OUF!
Ouf, loin de l’air vicié du Machin
Je suis allé me refaire un peu les plumes, celles de mon manteau lissé et brillant et en même temps je n’ai pas manqué d’acérer celle avec laquelle je vous livre mes tristes pensées. Car ça pue vraiment la-dedans, la-dedans c’est le Machin vous avez deviné, ça sent l’air vicié, le cloaque, le remugle, l’égout, ça pue ce que c’est. Pour un oiseau qui vole haut et libre dans l’air pur, ce cloaque c’est la mort, l’asphyxie, le rase-motte de la connerie organisée. Car mais oui, c’est à la mort que nous convie cette sale petite pie tchatcheuse, toujours aussi bavarde, aussi prétentieuse, aussi nulle, bref, plus baudruche que jamais. Moi j’arrive pas à la prendre au sérieux, c’est comme dans les mauvais films comiques, on se dit qu’est-ce qu’ils vont bien pouvoir inventer au chapitre du grotesque pour amuser la galerie qui rie jaune car ce n’est jamais drôle. Que voulez vous, même les pitres ça fait pas recette. Comment rigoler aux piapiapia de la vieille pie voleuse plus voleuse que jamais, la honte habillée en plumes de pie que l’on garde et que l’on couve tandis qu’elle plume nos zosiaux à coups de larmes de crocodile. « Ah le pôvre petit, ah le pôvre chéri, ah le malheureux p’tit zosiau », aboulez, et vlan dans sa poche de kangourou ! Rigoler avec carottes Vichy et ses plumes autour du bec, avide de médailles en graines de sésame pour se donner l’illusion d’exister lui qui n’existe pas, rigoler avec la dinde dodue roucoulante et toujours en transes entre deux séances plumard, sauf le métropoliplume qui ne lui est pas encore passé dessus ? Plumard oui, douillet de plumes s’entend, honni soit qui mal y pense ! Rigoler avec l’horrible mégère, la vieille pie aux hublots, Méchante Mégère, M la Maudite qui récupère pour son nid de vipères les dons faits aux zosiaux des champs, les miséreux de nos campagnes qui se gèlent les papattes pendant le froid hiver : laide, vicieuse, idiote, incompétente, vantarde, enflée comme une outre de sa crasse, elle te fait gerber rien qu’en la regardant. Rigoler avec le minable héron qui change de plumage tous les quart d’heure et fait prendre à tous des vessies pour des lanternes tandis qu’il se pare des plumes du paon, les bijoux aussi il les aime tellement qu’il les stocke c’est plus fort que lui. « Hum ça brille, c’est beau, c’est pour ma pomme, couaccouac, glouglou, couac « !. « Non qu’elle dit la pie voleuse, c’est pour la mienne » et de s’envoyer des coups de bec, des coups de pattes « piapiapiacloccloccouacouarecoua Incompréhensible ! « C’est ma couronne » dit le héron, c’est à moi dit la vieille pie voleuse qui s’y connaît en vols, pas dans les arbres, dans sa poche et dans son nid. ». « Vieille chouette » qui lui balance ! « J’suis une pie pas une chouette, vieux hibou » ! qu’elle lui répond. Comme vous voyez ça vole haut ! Et les plumes de voler ! Haut les cœurs, y’a plus qu’eux en hauteur ! Quelle bagarre, que de plumes qui volent et les bijoux la-dedans ? Où qui sont hein ? Au cou de la dinde dodue qui partouze avec le héron vert de gris, passé, trépassé ! Hahahahaha… ah ! Wou !Rigoler avec la sale pie vicieuse l’ex Val d’Orge à l’affût de tout ce qui peut lui donner des ailes en attendant qu’on les lui coupe « rasibus ». Toujours prête à trahir quand elle voit d’où vient le vent, auteur de blogs aussi puant qu’elle fausse sainte nitouche, laissée pour compte avec 800 voix…c’est vous dire comme on l’aime. Attention la tchatcheuse, elle prépare ses couteaux pour t’écharper le moment venu. Jure qu’elle trouvera des charmes au serin qui ne lui en trouve pas ! Rigoler avec le joyeux glabre, face de carême toujours hilare, messager d’outre-tombe comme s’il venait d’enterrer sa belle-mère, faux jeton comme pas deux , assassin en réserve, gare à ses couteaux, le diable veille, vous savez celui qui lui a