tchatcheuse de supermarché au rabais qui continue, elle, à débiter ses sornettes et ses inepties : la dernière en date c’était sur les cirques et va que j’te balance des menaces d’un air je vous dis pas… assuré !Mais oui m’dame, la pauvre si on l’écoutait et on la prenait au mot elle saurait pas quoi faire de toutes ces centaines de grosses bêtes qui lui resteraient sur les bras…à moins qu’ils s’en fassent un franche lippée de la baudruche car ils aiment bien la barbaque, Miammiam. Y’a hélas des circonstances qui font qu’il vaut mieux fermer sa gueule si on a pas la solution car elle pourrait être pire que le mal et moi j’ai toujours peur que l’on règle la situation en les envoyant ces grosses bêtes sympas, de vie à trépas. Mais c’était juste pour faire parler d’elle car évidemment personne ne la connaît. C’est raté ! Y’a aussi une nouveauté au Barnum Circus de chez nous, i’ paraît qu’elle interdit à tout le monde de parler au nom du Machin, sauf elle, elle , elle, sa Majesté enivrée de sa supériorité. Elle a peur du serin, c’est sûr qui chante mieux qu’elle et raconte mieux nos histoires et que tout le monde connaît ! Comme si on allait lui obéir surtout qu’elle, elle couine comme une porte coincée. Mais une horreur n’arrive jamais seule, le pire nous est tombé dessus avec le coquelet. Ah, le coquelet, vous connaissez pas, c’est le Monsieur Muscle de la Grande Maison, celui dont les os font clac clac quand on le frôle, ça plie mais ça ne casse pas tout seul hélas! Celui qui voyage en rêve en Chine avec nos graines de soja mais qui les garde dans sa poche, nous les a pas rendues nos graines et alors pourquoi on les demande pas, elles sont à nous et il n’a rien fait que de photographier des nonosses de poulet et une pelle. Moi ça je sais faire et je demande pas 3500 euros ! Hihihihihihi !Ahahahahah ! Ce que c’est qu’un artiste tout d e même ça coûte cher, tout l’art est l’art de te faire prendre des vessies pour des lanternes…mais nous on est des oiseaux, on gobe tout, même les tguyaux crevés, tout ce qu’on nous raconte et comme en plus au machin, c’est le Royaume des Abrutis, ils gobent sans penser à rien. Moi je demande des comptes et j’en demanderais foi d’oiseau mécontent ! De plus y’sait chanter comme moi je sais aboyer, sur nos flûtiaux c’est devenu sinistre, le journal de la maison à se taper la tête d’ennui, y raconte même pas la vérité. Par exemple quand tous les copains sont venus de toute la France et qu’ils ont dit « pas d’accord avec tes conneries de baudruche, eh ben non, y’a rien d’écrit là-dessus, c’est comme si tout le monde se faisait des guilisguilis sous le menton en chantant que tout est bien dans le meilleur des mondes et justement personne n’était content et ils l’ont tous crié misère, sauf quelques dégonflés attentistes. Dans son journal que dalle ! « Ohé, ohé braves zosiaux, tout va bien chez les zosiaux et ceux qui sont pas contents sont priés de la boucler ! ». Moi j’appelle ça de la censure. Comme quoi ces temps pourris continuent à exister chez nous avec la baudruche et consorts. C’est comme la lettre, le Noël il était super succès et moi j’ai rien vu sauf nos petits zosiaux comme d’hab. pas de musique, pas de paillettes, sinistre, à en pleurer. Ah ! Où sont les Noëls d’antan ! C’est comme la nouvelle formule, moi j’ai rien vu ou pas grand-chose qui mérite des discours, ma foi il faut bien se remonter le moral car eux ils’ont p’ête bien pris du plaisir à la faire leur lettre moi j’en ai eu aucun à la yieuter ! T’es parvenu à rien ma cocotte en papier ! Ca ne m’étonne pas ! Mais il y a encore pire, pire de pire…car chez nous le pire peut arriver : la vieille pie voleuse du bord de mer, ça y est, le juge vautour l’a pas ratée, ratati et ratata, au nid, à la tour des vautours et un paquet de graines variées, un vrai paquet, à nous rendre, chouette pour nos petits moineaux…elle va nous rendre ce qu’elle nous a volé ainsi en a