lundi 15 septembre 2008
ILS SONT DE RETOUR
Moi j’ai voulu passer un bel été d’oiseau, dans les airs, dans les arbres, à voler, à chanter, à rigoler avec les copains, c'est-à-dire en d’autres mots que j’ai fui le cloaque du CA de la Société Protectrice des Abrutis, ce Machin à déconner, ce haut-lieu de l’encéphalogramme plat où je les retrouve tous, un cauchemar…Tiens voilà le chien-chien à Croacroa, toujours aussi sonore avec ses deux pois chiches qui se battent en duel en guise de cerveau, tiens voilà la romano, la vieille touchetouche dodelinant du chef et toujours en retard d’une bataille( c’est pas grave, c’est nul de toute façon), la viocque pie voleuse, arcboutée sur sa quincaillerie volée, « c’est à moi, c’est à moi » crie-t-elle de temps en temps remontée comme une horloge suisse, puis ya l’horrible méchante mégère MM qui se donne l’illusion d’être quelque chose alors qu’elle est rien de rien, juste une fiente d’oiseau mouche, perchée sur ses échasses, son bec rejoignant le menton, j’la vois bien en sorcière, un balai entre les jambes…Mais ya aussi enfin la big one, la tchatcheuse de supermarché qui essaye de vendre sa camelote, ça j’peux dire qu’elle fait rigoler tout le monde mais sa camelote, c’est toi et moi qui la donnons pour les p’tits abandonnés et ben elle, vous savez c’quelle en fait, elle la file à Bouiboui le roi des nids qui fait tous nos nids au prix fort, des nids comme des bouibouis, affreux !. Hein qui c’est qui s’en met dans la poche au passage ? Devinez ? C’te pov’ perruche de tchatcheuse elle nous fout sur le flan, faut pas la renvoyer au CA, renvoyez-là là où elle devrait être à s’occuper de son zosiau à elle qui, abandonné, pleure au nid, mauvaise mère, mauvaise tout en somme. Ah mais voilà aussi mon copain le glabre croque-mort, le maffieu tous azimuts, celui qui confond son nid et celui des copains, qui trame de sinistres histoires sous son crâne pelé…voleur, menteur, méchant, sadique, cynique, envoyez-le au trou chez les vautours qui s’occuperont de lui laver le cerveau à l’eau de javel, il en ressortirait tout blanc, tout blanc, pas blême, il l’est déjà…Et je vois celle qui roucoule comme une viole de gambe, elle sert à quoi celle-là, j’vous jure la moitié de ça est à virer, du balai. Mais voilà la rapineuse en titre, celle qui s’prend pour Miss Oiseau, la dinde dodue Poc-Poc qui joue les suffragettes dans les bras du sinistre Croacroa de retour sur Terre après la friture d e l’été- j’parie qu’elle le prend pour un mecton en lui montrant ses affutiaux…elle sait pas qu’il aime pas la femelle mais le mââââââle…y sent encore l’huile rance, le rance c’est son parfum favori, mais il est partout et…qui se ressemble s’assemble. Y’avait aussi Touchetouche la barriolée toujours enamourée de Croacroa et pantelante d’amour à ses pieds. Du beau monde en somme ! Jetez –moi tout ça à la poubelle, ils sont tous out, mettez-les out pour de bon. Sortez les sortants .Tous ou presque. Eh ben ce serait œuvre de salubrité publique, alors comme avant on pourrait s’occuper que de nos petits pauvres, nos moineaux en voie de disparition prochaine, surtout si l’hiver est rude car ces bons à rien zon tout dilapidé…Demandez au glabre croque-mort le sinistre mec bidon, y’s’refuse rien le pépère, les bons nids douillés en week end aux frais de qui ? de vous pardi ! Alors soyez malin, plus malins qu’eux, écoutez pas leurs sornettes, débarquez-les, envoyez-les s’faire f…
Et parce que les oiseaux ça chante, n’oubliez pas les bonnes habitudes, chantez en zazou, en zoulou, en coucou et en cocus(ce que vous êtes en leur filant vos plus belles graines…). Chantez sur l’air d’une vieille cantine de vendanges, c’est le moment et les oiseaux ça picore sec les raisins.
