lundi 25 juin 2007

veste et manteau de plumes douillet,douillet pour l'hiver ! big size

Y’a un truc chez Croacroa, un truc de dingue, ce maudit noirot, à la plume terne et rase rêve, rêve de quoi je vous le donne en mille, de la Toison d’Or, eh oui rien que ça, aussi il se démène dans tous les sens comme un malade qu’il est, en essayant de faire oublier ses turpitudes passées pour paraître, paraître, paraître avec des plumes dorées. Se parer des plumes du paon, ah voilà qui lui plairait, il a bien essayé mais le paon s’est pas laissé faire, il lui a même flanqué une raclée, le paon vous imaginez, le play boy contre Croacroa le noirot, le maudit, le vilain ! Croacroa c’est un maniaque du « m’as-tu vu », un rien du tout qui veut à tout prix être quelqu’un, mais les rien du tout ça reste des riens du tout car avec ce qu'il trimballe, y ferait bien de rester au secret car évidemment la gent oiseaux, du haut en bas de l’échelle sait qui il est. Un pareil oiseau ça se repère de loin. Il veut jouer lui, le mafieux, les redresseurs de tort plein de bons sentiments, lui qui n’en a que d e mauvais, « croacroacroa, je défends la veuve et l’orphelin, les pauvres et les opprimés, la nature et les autres zosiaux…et gnagnagna et gnagnagna » tout y passe, la générosité même et le cœur sur la main, le champion des opprimés et de la justice, lui qui est la malhonnêteté incarnée, bref, tout l’inverse de ce qu’il est et de ce que raconte, ce suppôt de Satan. Tout y passe, il se gargarise de grands mots dont il ne connaît pas même le sens, lui l’illettré. Et piapiapia et piapiapia, il en raconte des vertes et des pas mûres de sa vilaine voix éraillée de corbeau raté. C’est vrai que d’autres ont pensé pour lui, d’autres qui pensent car lui ne pense qu’avec son c…, d’autres qui ne savent pas encore qui il est mais le sauront sans tarder car ses concurrents eux savent. Eh oui, on ne passe pas inaperçu quand on a été Croacroa pendant des lustres ! Sa dernière aventure n’arrête pas de nous faire tordre de rire au point de s’en étouffer. Il a tenté de se recycler. V’la ti pas qu’il a imaginé de représenter nos oiseaux au sein de la grande communauté nationale, en tête mes zamis, sa vilaine tronche et son bec pointu à la une, y’en a qui en tombèrent à la renverse, avec rigolade à l’appui à gorge déployée et trilles sur tous les tons « pioupioupiou, lalalala, cuicuicuicuicuicui, wouah ! » l’histoire a fait le tour des nids et même des ciels. Une pareille provoc’ à la République de laquelle il a reçu des « rappels à la loi » mais silence sur ses exploits passés, les insultes, les bagarres, les délits de justice, les coups de flûtiaux anonymes, la taule et la maison des fous, Satan et la broche de l’Enfer… Rien, silence radio, comme la vieille pie voleuse nickel chrome, il a un toupet d’enfer c’est le cas de le dire…mais la vengeance était au coin de la rue : il a écopé d’une veste majuscule, une piteuse veste manches longues, big size qui pourra servir de manteau de plumes pour l’hiver et couvrir jusqu’aux plumes de la queue que t’as intérêt à protéger ! Dame c’est’y pas ton capital-travail, pelé ? t’es paré mon salaud et pas avec la toison d’or : 0, 64% de suffrages soit 344 voix sur de milliers et des milliers de voix – 54298 exactement dit notre super flûtiau- données heureusement à des candidats sérieux . La honte ! 344 innocents qui ignorent qui il est sans aucun doute qui ne savent pas à quelle fripouille satanique malhonnête et crapuleuse, ils voulaient confier leurs petits pécules et leur avenir. Mazette ! La peste noire, il leur aurait tout bouffé et de plus, il n’habite plus où il dit qu’il habite, son vieux nid sinistre il l’a abandonné, le coucou a fait le ménage et le squatte pour de bon. Lui il s’est envolé ailleurs, pour tenter de refaire ses plumes et raconter de nouvelles salades. Mensonges, mensonges et mensonges, tout est mensonges dans sa triste existence, tromperies, hypocrisie et monstruosités ! Il crèche maintenant au 11° cercle de l’Enfer, là où la cuisson est lente et permanente et là où de ses croassements, on