décidé la loi…et pan sur le bec, ramasse ton caquet…y’en a qui vont être contents, c’est tous les pauvres oiseaux crédules qui lui avaient donné de quoi payer ses tchatcheurs pour la défendre car elle avait mendié à toutes les portes, - chez elle tout le monde allait mourir et de pleurer des larmes de crocodile ! - eh bien y vont pouvoir lui réclamer. J’en connais qui sont contents et d’autres qui rigolent tandis qu’elle elle rit jaune même jaune pâle. Mais c’est pas tout, patati et patata, dehors la vieille pie, nous on en veut plus car nuire à la société même abrutie c’est nuire à tous nos petits zosiaux. Elle incarne le vice, le vol, les abus de biens d’zosiaux. Dehors la mégère et malgré ses piaillements d’orfraie à la ronde, hors du nid commun. Moi on m’a raconté que dans le sien y’avait plein de choses qui brillent jusqu’en haut, à ras bord, et même trois pianos pour s’accompagner au chant choral. Vu ce qu’elle couine ça lui sert pas à grand-chose mais c’est comme ça avec la pie, ma Dalton, ça accumule pour les mauvais jours, des pianos, de l’argenterie, ça fait du bruit, ça brille, ça peut toujours s’échanger contre de bonnes graines et du lard pour l’hiver et des fruits bien sucrés, ah elle est prévoyante notre pie voleuse avec les biens des autres et même ceux des pauvres moineaux des rues, elle est pas regardante, elle reprend d’une main ce qu’elle n’a jamais donné de l’autre et pendant ce temps-là y’a tous les pauvres couillons qui y croient ! Dame, elle a bien dit partout qu’elle était « blanche comme le lait », eh bien voilà, le juge-vautour y pensait pas comme elle et les pauvres couillons, il l’a trouvée gris très foncé virant au noir, dame pour une pie, c’est normal ! Quand je pense qu’il y a eu un dégonflé pour la défendre, un qui retourne toujours sa veste du bon côté! j’ai vraiment honte pour lui, ce tchatcheur vrai, il aime les petites graines plus que les petits oiseaux ! Enfin moi j’attends que l’air soit plus respirable dans le cloaque, avec les copains, ceux qui ont compris tout de suite, ceux qui ont compris un peu tard, restent les bouchés à l’émeri et ceux dont les ailes traînent par terre d’ambition comme le glabre, le chien-chien facteur, la pie aux hublots, les indécrottables brevetés es connerie, es encéphalogramme plat et raplapla. J’ai jamais vu une pareille collection de demeurés et je ne comprends pas qu’on puisse leur laisser toutes nos graines et nos greniers et tous nos biens…ils savent pas. Voyez par exemple le corbeau moreno, le marron qu’est marron même chez les cassoulets, y’spavane comme un paon mais c’est un faux-cul qui roule pour Croacroa, une des antennes du paria, aux ordres du recuit de méchancetés, moi je propose qu’on l’envoie avec lui comme ça y’pourrait prendre ses ordres sans avoir à prendre son flûtiau et nous on serait débarrassés. On m’a raconté qu’il insulte les braves oiseaux comme ça gratos et à domicile, son ami Croacroa a du lui refiler sa maladie car ça, c’est copier-coller le maboule. Tout ça, ça va mal finir, moi je le prédis et je ne me trompe jamais, dame je consulte Madame Soleil et c’est ce qu’elle dit « a partir du mois de juin ce sera tornades et vent debout, coups de balais et coups de pieds au cul, grande lessive de printemps, le rebut à la poubelle et les cons en prison et roulez manège », qu’elle a dit, je vous jure, foi d’oiseau et elle a même ajouté « y’aura des macchabées sur le carreau et des luttes sanglantes au corps à corps : les blogs ça va catcher, la maison va tanguer . Il vaut mieux garer ses plumes» qu’elle a dit. Moi, je gare avec quelques copains y’a longtemps qu’on a compris ! Ah, au fait mon ami le rossignol a préparé pour vous cette petite ritournelle fort à propos imitée de notre folk song. Chantez, chantez à pleine voix, prenez vos flûtiaux, rigolez en attendant de pleurer à chaudes larmes, c’est le printemps, le renouveau, on fait plume neuve, nom d’un oiseau :