Ils sont de retour les zosiaux
Y sont de retour
Ils ont volé les raisins, ils ont chié sur les pépins
Si cette chanson les emm…merdemerdemerde
mardi 8 avril 2008
Ah! les belles retrouvailles
Vous z ‘avez pu le constater, je suis allé passer l’hiver au soleil, dame je suis un migrateur, et là-bas j’ai plein de copains, des gentils oiseaux, des chanteurs et siffleurs qui vous radoubent les esgourdes après les couacs du Conseil des Abrutis toute l’année même les jours de fête(comme ils n’ont rien à faire y font du rab) et puis hum j’avais besoin d’air frais car quand tu marines dans la puanteur du Machin caca boudin de la société des abrutis, tu finis par cocoter autant qu’eux. C’est que tous ces pourris y sentent pas la rose…les malversations par ci, les voleries par là qui s’entassent dans les poches de kangourou de la pie voleuse et de ses larbins, ben ça pue. Du Nord au Sud, elle opère en secret, y’en avait plein les poubelles, sous les tables, au fond des nids dans la maison, à jamais vidée maintenant. Ah la pie voleuse, la blinbling comme on dit chez les deux pattes, qui ramasse tout ce qui brille même qu’elle a voulu chiper la quincaillerie de carotte Vichy au jabot emplumé qu’en porte plus, de quincaillerie car le jabot il a, z’avez noté, ben c’est que la vioque pie, elle voulait lui chiper et pourtant c’était à gerber de mauvais goût. Ben s’en fout, la vieille pie voleuse, ça brillait c’était bon pour sa pomme. Carotte Vichy qui vit au rabais de quelques épluchures de carotte, y rêve que de se tirer avec nos p’tites graines, en puisant dans le sac, tout bénef, tous frais payés et y joue les moi j’sais tout, j’cause british et l’tintouin. Ya que lui qui y croît. Même la baudruche, la pie tchacheuse de super marché qui l’jour du Machin joue la Castafiore en chantant faux, elle croît qu’en elle, pas en lui. C’te Castafiore fêlée, elle me casse les oreilles avec sa flûte de crécelle déjà le filet de voix c’est insupportable, ce qu’elle dit c’est carrément stupide. Y paraît qui y’en a eu de belles, qu’on m’a raconté. Elle s’est prise de bec avec le serin qui lui serine que dalle car y peut pas la blairer et pan sans l’avertir elle lui a balancé sur le bec le ramassis de ses détritus qu’elle destinait aux pauvre zosiaux des champs car comme y’a carence de matières premières elle se garde le bon grain et les pôv’mec il leur reste que les épluchures. Le serin y l’en revenait pas, c’quelle est grossière cette vilaine pie tchacheuse, qui tchache pour ne rien dire d’intelligent car à vrai dire c’est une idiote sans tête comme les alouettes. Elle a du être élevée par Croacroa car elle est aussi mal embouchée. Ah les temps sont durs au Machin et tourne manège, encore un coup y’a des p’tits nouveaux qui vont se pointer : tout ça, ça a les chocottes et le trou de balle qui y passerait pas un épingle car c’est sur la touche, ç’est déjà sorti du Machin ; OUT ! y’a la dinde dodue à la cuisse légère en mal de rossignol chanteur, dame y zon tous mal à la gorge à force de lui jouer la sérénade : le héron est devenu aphone mais tout de même tourne et retourne son plumage au point qu’on sait plus la couleur : hier c’était vert de gris, aujourd’hui c’est jaune canari, pour sûr ça va finir rouge sang ; la Baudruche a beau se gonfler comme son nom l’indique, elle aura du mal à vanter son bilan car 0+0 ya pas à dire ça