jeudi 11 octobre 2007

Quand on est un oiseau....

Quand on est un oiseau on a une chance, une vraie de vraie, quand ça cocotte trop en bas on prend l’air…dans les airs et a à l’AG du Machin ça cocottait fort, y’avait des miasmes qui vous prenaient à la gorge à dégueuler surtout quand la Baudruche elle essayait d’raconter ses bobards à de braves gens qui y comprenaient que couic et qui continuaient à s’demander pourquoi que le serin y l’était plus président et ses copains qui causaient bien et valaient à la gente oiseau considération et des petites graines en plus ici et là. Maintenant besef, les vaches maigres, écoute zéro au bigophone et ça vaut mieux que d’entendre des conneries qui font marrer le ban et l’arrière ban des copains. Y vaudrait mieux silence radio, abonnés absents. Mais ça pour empêcher la tchatcheuse de super marché au rabais de dégoiser y faudrait au moins être un de ces grands tchatcheurs de politique qui en imposent quand y z’ouvrent le bec, elle, elle fait s’taper le cul par terre et s’ étrangler de rire : et piapia et piapiapia et piapiapia ya pas moyen de l’empêcher et ça cause ça madame ya pas moyen de l’arrêter et ça cause pour raconter des menteries à la pelle, par exemple qu’elle a fait ça et ça et ça et elle en remet des tonnes à croire que l’stakanovisme côté Staline ça existe encore : la pie tchatcheuse orchestre, à croire qu’elle à des bras en moulinet comme l’autre derviche tourneur qui donne le tournis, vous savez bien celui qui piaille et passe son temps à s’étouffer,( hélas pas assez !) en gloussant « c’est un scandale… » piapiapiapia et piapiapia, scrogneugneudesrogneugneu, toujours vat’en gueguerre, boumboum…Ouf ! Mais je dois faire la chronique des événements alors vrai de vrai, foi d’oiseau libre, bergeronnette à tire d’aile j’dois faire mon sale boulot, raconter que le glabre, celui qui tue dans l’ombre, à l’œil en fiente d’oiseau, il était tapi dans l’ombre comme d’hab en espérant que son oiselle emplumée posera son cul au Machin, manque de pot y’arrivera pas…Mais ce qui m’attriste c’est que tout ça c’est véreux et compagnie, petites cervelles magouilleuses en recherche d’existence et petits avantages crads à nos frais, aux frais des miséreux et qu’est-ce qui va en faire les frais, les milliers d’petits zoziaux errants oui errants et de plus la reine de la tchatche elle se vante d’avoir tout fait, « moi je, moi je, moâ, moâ… eh cocotte en papier t’étais même pas au Machin ,même pas des nôtres quand ça s’est fait pour les pôv’errants c’est pas ton nom qu’est au bas des décisions, pipelette de mes deux, voleuse et malhonnête, t’es bien le copier-coller de la vieille pie voleuse, le suppôt de prison, la vieille maffieuse du bord de mer qui rembourse pas ses dettes…et continue à nous voler grâce à toi. Jusqu’à quand tu seras complice de ces magouilles? Et j’en apprends tous les jours de plus juteuses : quoi la vieille pie voleuse radine maintenant sa fraise pourrie de vieille maffieuse chez les po’v du bord de mer, là où y’avait eu du sacré bon boulot de fait par la grande fauvette et ses copines, eh ben vrai, vla ti pas que c’te sorcière elle arrive, inspecteur des travaux finis, son bec jaune en avant et qu’elle joue les reines d’un jour, comme la Baudruche moâmoâmoâ, moi j’ai envie d’lui en coller une à lui faire la bille au carré. Y’a pas de justice et la Baudruche en papier collé et le glabre en savates qu’à même plus le droit de tuer les p’tits zosiaux car même ça y sait pas, tout ce beau monde de traîne savates ça dit amem saecula panpan : c’est sûrement qui zon des avantages…comme l’autre grand duchnoc de héron avecv ses bijoux, enquêtons