Nous n’irons plus au bois, les chemins sont coupés

Les pourris que voilà, on les a tous virés

Entrez dans la danse, venez nous aider

A prendre le balai et à les plumer

Chantons, dansons, empalez les demeurés.

Nous n’irons plus au nid, les vivres sont coupés

Le juge-vautour et ses amis y ont veillé

Entrez dans la danse, venez les aider

A les envoyer, au trou noir enfermés,

Chantons, dansons, au clou tous les emplumés !

Nous n’irons plus au bois, les macchabées sont là

Attention aux horions, les coups bas y’en aura

Satan s’est déchaîné, c’est l’oeuvre de Croacroa

Chantons, dansons, empalez les enfoirés

Et comme d’hab pour ceux qui savent en chinois, en papou, en amérindien, en amazonien, en chihuahua en tout ce qui vous passera par la tête mais chantez et prenez vos tamtams et vos flûtiaux. Allez c’est parti. Ouah, tous en choeur !Et rendez-vous à la curée !

jeudi 1 mars 2007

Un peu de dignité voyons !

Un peu de dignité voyons !

Notre méchante société se défend mal. Comment un indigne corbeau, maboul psychopathe, qui devrait être enfermé à vie avec la camisole, que ses propres parents vomissent, que la justice a épinglé pour ses forfaits, comment ce sale volatile fétide a-t-il pu entrer dans notre maison y semer haine et violence et continuer à nous nuire là où il est, en Enfer ? Car ce suppôt de Satan, honni de la terre entière est toujours là en embuscade, avec ses fixations de cinglé, son vocabulaire révélateur de son état mental car pas besoin d’être diplômé es psychopathes pour savoir qu’un maboul y répète toujours la même chose, y raconte toujours les mêmes sornettes, y sait pas changer de disque : c’est même le signe de sa maboulerie et tout et tout…mais qu’il se rappelle que l’on accumule sur lui tant de preuves que le jour où il tombera, il ne se relèvera plus, ouf la camisole a vie ! Mais il n’est pas le seul , à croire que nous les attirons. Au même chapitre,il y a la pie voleuse qui crèche au bord de mer, la mama Dalton, la pie tchatcheuse nulle et non avenue, la facho du « boucle-là, t’existe pas » ou de « ta tronche et tes plumes me plaisent pas, dégage… », qui fiche en l’air toutes nos petites réserves et nous met sur le flanc(108000euros partis en fumée pour satisfaire les obsessions de madame piapia !) occupe-toi donc de ton petit zoziau qui piaille au nid avec les six autres du vieux père-pie, il y a le corbeau Moreno qui en trimballe une super couche, le ravi de service, content d’être là à nos frais en en glandant pas une, (de toute façon comme il a pas plus d’idée qu’une bulle d’air, vaut mieux qui se taise pour no’t survie ; il y a la sale pie aux hublots et aux échasses presque aussi voleuse que l’autre et qui est si bête qu’elle remporte partout le premier prix de la connerie es qualités, il y a le facteur chien chien de Croacroa, un pauvre corbeau déplumé qui comprend qu’une chose : répondre aux coups de sifflet du maboule et porter les nauséabondes missives anonymes de son copain, rien d’autre, n’essayez surtout pas, ce serait la cata, comprend pas, bouché à l’émeri ; et puis le glabre, hypocrite, menteur, incapable, aux ailes qui traînent par terre d’ambition rassis, qui voudrait bien se faire des petites graines en roulant des mécaniques (qu’il n’a pas, regardez-le, biceps en berne, regard fuyant, kingkong mini-mini-mini !