fait toujours 0 ; ya la vieille pie voleuse qui raconte ses sornettes, la honte en costume queue de pie, agitant son chef branlant à la plume frisotée car elle croît que c’est encore la mode, dame , elle date de Mathusalem, « moi j’suis une femme honnête, j’ai volé que ce qui appartenait à la Société des Abrutis, c’est à tout le monde non ? Et puis maintenant mon nid il est tout brillant, na ! Et venez me le prendre j’ai bec et ongle, qu’on se le dise ! ». Elle joue le grand air du troisième acte, scène deux. Crucial !Ca c’est vrai, bec, ongle, tchache et mauvaises manières et quand je pense qui y’en a pour l’envoyer au Machin, ceux-là, sûr, y sont aussi malhonnêtes qu’elle qu’à rien fait d’autre que de voler et de la ramener pour faire croire qu’elle faisait quelque chose ; y’en a qui remballent pour cause de vieillerie, elle dormira tout son sou la vieille corneille, la retraite ça a du bon quand on les a eu sur le râble pendant un bout de temps ; y’a la copine du gendarme gris, un corbeau, celui qui cause avec la grosse voix, d’la voix elle en a aussi celle-là une autre pie tchacheuse, que quand elle cause moi j’pige que couic, elle raconte, elle s’écoute, elle…waouh, j’ai les portugaises ensablées. Elle s’y verrait bien à la place de la Baudruche, eh, ben y’aurait du sport, j’demande une place au premier rang pour profiter du spectacle, déjà qu’y vole bas,y’aurait du rase-motte. Quand j’vois la brochette de trognes dans la lettre où y t’cause pour te raconter des sornettes, j’ai envie de gerber et quand tu les connais alors c’est pire encore tant le QI il est faible, y clignote à peine surtout quand il arrive sur la citrouille de chien de Croacroa, le triste corbeau à deux neurones, là comme la flamme olympique y s’éteint et pour le rallumer y’a pas grand-chose, MM et ses hublots de paquebot, rien à faire, la dinde dodue, idem , la pôv Gegeo les belles mirettes, c’est désespérant, le corbeau moreno ça clapote dans l’marigot, touche-touche la barriolée ronflant, ça gargouille,tu fais l’tour rien à faire heureusement qu’ya l’électricité dans le gourbis : la lumière vient du ciel comme toujours. Et notre bon vieux Croacroa dans tout cela où c’est qu’il crèche, toujours chez le diable velu, retourné comme les crêpes par les petits diablotins au pied fourchu pour mieux lui botter le c… qui, comme vous le savez il a sensible ? Depuis qu’on l’a vu obèse et rembourré des biceps avec ces choses rondes sur ses yeux méchants en bouton de jaquette (celle qu’il a prise aux élections…)il a disparu de notre ciel. Ouf ! ouf ! ouf . Moi j’sais qu’il en a pris un coup, non seulement de vieux mais un coup de…certains disent qu’il s’est fait embroché de la tête au c… mais c’est pas nouveau et qui s’tient à carreau ; d’autres racontent qu’il a pris un méchant virus en fréquentant un migrateur qu’avait la grippe aviaire, bref on attend un communiqué des Enfers…pour crier : Wouahou !!!Piouupioupiou, cuicuicui, touhuittouhou, touhuit, touhou, hou, hou, hou comme dit le hibou. Moi, j’suis plus en plus écoeuré, c’te maison on ne parlait que d’elle du temps du serin, de la mésange, des fauvettes, président et vice ça avait du répondant, maintenant, tu tends l’oreille c’est le silence tous azimuts, ça fait rigoler les autres mais ça aide pas les p’tits zosiaux. Pendant ce temps-là le monde tourne sans eux. De profundis !