mes amis, enquêtons. Combien ça coûte pour aller caviarder sur les copains à l’autre bout du pays, hein et en CO2 tu compenses combien le glabre, ratichon de mes deux qu’t’as pas car t’es aussi courageux qu’un mille pattes, tu fuis de toutes tes ailes, mais on te rattrapera dans un an et alors gare à tes miches, on déléguera le grand aigle des prairies, mon copain cow boy qui rigole pas, surtout quand il a la dent…tu passeras le quart d’heure jouissif de ta vie de maq. Y’a tout de même un truc qui m’épate grand angle, qui sait qui a pu trouver du charme physique, intello, honnête à cette vieille chouette de MM, mézchante mégère, la vieille aux hublots sur le bec, grands comme sur un bateau de croisière, avec son vilain bec crochu ? Qui ma parole ? On les a anesthésiés les petits, c’est sûr. C’est une vieille sorcière, il lui manque plus que le balai dans le trou du c…elle est si méchante que même Satan qui a pris Croacroa au rabais à la cuisson lente, eh ben lui il en veut pas, ça pue trop qu’il dit, après faudra désinfecter les Enfers, trop de taf…avec les 35 heures j’peux plus m’permette ça, les cornus veulent plus rien foutre ! Alors réfléchissez bonnes gens envoyez –la au tapis…Elle déteste le serin, c’est son ennemie, alors si vous aimez le serin, détestez-là, nom d’un zosiau .Y’ a qu’une chose qui m’a mis l’baume au cœur, c’est de voir le serin récompensé comme il le méritait, au mérite j’suis pourcomme Niko, car eux y zon travaillé chapeau…en ce temps-là la grande maison elle existait, elle était prem’s en tout tandis que maintenant qu’est-ce qu’on rigole dans les chaumières… ! Y’a aussi des jouissances secrètes par exemple de voir l’oie dodue coincoin, la traîtresse de vaudeville au tapis ! Ouais au tapis, tu pourras aller réfléchir sur tes mérites toi aussi qui la ramenait comme si t’étais la papesse et pan sur le bec…comment on les apprécie les salauds de ton espèce et paf et pif et paf de limande… groggy…et à la casserole pour la fin de l’année, t’iras méditer sur ton charme absent depuis qu’t’es née l’oie. Saperlipopette ça ça m’a bien fait rigoler. Et le monstre noinoir de la tête au pied, passé au baranne tant il est noir, noir dans l’âme, noir dans sa tête, noir dans son plumage : il est ex-clu, ex-clu des réjouissances le graçon de café gominé de Chez ma tante, y peut baver, croasser, vitupérer, il est ex-clu, il a beau la ramener de temps en temps pour essayer de s’faire entendre, nous on le voit venir avec ses mille identités de faux cul, personne ne l’écoute et j’vous dis pas ce qui s’fait botter l’cul par Satan le Rouge quand il ramène sa fraise déconfite à croire qu’il aime ça… !!! Ahahahahah…ââââââh ! : « alors t’as fait quoi le verdâtre rôti ? », « Euh, euh (sanglots hypocrites) » » Zon pas voulu m’entendre, veulent m’occire…rien foutu ».Le Rouge rageur et tonitruant « et passez-moi ça à la lèche-frite et que ça saute ». Croacroacroacr o ….a, non pitié pas à…..Trop tard…

Quand on est un oiseau, on vole là-haut
Où c’est encore plus beau
Où ya pas d’baudruche qui déconne,
De glabre à l’œil torve
De magouilles de pie voleuse
Qui fauche les pov’zosiaux,
Pas fauchée la viocque
Ya ca voir son nid perché, de brillants truffé
Ah si tous les oiseaux y pouvaient voler plus haut
Mais ya ceux qui aiment la fange et le purin
Ya ceux qui volent bas
Comme le chienchien à 2 pois chiches, méchant et goujat
Un vrai cancrelat qui sort des égouts
Le héron et la dinde dodue et tant de pauvres minables
Qui savent pas même que le ciel existe…
Moi je préfère là-haut où ya que de s petits oiseaux
Qui chantent en chœur
« Quand on est un oiseau, on vole là-haut
Où c’est encore plus beau…. »