s’en fout. Même on en rigole ! Pas de pitié pour les corbeaux boiteux, on le retourne méchamment avec une broche bien pointue et bien brûlante, « c’est bien tout ce qu’il mérite » chantent les oiseaux qui en ont bavé à cause de lui comme les pauvres fauvettes ! Chez les gendarmes noirs et gris, corneilles de partout ça rappelle des trucs, tous à leurs flûtiaux « taratata taratata… » mais maintenant eux y lèvent le pied, z’en ont marre du Croacroa, chaque fois qui le pinçaient, ils lui donnaient une bonne raclée mais le juge vautour qu’avait plus d e place à la Tour des Vautours le renvoyait à son nid et il recommençait aussi sec ses flûtiaux anonymes qu’il envoyait dans les airs à tous les honnêtes oiseaux à qui il en voulait. C’est Satan le Rouge, le maître de la fourche et du feu permanent qui s’en charge maintenant et qui est venu récupérer son sadique esclave et hop ! A la cuisson, un coup face un coup pile…Il en a pris plein le bec et les plumes et la queue. Wouaouh ! De plus Satan lui a savonné le bec de la belle manière car il était furieux de voir qu’il avait été si peu reluisant, dame quand on porte les couleurs de l’Enfer on doit gagner et lui il a fait plouf, plouf, plouf, noyé dans le vermicelle, pauvre vermisseau ! Moi je rigole et j’en fais mon beurre bien baratté, j’suis chef des flûtiaux nom d’un zosiau !Je me demande ce que cette sadique crapule va bien pouvoir inventer maintenant car il n’existe que par la rancœur, la méchanceté et la médisance anonyme. Ya encore des élections au maudit Conseil Machin des Abrutis et ben moi je vous jure vaut mieux compter les coups de loin car les blogs visqueux et autres machins ça va se déchaîner et le « dégueu », sûr y va se déchaîner même que c’est le Roi de la cuisson à point, la quintessence du Mal qui l’envoie et c’est un chouette serviteur du Maître. La baudruche elle continue à chercher des noises à ceux qu’elle peut pas piffer parce qu’elle a peur à son hégémonie, encore une pie qui a tout de la dinde, de la bécasse et de la grenouille réunie : Sa Maaajesté emplumée a besoin de vils et de veules courtisans, sa lettre est un tissu de mensonges à croire qu’elle est partout en même temps, la pie-orchestre, trente ans que l’oiseau bardot- bergeronnette elle s’en occupe et même qu’elle, elle y est allé en se gelant les pattes sur la neige, elle s’en est une vraie et courageuse, pas comme la Baudruche, comme d’hab, tout dans la tchatch, et pour les éléphants y’a de grands spécialistes à la voix sympathique, écoutée partout et qui ne l’ont pas attendue, ceux qui copinent avec les éléphants et sont amis-amis depuis des lustres, pas comme elle, elle et son ignorance crasse. Pauvre Baudruche, pauvre petite pie tchatcheuse, l’essentiel c’est de se croire et de faire croire aux corniauds qu’on fait tout et que les autres font rien ! Moâ, moâ, moâ et que je me gonfle, j’ai été reçue par le Pape des zosiaux, le président de la planète, je vole au septième ciel, je suis la puissante pie tchatcheuse, la vraie authentique de super marché es qualités et tout le monde à genoux, je dois être respectée. A tes mérites, cocotte en papier, alors on a le droit de t’écraser les pattes, celui de te plumer et même de t’emplumer et ça on se prépare, t’aura beau gueuler et appeler Saint Glabre, ton complice ça chauffera. Personne ne la connaît cette pauvre Baudruche malgré ses cris et piaillements les « je suis là moâ, ne m’oubliez pas, oubliez le serin mais pas moâ », quand tu parles d’elle tout le monde dit « qui c’est ça, ah nous on connaît que le serin, il était bien cet oiseau là, y serinait correct, pourquoi qu’il est plus là avec ses zosiaux à lui ? Pas contente la Baudruche quand on lui piaille comme ça aux ouies. Alors en septembre posez, posez des questions…demandez-lui mais chut…motus et bouche cousue, entre temps dégommez la vieille pie voleuse qui continue à nous sonner les oreilles de ses piaillements et de piller tout ce qu’elle trouve même dans nos nids ! Qu’elle débarrasse le plancher de notre grand nid. Entre temps chantez sur l’air du p’tit vin blanc :