jeudi 13 décembre 2007
La pie voleuse va rendre gorge
La pie voleuse va rendre gorge
La vieille pie voleuse a du souci à se faire, jusqu'ici elle entassait ses richesses dans son nid plein au ras bord de toutes ses voleries depuis des millénaires et y'en avait et y'en avait même que depuis qu'elle était revenue chez nous j'veux dire au Machin elle en entassait encore plus et plus et plus, elle se filait sous la table et ramassait tout ce qui tombait, il fallait la retenir par les plumes de la queue et la secouer pour qu'elle rende ce qu'elle volait, un peigne au glabre, un ergot pointu à la Méchante Mégère, une nuisette à troutrou à Pocpoc la bécassine…la baudruche qu'à un caractère de cochon, elle en a eu marre et lui a envoyé à domicile le chef des gendarmes merles gris, celui qui est bourru et malotrus…comme elle « hé, qu'il lui a dit, tu me rends tout ce que t'as volé vieille chouette » « houhouhou » s'écrie la chouette de son arbre, c'est pas une chouette, elle nous déshonorerait c'est une sale pie voleuse et méchante ». On s'en fout, c'que j'veux c'est qu'elle déballe ses voleries et tout ce qu'elle a pris depuis des millénaires de pie ». Et de l'empoigner comme un vieux sac. Gnagnagna gnagna,elle perd ses dents de rage gnagnagna, lâche-moi, affreux jojo ». J'm'appelle pas Jojo mais Merlo et Merlolui balance un marron d'Inde qui fait splash, dame c'est du mou…. « . Ta gueule ! » Et il lui file un autre marron pas d'Inde cette fois, qui l'assomme d'un coup. Ouf ! Furieuse la vieille pie quand elle apprend ça alors qu'elle posait son auguste popotin au CA, fière comme Artaban, elle se jette sur sa voisine la plus proche au hasard, pas de pot, c'est Geogeo les belles mirettes, une pauvre vieille pie un peu passée et même trépassée qui n'y est pour rien et qui se met à hurler comme si on la violait ce qui hélas n'a pas du lui arriver depuis des lustres : « snif, snif, snif, j'ai rien fait moi j'sais même pas d'quoi on cause dans ce Machin, pourquoi qu'me cogne c'te vieille pie, moi j'en ai marre »…Bordel général, la pie voleuse elle a de la voix comme toutes les pies. Et voilà ti pas que la « Percée » qu'est copine comme cochon avec le glabre surtout au plumard, elle se met à crier pour protéger la vieille pie voleuse ; entre voleuse ça se soutient, elle qu'à volé plein de graines, oui mes amis zosiaux, des sacs entiers, dans sa souillarde. De plus on sait qu'elle est percée des esgourdes mais aussi du citron. La cervelle manque dans sa totalité c'est le doc le Grand Choucas qui l'a dit, même qu'il avait mis ses grosses lunettes pour y voir de plus prés mais rien à faire, ya juste un trou béant, et ça béait sec. Y manquait plus que c'te guenon au Machin. Oh ! pardon j'insulte les grands singes, quand j' l'appelle guenon, c'est qu'elle leur ressemble côté esthétique, pas intelligence évidemment car les singes sont supérieurs, rien à redire à cette évidence. Elle fait la paire avec le glabre. Décidément, ça s'arrange pas au machin, moi j'sens venir la fin. Vivement qu'on rigole un peu… Moi je rêve mais je sens que ça vient : la pie voleuse et la baudruche gonflée comme une autre, au gnouf, le glabre aux Pompes Funèbres , la viole de gambe qui joue faux au bordel ça peut toujours servir en cas de disette…pour jouer de la musique évidemment à quoi pensez-vous ? La haquenée percée, pas grand-chose à en faire on la laissera avec le glabre jusqu'à la fin de ses jour, à eux d'eux ils on t la gueule de l'emploi, et la pocpocplouf, eh ben plouf, aux oubliettes, j'en connais des chouettes, première catégorie, au choix : partager la cellule avec le héron vert de gris, le plumard avec l'ectoplasme poële à frire bisquebisquerage qui préférerait Croacroa même en brochette. Moi je jouerai à qui mangera l'autre ? Le béribéri en Afrique au garde à vous chez les singes ses supérieurs qui lui referont le mental pour le rendre moins prétentieux, « non c'est pas moi c'est ma sœur qu'à cassé lazgueule à baba… » ; la carotte Vichy chez les chinois à apprendre le mandarin entre deux épandages de m…,recyclage qui disent et puis tous au fond à l'épandage sans oublier la vieille corneille, toujours à touche-touche avec le dernier qui cause mais qui s'oublie derrière les rideaux, dame elle radote…J'ai fait un rêve mais il faut que je me réveille car ça sent le faisandé et comme j'ai pas envie d'les regarder s'entretuer, je prends mon envol avec le Père Noël en souhaitant à mes pov'zosiaux de partout une prompte délivrance de cet appendice malsain que l'on appelle comment déjà ? Ha oui le CA ! Faîtes comme moi, tirez-vous à tire d'aile . Sur un air bien connu et comme d'hab :
Chantez
Il est cinq heures, les Abrutis s'réveillent,
ils se sont entretués toute la nuit
ya des macchabées sur le plancher
hélas ils ne sont que blessés
ça crie, ça piaille, ça jacte,
ça gadrouille notre magot
Faudrait prendre la mitraillette
Et nettoyer l'plancher
On pourrait pas même en faire du pâté
Car en bouffer, c'est s'condamner…
La lalalaala-troulala-itou, lalalalala-itou-trou-lala…c'est fou !