mis la main rouge sur le front et malhonnête avec ça, se servant de ses piètres titres en peau de zibi pour parader et se faire des clients qu’il envoie dare-dare chez le croque-mort . Et y fait la promotion de sa vioque, une traitresse faisandée comme lui avec un be c qui lui traîne par terre oui c’est une chouette et de mauvais augure. Pour lui trouver du charme fau’ete maso , même au plumard, ouah quelle partouze de pattes en l’air ! Fatal ! Rigoler avec la grosse oie balourde qui adore ce qu’elle brûlait hier, la traîtresse du vaudeville le plus grotesque, se dandinant dans son cloaque, toujours en transfert de pois chiches ou de patates. Ah toi fais bien attention c’est le moment du foie gras, d’oie ! Rigoler avec le sinistre chienchien à deux pois chiches dont le citron est bouffé aux vers, benêt patenté dans un fourre-tout au QI =0, quand tu le vois tu te trisses à tire d’aîle. Rigoler quand on fait son boulot pour les p’tits miséreux et qu’on s’entend piailler aux oreilles pour 3 grains de riz alors que la pie voleuse se les fourre par poignées dans sa sous-ventrière de kangourou ! Rigoler avec cette bande de requins assoiffés de pouvoir qui n’a qu’un désir « pourvu que ça dure ! ». Ya ceux qui sortent, ceux-là on va s’en occuper lors du grand jour du jugement dernier où les premiers seront les derniers : c’est pas comme ça qu’on dit ? Dehors la vioque MM, le héron au long bec, la crécelle de Jojo La touffe, dehors le tocard aux grandes pattes avide et prête à ramasser tout ce qui pourrait lui tomber dans le bec en balourdant les autres, sans pitié cette sauterelle aux pattes grêles qui bouffe que lorsque c’est nous qu’on paye ! Tout ça ça se repaît de nos oboles. Mais les autres ne perdent rien pour attendre, ils ont pourri notre grand nid, ils ont plumé les oiseaux gentils et sérieux, ils ont dilapidé nos greniers à grains. A la lanterne, c’est les soirs du grand soir. Un bon coup de balai, on ira chercher les sorcières qui en ont toujours en réserve et on plumera la volaille comme dans les contes, les méchants au cul de basse fosse pour l’éternité avec Croacroa ravi de récupérer ses petits amis en attendant de tous les rouler dans la farine? Non dans la fiente d’oiseau bien entendu, et De Profundis sans honneur et sans gloire ! Ouf je me sens déjà mal, c’est l’asphyxie, vite que je regagne les cimes…Qu’est-ce que ça pue là-dedans !Ca sent pas la giroflée…Le glabre il proclame déjà partout qu’ils vont gagner ça veut dire quoi mon déplumé ? Que tu fausses les résultats dans ton sale Machin avec ta remplumée au programme. T’en est bien capable car t’es un sale vicieux. On t’a à l’œil va…et gare à ta peau. Ah dans l’affaire on allait oublier de donner des nouvelles du sale méchant corbeau Croacroa. Des nouvelles, faisandées bien entendu car entre deux marinades,il croasse…surtout depuis que malgré les manigances sataniques électorales il s’est payé une veste maxi, un manteau de plumes big size de quoi lui donner la mesure d e l’intérêt qu’on lui porte, la mesure de sa nullité éternelle et consacrée. Mais plus il en prend sur le bec plus il est content que voulez-vous c’est un malade, un schizo, un maso…Croacroacroacroa et patati et patata. On m’a raconté qu’il avait changé de crémerie car là où il avait son ancien nid on l’a jeté hors et le coucou après l’avoir bien nettoyé s’y est installé avec armes et bagages, ainsi Croacroa va lors de ses passages hors Enfer aller pourrir la vie d’autres pauvres innocents et bouffer les petits oisillons dont il se délecte…Pouah ! Et de plus son ectoplasme a repris du service malgré les couleuvres que l’autre lui fait avaler et il lui fait infiltrer le grand nid où la concierge en chef, vous savez celui qui fait des moulinets avec ses aîles et ne brasse que de l’air, vicié ; bien entendu eh ben il lui raconte tout à l’oreille, eh