Ah la vilaine pie tchatcheuse
qu’on a trop vue tchatcher
C’est une sale menteuse
Qu’il faut en goudron emplumer
Avec tous ses copains, copines
Le glabre, du Val d’Orge la bécassine
La dinde dodue, l’oie au surin
Tout ce sacré Machin
MM et ses mafieuses embrouilles
Carottes Vichy, le marron et toute cette pouille
Poules et poulets, poules mouillées
Tous au four à rissoler !

Et comme d’hab, chantez, géant, pour le ciel clair, débarrassez-le de tous ces miasmes, n’hésitez pas chantez, prenez vos flûtiaux et racontez cette sinistre histoire pour qu’elle ne recommence pas. Oyez, oyez braves gens cette triste saga du vilain et méchant corbeau Croacroa et de sa bande de mafieux et sus à ces gibiers de potence, à l’hallali !Taïaut, taïaut, taïaut…






























lundi 18 juin 2007

des cumulus maousses à l'horizon

Des cumulus maousses à l’horizon


Ah pour ça y’en a. Dans le Val Masqué, ça chauffe, et ailleurs aussi ça gronde, tonnerre de pipe, y’aura du sport. Entre la huppe Viole de Gambe qui vole pas haut ou Viole de l’Eau, je sais plus (car elle n’a aucun intérêt) qui cherche des noises parce qu’on lui a caché 60000 corniaux auxquels elle voulait déclarer sa flamme ( le grand cœur malheureux!), donc acte et qui renverra la baudruche, ses pompes, ses oeuvres, ses copains au trou sombre, et tous ceux qu’elle a virés, tous les oiseaux qui lui faisaient de l’ombre, tous ceux qui faisaient bien leur boulot d’oiseaux, sous le vain prétexte d’une plume de travers ou d’un coloris délicat et trop raffiné qui complexe sa noirceur, pour y mettre tous les zéros qu’elle a pu ramasser et qui vont lui demander des comptes ! Ouais des cumulus maousses, bigre, ciel d’orage…. Oui, la quintessence de la nullité à commencer par ce, comment vous l’appelez déjà ? le copain de MM, la méchante mégère, celui qu’est là par intermittence, l’intermittent –dirlo du spectacle, gaillard avant mais bientôt gaillard par 1000mètres de fond, intermittent mais pas gratos, faut bien vivre, encore un vilain assisté, à nos frais, puis l’ectoplasme du flûtiau qui fait de la com comme moi je pédale avec mes petites pattes d’oiseau, tout ça avec l’onction de la bécasse ex Val d’Orge qui tisse les fils empoisonnés de ses rancoeurs et de sa suffisance de vieille bécasse ratée et qui se mêle de tout. La Baudruche, toujours aussi enflée et vaniteuse a raconté sur les flûtiaux tout un tas de chansons à sa gloire, de sa voix de fausset elle dit partout qu’elle est le top du top aussi compétente qu’un président de la république. Quelle comparaison flatteuse pour le ci-dessus nommé ! Elle doute de rien, c’est vraiment la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf ! Et ça finit comment chez le bon Lafontaine mon copain es-fable ? Wouah ! La pie tchacheuse, hier encore elle était rien de rien, puis comme au pays des aveugles les borgnes sont rois, elle a comblé un vide sidéral car de la tchach, elle en a à revendre, une vraie bonimenteuse sur un champ de foire ou une vraie marchande de poisson sur le vieux port de Marseille –quand je les survole je me barre tant elles piaillent désagréablement pour un oiseau chanteur- eh ben elle c’est quifquif besef, élue à notre top en l’absence d’oiseaux sérieux, tous à s’tirer dans les pattes et les plumes, tous à se donner des coups de bec : résultat, la grenouille enfle, enfle, enfle…comme une baudruche pardi et que croyez-vous à la fin qu’il arriva ? Elle creva ! Merci mon dieu ! La bonimenteuse, là où on met nos petits zosiaux perdus et nos moineaux qui crient la faim elle n’y met pas les pattes, fie, qu’y ferais-je moi, la reine de la tchatch de super marché au rabais, j’suis la présidente des