dimanche 2 décembre 2007
L OBESE ET SA BANDE DE TARES, CA CONTINU.....
Quand Satan ramasse ses proies pour l’éternité, il en prend soin, il les bichonne aux petits oignons, il les engraisse pour mieux les essorer à petit feu ; c’est exactement ce qui arrive à notre affreux Croacroa. Je l’ai aperçu l’autre jour volant bas, c'est-à-dire essayant de se rendre intéressant sans y parvenir en croassant pour la cantonade dans un de ces jeux stupides devant un écran où il s’est planté devant la commisération des gros oiseaux présents. Hihihihihihi…la claque, car il n’est ni malin, ni intéressant ni intelligent. Eh ben vous le croirez si vous voulez je l’ai pas reconnu. Obèse il est, triple jabot bien goîtré, la plume courte et rare, elle brûle et tombe dans les abîmes diaboliques, l’œil torve et cerclé de choses rondes qui lui faisait l’œil idiot. A faire peur au coin d’un bois d’ailleurs pas besoin de coin de bois demandez aux fauvettes, il te les a harponné méchamment …mais sans témoin dame les témoins ça cause, lui c'est un lâche qui opère dans l'ombre et l'anonymat. Pauvre mec raté, ratiboisé, il avait bien essayé à la demande de Satan de s’faire une petite gloire en cachant ses antécédents douteux, manque de pot pour lui mais pas pour les autres, il a fait rigoler la galerie car battu à plates coutures, il s’est trouvé le manteau big size pour les grands froids. Pôv mec !Sauf que chez Satan le bronzé ça lui sert à rien car côté frimas ça chaufferait plutôt à en sentir le roussi. Moi j’le plaindrai presque, imaginez si Satan le bouffe pas et il le bouffe pas car il sent trop mauvais personne n’en veut pas chez les OS diablotins aux longues queues…mais pas pour lui hum…, oui, imaginez la chose vieillissante, la plume blanchie et de plus en plus rare, la queue pendante et rabougrie, les mirettes opaques, le teint cireux, et le quadruple, quintuple jabot…Obèse! Les corbeaux que voulez –vous ça aime la charogne, ça peut pas s’en passer, ça se vautre dedans et si y’en a pas quest’ce’ que ça fait…hein p’têt ben que ça crève. Chouette alors !!! Y m’a fait penser à une chanson qui dit
Les notaires c’est comme les cochons plus ça devient gros
Les notaires c’est comme les cochons plus ça devient vieux plus ça devient con
Moi j’dirai
Les corbeaux c’est comme les cochons et ainsi de suite….Non ?