ce qu’on s’aime tout de même ! Moi comme beaucoup d’autres je rêve du jour où Satan n’aura plus besoin des services de Croacroa l’ignoble et le croquera pour de bon. J’imagine…« Miammiammiam . Oh ce que ce moche corbeau est dur à cuire et à becqueter. C’est de la vieille carne que vous me servez là les diablotins…ronchonne-t-il, de quoi s’empoisonner… » C’est normal répondent les diablotins ça fait 40 ans qu’il empoisonne la gent oiseau, les humains et même l’Enfer…Ahahahahahahahahahah (rires sataniques).Mais dîtes donc, il a bien mauvaise mine ce sale méchant corbeau, il est jaune livide et tout fripé, c’est grave docteur Choucas. Ouais, ouais, opine le vieux Choucas, gravissime, une maladie grâââââââââve, y s’en relèvera pas, y sera pas même comestible pour l’Enfer, ne l’approchez pas, la connerie, c’est contagieux…con à vie, la maboulerie c’est à vie et plus tu devient vieux plus tu devienbs con et maboul. Oh là là…. ! Gravissime ajoute-t-il en tournant les talons, le bec dans ses plumes pour éviter la contagion, GRAVISSIME ! Satan croquera, croquera pas ? La suite au prochain numéro…
mardi 18 septembre 2007
Machin, drapeau en berne!
Machin, drapeau en berne !
Drapeau en berne car le Machin de la Baudruche, du glabre, de la Méchante Mégère dite Mimi la bigleuse, de carottes Vichy le plumeux, du chien- chien de Croacroa à deux pois chiches toc-toc, du héron traître aux deux têtes de lard un jour oui un jour non, eh ben ouais il a du plomb dans l’aile car vous n’allez pas braves gens renvoyer au Machin pour vous nuire la MM méchante mégère aux gros hublots, voleuse, hargneuse, idiote malgré ses prétentions arborées sur son CV tout faux…allez vérifier, des preuves, des preuves, moi je n’ai que celle des tas de grains qu’elle nous a fauchés pour les donner à son vieux hibou de mari alors quelle vit de pois chiches, chiches et qu’elle mange qu’à nos frais la grosse ; ni le cuistre héron qui s’écoute roucouler comme un pigeon alors qu’il nous chante des litanies de sa voix éraillée pour nous endormir ; envoyez des zosiaux sérieux, demandez au serin, aux fauvettes…Ce qui m’étonne c’est que plus c’est pourri, plus c’est fauché, plus ça s’radine pour venir au grand nid aux frais de la princesse : 4 jours, 2 fois par mois, en goguette, tous frais payés, y’a des amateurs, c’est des vacances gratos pour des nuls sans petites réserves de biens dans leurs propres nids, moi je paye pas pour ça, j’paye pour les pauvres errants qu’on envoie à l’abattoir parce que des petites graines y’en a pour tous ces paumés et y’en a pas pour eux : c’est de l’anti-protection, c’est la faillite de la mission. C’est la honte. Et ça ose mettre son grain de sel partout là où on fait le bien pour dire que c’est pas comme ça, qui faut payer pour la vieille pie voleuse qui présente des factures démesurées, payer pour les nuls qui vont se goberger à nos frais, vacances tout payé comme si ces zosiaux là y bouffaient pas chez eux aussi. Moi je dis supprimez tout ça vous verrez qu’y aura moins de pékins sur les listes car de plus y font rien, rien ? Non y cassent tout, y revoient tout le monde y sont bêtes et méchants, y bagarrent tout le monde, y sèment la zizanie et moi je dis « qui sème le vent récolte la tempête… », la tempête j’vous dis pas comment je l’ai vécue l’autre jour, je baladais tranquille en vol plané au-dessus du Machin quand j’entendis des piaillements d’orfraie à vous en casser les portugaises. J’me pose juste en face pour voir le spectacle : Hahahahahahahaha ! j’en suis plié de rire…vous devinerez pas…une bataille de becs et de plumes et ça volait …très très bas : le héron cherchait la sortie comme d’habitude pour mettre les bouts au cas où, toujours courageux mais le serin bien que plus petit lui arrache trois plumes du cou et te le ramène sur le ring où il retrouve Geogeo la touffe, hérissée