zosiaux, moi, moâ , moâ, dans ce cloaque ! En somme elle connaît que dalle, elle confond même une pie rase-motte comme elle et une hirondelle qui vole haut la tête dans les nuages et elle raconte de sa voix de rinette déconnante, ah je vous jure, « qu’elle ira là-haut chez le Très-haut déposer tous les zosiaux morts que l’on garde dans les frigos » . Mazette, rien que ça et où c’est-ty qu’elle les prendra les zosiaux morts car personne n’en a. Quand ils meurent, ben ils font comme tout le monde,ils finissent en poussière, ya pas d’mouroirs chez nous, pas de p’tits vieux conservés dans le formol, pour ça faut aller au musée des oiseaux. Elle a rien dans le citron, la poule mouillée, elle fait croire à tout le monde la cinglée que dans notre royaume ailé on trucide, on zigouille, on fait de la chair à pâté. Rien que pour se rendre intéressante ! Eh cocotte, c’est pas le Machin dans nos campagnes, c’est au Machin, ce CA de malheur et grâce à toi et à tes copains que tout le monde se fout sur la poire et cherche à trucider le copain ! Elle s’aime tellement qu’il faut lui rendre hommage à 4 pattes toute la journée (nous les oiseaux on en a que deux, alors ! Va te faire f…. Elle sait pas la pauvre pie piaillarde que le respect ça se mérite par la dignité, la compétence, la science, la gentillesse et de tout ça, rien de rien, elle en a pas besef. Et elle a le culot d’aller se taper la cloche avec un autre tchatcheur de son espèce, grassement entretenu par nous, et de faire payer qui ? je vous le donne en mille, nous pardi, nos donneurs de petites graines et de gras bien gras pour l’hiver , elle a un de ces toupets la gueuse, pardon Sa Majesté à qui on doit faire des courbettes en balayant la terre de sa queue pour que SM puisse y déposer ses fientes ! Profiteuse en plus !Y manquerait plus que ça, non seulement elle nous met la maison a sac mais en plus il faudrait la nourrir pour ça ! Et ta satanée conseillère noire comme le péché, la vieille pie voleuse quand est-ce que tu la saques parce que rien qu’avec ça tu trimballes ta condamnation à mort même si tu l’as repoussée au mois de septembre pour rester un peu plus avec ta couronne en papier mâché et pour casser un peu plus longtemps la baraque ? La vieille gitane, le pie voleuse (et oui, gitane, c’est vrai, une vraie gitane de la vieille génération, ratiocineuse, voleuse, perverse, méchante, ringarde…), condamnée par le juge-vautour, elle s’accroche, hein, mais le fric il faudra bien qu’elle l’aboule sinon on fera des piqués sur son nid avec les vautours, tu sais ceux qui aiment la charogne avariée, ils iront de notre part chercher sa quincaillerie, elle aura beau se cacher elle et ses rapines, ses 3 pianos, ses bijoux, sa quincaillerie jusqu’au rebord du nid que ça en dégouline, ils le renifleront de loin car elle sent le faisandé, on s’la f’ra foi d’oiseau chanteur… et on chantera en chœur « la guenon la poison, elle est mo-ororrrrte ! ». Ah c’te marrade, ce jour-là et personne pour la plaindre, elle rendra gorge de toutes ces voleries, elle qui déshonore notre famille qui n’a pas besoin de ça pour être déshonorée ! Moi on m’a raconté dans le creux de l’oreille que de son temps elle faisait la peau tous les matins à des centaines de petits mendiants, des pauvres, aux Génevriers, salles 19 et 19 bis ça se passait…du sang partout, des têtes d’oiseaux épars, l’œil ouvert sur le vide qu’elle leur avait offert en cadeau d’arrivée. Oui une tueuse qui protège comme moi je chante, c’est naturel chez elle et elle raconte partout que dévouée comme elle à la misère oisillonne y’a pas, y’a qu’elle, tous azimuts ! Comment elle f’rait je vous le demande elle qui décolle pas du sol et qui