Ah à propos vous savez le bruit que fait courir ce sale corbeau de Croacroa, il dit qu’il est devenu méchant à cause de sa mère qui lui embrochait les côtelettes avec un couteau. Ya vraiment de quoi mourir de rire comme dans les films d’horreur, plus vrai que nature ! Comme quoi il a reçu l’héritage cinq sur cinq car la vieille était une fêlée et lui il a gagné la timbale, farci comme il est, j’en viens à plaindre les petits démons que le grand rouge met au tournebroche. Mais il croasse n’importe quoi et il voudrait nous faire prendre des vessies pour des lanternes. N’empêche que moi j’crois vraiment qu’il est malade, bouffi comme ça, c’est de la mauvaise graisse ! Côté satanique, le glabre, marqué de la main rouge, le glabre lui fait concurrence. Ce diabolique canard boiteux qui s’prend pour un redresseur de tort lui qui s’tord sous les torts et qui en trimballe en cascade, ne sait plus où donner du bec dans sa grande malveillance et il s’en prend à tout le monde : « Eh toi le ceci, toi le cela et pan t’as fait ci t’as fait ça, à la moulinette et dont acte. I s’ prend pour la succursale du palais de justice des vautours qui le prennent pour un malade. Mais les malades du ciboulot ça fait illusion, ça rameute le banc et l’arrière –banc des tarés toujours près à dénigrer les copains. Ca lui remonte le moral qu’il avait dans les chaussettes avant d’arriver dans le repaire du Machin, à la recherche de la moindre poubelle ; Au moins là maintenant il s’assure de ses petites graines quotidiennes, il s’en empiffre même et y’voudrait bien amener à la table ouverte sa vilaine copine de nid, aussi teigneuse que lui. Eh ben…y’a vraiment du beau monde dans ce repaire, la baudruche elle a réussi à rester la présidente mais elle es t flanquée de la dinde dodue au gros c…qui se dandine en vice, plus bête t’as beau l’imiter tu y’arrives pas, plus teigneuse non plus : c’est celle qui pique le boulot qu’ont fait les copains et qui dit entre deux sauteries nocturnes de pattes en l’air « c’est moâ qui l’a fait ». plus nulle y’a pas. Enfin tout ça va bientôt se bouffer le nez, comme nid de vipères tu fais pas mieux. Y’ a aussi les p’tits nouveaux qui joue les initiés beriberi c’est quoi comme maladie brrrr, saleté ! Et la viole de gambe en solo ça joue faux quand ça essaye de jouer mais vaut mieux s’b oucher les esgourdes question de survie. La MM, vous connaissez n’tre vieille copine aux hublots qui lui bouffent sa vilaine trogne eh bien celle-là elle a copiné avec ceux qui s’font calciner au Temple du Soleil. Oui elle en a mis plein ses poches car elle les a ratissés juste avant et elle elle a sauvé ses vieilles plumes. « Amène tes petites graines mon coco aprés t’iras au ciel ». C’est sa technique, elle a déjà impôsé le coipain de son corbeau d emari un dénommé de la quelque chose. Conflit d’intérêt : c’est pas comme ça que ça s’appelle quand on gratifie ses potes juteusement ! C’est la reine des voyous, la voleuse 3 D. Belle équipe ! On s’demande comment on a pu trouver de pareilles cloportes, un tel ramassis de génies, même avec les p’tites annonces ça le fait pas. J’ai appris aussi que la vilaine oie coincoin avait été renvoyée jouer dans sa cour de ferme et qu’elle sera bientôt mûre pour le foie gras, car mûre elle l’est de toute façon. Et puis n'oublions pas la vieille pie voleuse toujours présente au poste, plus voleuse que jamais, plus méchante que jamais plus gibier de potence que jamais, elle s'nourrit tant qu'elle eput aux frais de la maison, c'est toujours cela d e pris dans la poche des copains. Ah la belle brochette!Ah je vous jure j’ai plus envie d’pleurer que d’rigoler et plains surtout nos pov’moineaux qui eux ne seront pas à la noce. Et de profundis pour la société des paumés amortis !Amen !Je les voue aux Enfers où ils fi niront tous. Satan me l'a dit un jour en rigolant à gorge déployée.Il se promet surtout le glabre, la baudruche gonflée à mort et la vieille MM, du Temple du Soleil, mais ne crachera pas sur la dinde dodue, l'oie coincoin, le chien chien de Croacroa, à deux neurones. B on appétit ya de quoi te faire vomir ou pire t'empoisonner. Un vrai cyanure ce Machin où y s'rencontrent pour tout casser y compris leurs sales tronches!
jeudi 11 octobre 2007
Quand on est un oiseau....