et hagarde criant de sa voix de surette « mais qu’est-ce qui se passe ici pourquoi ça piaille comme ça », un coup d’aile sur le bec et la voilà qui se ramasse sur la grosse Méchante mégère aux hublots qui piaille « au viol », la pauvre comme y’a longtemps que ça lui ai pas arrivé, elle confond, claque et… claque(bordel). Moi pas ,car c’est vraiment le claque…La dinde dodue cherche le mâle qui fuit, il préfère s’la taper dans les plumards payés par la Société Protectrice des Abrutis donc par nous…et se résigne en réclamant la presse, n’importe quoi pour qu’on parle d’elle, les people,c’est si beau et si intelligent, dame qui se ressemble s’assemble ! ahahahahah !. Malheureusement ya que moi qui cause mal…d’elle et du reste car je vois de haut et de haut, ça paye !. Pouf, mais voilà que le glabre m’interpelle, il m’a dans le collimateur car comme on sait, il n’est pas clair…eh toi le journaliste de mes deux…encore avec plumes acérées pour raconter nos p’tites histoires. Pourquoi tu les racontes partout mon salaud, nous on aime pas ça, nos magouilles dégueu c’est juste pour les copains alors si tu continues à dégoiser on va te couper les ailes, dont acte (il adore…) ». Dis-donc facho que j’lui réponds, c’est Staline dans ton Machin depuis qu’té là avec la Baudruche et la vieille pie voleuse la fauchée condamnée qui fait la loi et toute ta bande de voyous, moi j’dis qu’on est en démocratie et la presse elle dit ce qu’elle voit et entend », je le vois qui s’décompose un peu plus car il est toujours décomposé au naturel et de sa voix flûtée en me regardant par en dessous comme d’hab « si tu couines de nos affaires j’te fais la peau… »Eh ! fils de Satan que j’lui réponds, essaie et j’convoque la presse, on te fait le souk à l’AG. Ça y craint, y tourne ses plumes et me présente son postérieur déplumé, alors j’hésite pas j’te lui en applique un coup super bien visé au trou du c… qui l’envoie gicler à trois mètres. Le temps qui s’ramasse et j’avais pris mon vol dans les cimes et j’rigolais, j’rigolais, vous savez les zosiaux y rigolent car ils sont libres, libres, libres…comme la presse. Après cette aventure on m’a raconté que la Baudruche elle pleurait des larmes de crocodile car elle disait que tous la trahissait, qu’elle faisait ce qu’elle pouvait, dam la pôvre, c’est qu’elle peut peu, chacun ses compétences et elle, elle en a pas, dans la bagarre elle s’est pris trois mandales et elle couinait « je suis la présidente, j’veux qu’on m’respecte, qu’on m’respecte… » qu’elle répétait en pleurnichant mais personne ne l’écoutait et personne ne la respectait car présidente ! ses jours sont comptés…la bande des fauvettes rigolait et les mésanges et les bergeronnettes y’avais que les vieilles pies et les sales corbeaux qui riaient jaune, même la grosse oie dodue en passe de se transformer en foie gras se demandait si elle devait trahir tout de suite et raccrocher ses plumes à un autre wagon, mais là, c’est chacun pour soi et sa tronche pour rester au Machin nous on en fait du papier mâché pour nos p’tites déjections, en somme on lui chie sur la tronche . Dans ses noirs enfers, entre deux douloureuses grillades, Croacroa se morfondait car il aurait bien voulu être là, plus c’est minable, plus ça lui ressemble et plus il pourrait déverser sa bave nauséabonde mais Satan lui avait pas donné congé, y’sconsolait car il avait son copain l’ectoplasme ressorti dont ne sait où en observateur et puis ses vieux copains, la grôôôôsse buse obtuse et l’oiseau qui cause,le CD ambulant, qui ne fait rien que des moulinets avec ses ailes vous savez qui…Certains pensent que Croacroa c’est d e l’histoire ancienne , y’en a même qui pensent qu’il est mort, lui qui rigole de la mort des autres : c’est tout comme, car qui sème le vent récolte la tempête et Satan le Rouge, il aime ça, c’est son plat quotidien !!!