vole bas depuis qu’elle a vu le jour pour notre malheur : La Dalton, la Voleuse, aujourd’hui elle dirige notre triste maison car elle a clôné la Baudruche en copier-coller. Elle coupe les têtes, elle règle ses comptes, elle éradique ce qui lui fait de l’ombre alors qu’elle devrait être à l’ombre, elle voudrait se faire couronner dans notre maison du bord de mer là où elle sévit pour notre malheur depuis des lustres en suppôt de la mafia en tuant tous ceux qui y sont, de braves et gentils oiseaux au service de tous les miséreux. Wouahou !, cette vilaine vieille pie, elle engendre la haine car elle incarne la haine, la médiocrité, la vengeance…Un jour, justice immanente, elle paiera sa dette à la société, moi qui ait des flashes sur l’avenir je le sens, c’est pour bientôt, la dalton…et pas de pitié pour la vieille pie ! l’autre jour j’ai eu un cauchemar, je rasais les murs dans notre grand nid parce que j’ai pas envie de voir tous ces brigands et paf, je tombe juste sur le glabre au coin d’un coin, un cauchemar je vous dis : depuis que Satan lui a filé la main rouge (y’a que lui qui la voit pas) il est encore plus blême, un vrai squelette ambulant en baskets, pour moi il a la maladie, il m’ fixé de son œil qui ressemble à un crachat ou à une fiente de corbeau et de sa voix d’outre-tombe il m’a jeté « toi le délégué aux flûtiaux, j’en ai marre de tes attaques frontales (« frontales » qu’il a dit oui, parce que lui il les préfère par derrière) ouais tu me les chauffes, je vais payer un nervi pour te faire les côtelettes et te fermer ton sale bec… Ouais comme ça qu’il cause le glabre, plus croque-mort que jamais, le vrai maffieux quoi !. Alors moi, fringant, « si tu me touches gare à tes plumes, car les flûtiaux ont le devoir de dénoncer les malhonnêtetés que tu magouilles avec la Baudruche et la pie voleuse sur le compte de la société des Abrutis et de tous ceux qui vous filent de s petites graines pour nos petits moineaux des champs et des villes, et si tu me pompes l’air, je te préviens, j’appelle Satan…Moi je fais pfitt, pfitt… come ça, pour rigoler et voilà t’y pas que tout d’un coup j’sens un coup de chaud et de cramé et que je vois le glabre se décomposer et se réduire comme une tête de jivaro, Satan était là qui s’fendait la pêche. Moi terrorisé, le glabre muet et plus pâle que jamais…Alors Satan lui imposa de nouveau la « main rouge, rouge ardent », hurlement du croque-mort et odeur de bidoche cramée et doucement comme on parle à un enfant il se pencha vers le glabre et lui dit « Sois tranquille, tu es à moi quoi que tu fasses maintenant ». Ouf il disparût comme il était venu dans une odeur de souffre et j’entends encore son rire « diabolique ». Sous le glabre, il y avait une mare d’eau…enfin j’sais pas quoi. Là il a pris ses cliques et ses claques, ce qui lui restait de plumes et de queue et il s’est enfui sans demander son reste. Ce que je vous raconte, c’est évidemment top secret mais comme je suis le roi des flûtiaux, mon devoir est de raconter l’actualité…
Et chantez avec moi sur l’air bien connu de Zorro est arrivé éé


Satan est arrivé éé sans s’presser éé
Le rouge Satan avec sa queue flammé éé
Le glabre voulait casser éé
Mais l’autre l’a alpagué éé
Pour lui coller éé
Sa main rouge et damnée éé
Je rêve de tous les voir embarqués éé
Et pour mauvais services grillés éé.
Wouahou, ouah… et vous connaissez les recommandations, chantez pour tous les copains, sur toute la terre, dans toutes les langues, la fable de l’abominable Croacroa et de sa mafia. Enfin la moralité de tout cela c’est qu’y a des cumulus maousses qui s’accumulent sur nos têtes et que ça commence à faire du C02 irrespirable !Salut les copains !