…, le spécialiste du référé tous azimuts et du « dont acte »), puis encore la pimbêche, bénévole de la protection qui se prend pour la présidente…de la République et qui pérore partout que moâ, moâ moâ, j’ai toujours raison partout, je suis la science infuse…la spécialiste du nid douillet anglais, une glue super collante, encore une folle dangereuse qui me fait peur pour nos petits zoziaux, vous savez c’est elle qui zigouille tous les noirs… et y’en a d’autres à en dresser un catalogue, on croirait qu’il suffit de mettre un pied là dedans pour attraper le virus : on arrive sain d’esprit avec de bonnes idées bien généreuses, et une fois entré dans le cirque t’en ressors presque aussi vérolé (horreur !)que Croacroa, tu te mets à croasser au lieu de chanter ! Grave ! T’oublie même pourquoi tu es entré au cirque, tu balances des noms d’oiseaux, tu prends et tu envoies des ramponeaux enfin t’es un autre, t’es plus toi-même, t’es un clone…Moi j’ai peur à la contamination –vous imaginez ressembler pour la vie au glabre, au corbeau marron ou au facteur chien-chien ou à la pie voleuse ou à l’autre repoussoir aux hublots ! de quoi se suicider de désespoir ! C’est pourquoi quand je peux je me tiens au frais dans les arbres d’où j’ai une vue plongeante de la situation du cloaque et là-dedans ça cocotte…Pouah ! Encore, parfois, même là-haut j’entends la voix éraillée du la corneille qui crèche dans les trains et qui vent debout raconte( c’est sa seule occupation et c’est tout ce qu’il sait faire !), tous les potins qu’il ramasse, alimentés par la grôôôôôôsse buse obtuse, toujours aussi buse, toujours aussi obtuse et toujours aussi fan de Croacroa. Que voulez-vous le Mâl(e) ça fascine ! Ah !Ah !Ah ! AaâââââH !!! Le Mâle ou le Mal : juste le Mal mon capitaine ! Tout, pas de secret, ils transmettent tout au Chef, le satanique et méprisable Croacroa ( le Mal pas le Mâle !)qui cuit en ratatouille aux Enfers, la moindre petit info dont l’autre aussitôt s’empare pour médire méchamment, grossièrement, médire, médire, la seule chose pour laquelle il est programmé, CD non stop, de sa voix éraillée qui vient du tréfonds de l’Enfer, aïe, aïe, aïe, pôvres de nous !. Quel malheur ! Tout ça va mal finir ! je vois le spectre des autorités qui se penche sur notre triste cas et je me dis que tant pis pour eux…qu’on en finisse…On voudrait leur dire « Voyons un peu de dignité » mais c’est perdre son temps car de la dignité, n’en ont pas et ne savent même pas que ça existe. Quand on lui met le nez dans son caca la baudruche elle répond n’importe quoi, elle se prend pour Dieu le Père ou la Sainte Vierge, elle a toujours raison, elle se gonfle, gonfle, gonfle et qu’est- ce qui dit le bon Père La Fontaine…et elle nous gonfle, nous gonfle, nous gonfle :

Sur l’air d’un tube du chanteur Benabar

Elle nous gonfle nous gonfle nous gonfle

J’veux pas yaller

J’suis fatigué

On ira plutôt manger des pizzas pour rigoler

Arrosées d’un vin qui rendra gai

Tous ces cafards y’m gonflent

J’veux pas y’aller

J’suis fatigué

Ah oui j’suis vraiment fatigué ! Un peu d’air comme d’y l’autre ça rafraîchit. De l’air va y’en avoir dès la fin mars, les rigolos vont plus rigoler, c’est le grand chamboulement, on s’regarde déjà en chien de faïence, les blogs flûtiaux vont circuler , ça va voler bas dans la volaille. Moi j’vais bien rigoler. Faudra en envoyer chez les spécialistes des flûtiaux tous azimuts. Dame y faut bien que la France entière du ciel, les oiseaux de partout y rigolent eux aussi ! Ah y va y’avoir du rififi chez les abrutis !...