Sur un air de rap bien connu
Titre : Vol au-dessus du Machin par un oiseau-rappeur connu des spécialistes es/rap
J’v’olais au-dessus du nid d’coucous
Coucous c’est pas tout à fait ça
ça r’semble plutôt à un nid d’cobras
Ça siffle, ça piaille, ça tape, ça rasemotte
J’me dis où c’est qu’ta mis caisse ici ça va cramer
alors j’bouge mes miches côté GDN
au moins ça m’bote
pour la prochaine, j’ai répéré l’truc
j’me radinerais avec mes cems à moi
et on l’les f’ra à la moulinette
ça les apprendra à essayer d’nous imiter
nous on aime pas ça, on est des keufs dans n’t métier …
Et c’te merde là on en veut pas…
Drapeau en berne car le Machin de la Baudruche, du glabre, de la Méchante Mégère dite Mimi la bigleuse, de carottes Vichy le plumeux, du chien- chien de Croacroa à deux pois chiches toc-toc, du héron traître aux deux têtes de lard un jour oui un jour non, eh ben ouais il a du plomb dans l’aile car vous n’allez pas braves gens renvoyer au Machin pour vous nuire la MM méchante mégère aux gros hublots, voleuse, hargneuse, idiote malgré ses prétentions arborées sur son CV tout faux…allez vérifier, des preuves, des preuves, moi je n’ai que celle des tas de grains qu’elle nous a fauchés pour les donner à son vieux hibou de mari alors quelle vit de pois chiches, chiches et qu’elle mange qu’à nos frais la grosse ; ni le cuistre héron qui s’écoute roucouler comme un pigeon alors qu’il nous chante des litanies de sa voix éraillée pour nous endormir ; envoyez des zosiaux sérieux, demandez au serin, aux fauvettes…Ce qui m’étonne c’est que plus c’est pourri, plus c’est fauché, plus ça s’radine pour venir au grand nid aux frais de la princesse : 4 jours, 2 fois par mois, en goguette, tous frais payés, y’a des amateurs, c’est des vacances gratos pour des nuls sans petites réserves de biens dans leurs propres nids, moi je paye pas pour ça, j’paye pour les pauvres errants qu’on envoie à l’abattoir parce que des petites graines y’en a pour tous ces paumés et y’en a pas pour eux : c’est de l’anti-protection, c’est la faillite de la mission. C’est la honte. Et ça ose mettre son grain de sel partout là où on fait le bien pour dire que c’est pas comme ça, qui faut payer pour la vieille pie voleuse qui présente des factures démesurées, payer pour les nuls qui vont se goberger à nos frais, vacances tout payé comme si ces zosiaux là y bouffaient pas chez eux aussi. Moi je dis supprimez tout ça vous verrez qu’y aura moins de pékins sur les listes car de plus y font rien, rien ? Non y cassent tout, y revoient tout le monde y sont bêtes et méchants, y bagarrent tout le monde, y sèment la zizanie et moi je dis « qui sème le vent récolte la tempête… », la tempête j’vous dis pas comment je l’ai vécue l’autre jour, je baladais tranquille en vol plané au-dessus du Machin quand j’entendis des piaillements d’orfraie à vous en casser les portugaises. J’me pose juste en face pour voir le spectacle : Hahahahahahahaha ! j’en suis plié de rire…vous devinerez pas…une bataille de becs et de plumes et ça volait …très très bas : le héron cherchait la sortie comme d’habitude pour mettre les bouts au cas où, toujours courageux mais le serin bien que plus petit lui arrache trois plumes du cou et te le ramène sur le ring où il retrouve Geogeo la touffe, hérissée et hagarde criant de sa voix de surette « mais qu’est-ce qui se passe ici pourquoi ça piaille comme ça », un coup d’aile sur le bec et la voilà qui se ramasse sur la grosse Méchante mégère aux hublots qui piaille « au viol », la pauvre comme y’a longtemps que ça lui ai pas arrivé, elle confond, claque et… claque(bordel). Moi pas ,car c’est vraiment le claque…La dinde dodue cherche le mâle qui fuit, il préfère s’la taper dans les plumards payés par la Société Protectrice des Abrutis donc par nous…et se résigne en réclamant la presse, n’importe quoi pour qu’on parle d’elle, les people,c’est si beau et si intelligent, dame qui se ressemble s’assemble ! ahahahahah !. Malheureusement ya que moi qui cause mal…d’elle et du reste car je vois de haut et de haut, ça paye !. Pouf, mais voilà que le glabre m’interpelle, il m’a dans le collimateur car comme on sait, il n’est pas clair…eh toi le journaliste de mes deux…encore avec plumes acérées pour raconter nos p’tites histoires. Pourquoi tu les racontes partout mon salaud, nous on aime pas ça, nos magouilles dégueu c’est juste pour les copains alors si tu continues à dégoiser on va te couper les ailes, dont acte (il adore…) ». Dis-donc facho que j’lui réponds, c’est Staline dans ton Machin depuis qu’té là avec la Baudruche et la vieille pie voleuse la fauchée condamnée qui fait la loi et toute ta bande de voyous, moi j’dis qu’on est en démocratie et la presse elle dit ce qu’elle voit et entend », je le vois qui s’décompose un peu plus car il est toujours décomposé au naturel et de sa voix flûtée en me regardant par en dessous comme d’hab « si tu couines de nos affaires j’te fais la peau… »Eh ! fils de Satan que j’lui réponds, essaie et j’convoque la presse, on te fait le souk à l’AG. Ça y craint, y tourne ses plumes et me présente son postérieur déplumé, alors j’hésite pas j’te lui en applique un coup super bien visé au trou du c… qui l’envoie gicler à trois mètres. Le temps qui s’ramasse et j’avais pris mon vol dans les cimes et j’rigolais, j’rigolais, vous savez les zosiaux y rigolent car ils sont libres, libres, libres…comme la presse. Après cette aventure on m’a raconté que la Baudruche elle pleurait des larmes de crocodile car elle disait que tous la trahissait, qu’elle faisait ce qu’elle pouvait, dam la pôvre, c’est qu’elle peut peu, chacun ses compétences et elle, elle en a pas, dans la bagarre elle s’est pris trois mandales et elle couinait « je suis la présidente, j’veux qu’on m’respecte, qu’on m’respecte… » qu’elle répétait en pleurnichant mais personne ne l’écoutait et personne ne la respectait car présidente ! ses jours sont comptés…la bande des fauvettes rigolait et les mésanges et les bergeronnettes y’avais que les vieilles pies et les sales corbeaux qui riaient jaune, même la grosse oie dodue en passe de se transformer en foie gras se demandait si elle devait trahir tout de suite et raccrocher ses plumes à un autre wagon, mais là, c’est chacun pour soi et sa tronche pour rester au Machin nous on en fait du papier mâché pour nos p’tites déjections, en somme on lui chie sur la tronche . Dans ses noirs enfers, entre deux douloureuses grillades, Croacroa se morfondait car il aurait bien voulu être là, plus c’est minable, plus ça lui ressemble et plus il pourrait déverser sa bave nauséabonde mais Satan lui avait pas donné congé, y’sconsolait car il avait son copain l’ectoplasme ressorti dont ne sait où en observateur et puis ses vieux copains, la grôôôôsse buse obtuse et l’oiseau qui cause,le CD ambulant, qui ne fait rien que des moulinets avec ses ailes vous savez qui…Certains pensent que Croacroa c’est d e l’histoire ancienne , y’en a même qui pensent qu’il est mort, lui qui rigole de la mort des autres : c’est tout comme, car qui sème le vent récolte la tempête et Satan le Rouge, il aime ça, c’est son plat quotidien !!!
Sur un air de rap bien connu
Titre : Vol au-dessus du Machin par un oiseau-rappeur connu des spécialistes es/rap
J’v’olais au-dessus du nid d’coucous
Coucous c’est pas tout à fait ça
ça r’semble plutôt à un nid d’cobras
Ça siffle, ça piaille, ça tape, ça rasemotte
J’me dis où c’est qu’ta mis caisse ici ça va cramer
alors j’bouge mes miches côté GDN
au moins ça m’bote
pour la prochaine, j’ai répéré l’truc
j’me radinerais avec mes cems à moi
et on l’les f’ra à la moulinette
ça les apprendra à essayer d’nous imiter
nous on aime pas ça, on est des keufs dans n’t métier …
Et c’te merde là on en veut pas…
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