Quand on est un oiseau, on vole là-haut
Où c’est encore plus beau
Où ya pas d’baudruche qui déconne,
De glabre à l’œil torve
De magouilles de pie voleuse
Qui fauche les pov’zosiaux,
Pas fauchée la viocque
Ya ca voir son nid perché, de brillants truffé
Ah si tous les oiseaux y pouvaient voler plus haut
Mais ya ceux qui aiment la fange et le purin
Ya ceux qui volent bas
Comme le chienchien à 2 pois chiches, méchant et goujat
Un vrai cancrelat qui sort des égouts
Le héron et la dinde dodue et tant de pauvres minables
Qui savent pas même que le ciel existe…
Moi je préfère là-haut où ya que de s petits oiseaux
Qui chantent en chœur
« Quand on est un oiseau, on vole là-haut
Où c’est encore plus beau…. »
mardi 18 septembre 2007
OUF!
Ouf, loin de l’air vicié du Machin
Je suis allé me refaire un peu les plumes, celles de mon manteau lissé et brillant et en même temps je n’ai pas manqué d’acérer celle avec laquelle je vous livre mes tristes pensées. Car ça pue vraiment la-dedans, la-dedans c’est le Machin vous avez deviné, ça sent l’air vicié, le cloaque, le remugle, l’égout, ça pue ce que c’est. Pour un oiseau qui vole haut et libre dans l’air pur, ce cloaque c’est la mort, l’asphyxie, le rase-motte de la connerie organisée. Car mais oui, c’est à la mort que nous convie cette sale petite pie tchatcheuse, toujours aussi bavarde, aussi prétentieuse, aussi nulle, bref, plus baudruche que jamais. Moi j’arrive pas à la prendre au sérieux, c’est comme dans les mauvais films comiques, on se dit qu’est-ce qu’ils vont bien pouvoir inventer au chapitre du grotesque pour amuser la galerie qui rie jaune car ce n’est jamais drôle. Que voulez vous, même les pitres ça fait pas recette. Comment rigoler aux piapiapia de la vieille pie voleuse plus voleuse que jamais, la honte habillée en plumes de pie que l’on garde et que l’on couve tandis qu’elle plume nos zosiaux à coups de larmes de crocodile. « Ah le pôvre petit, ah le pôvre chéri, ah le malheureux p’tit zosiau », aboulez, et vlan dans sa poche de kangourou ! Rigoler avec carottes Vichy et ses plumes autour du bec, avide de médailles en graines de sésame pour se donner l’illusion d’exister lui qui n’existe pas, rigoler avec la dinde dodue roucoulante et toujours en transes entre deux séances plumard, sauf le métropoliplume qui ne lui est pas encore passé dessus ? Plumard oui, douillet de plumes s’entend, honni soit qui mal y pense ! Rigoler avec l’horrible mégère, la vieille pie aux hublots, Méchante Mégère, M la Maudite qui récupère pour son nid de vipères les dons faits aux zosiaux des champs, les miséreux de nos campagnes qui se gèlent les papattes pendant le froid hiver : laide, vicieuse, idiote, incompétente, vantarde, enflée comme une outre de sa crasse, elle te fait gerber rien qu’en la regardant. Rigoler avec le minable héron qui change de plumage tous les quart d’heure et fait prendre à tous des vessies pour des lanternes tandis qu’il se pare des plumes du paon, les bijoux aussi il les aime tellement qu’il les stocke c’est plus fort que lui. « Hum ça brille, c’est beau, c’est pour ma pomme, couaccouac, glouglou, couac « !. « Non qu’elle dit la pie voleuse, c’est pour la mienne » et de s’envoyer des coups de bec, des coups de pattes « piapiapiacloccloccouacouarecoua Incompréhensible ! « C’est ma couronne » dit le héron, c’est à moi dit la vieille pie voleuse qui s’y connaît en vols, pas dans les arbres, dans sa poche et dans son nid. ». « Vieille chouette » qui lui balance ! « J’suis une pie pas une chouette, vieux hibou » ! qu’elle lui répond. Comme vous voyez ça vole haut ! Et les plumes de voler ! Haut les cœurs, y’a plus qu’eux en hauteur ! Quelle bagarre, que de plumes qui volent et les bijoux la-dedans ? Où qui sont hein ? Au cou de la dinde dodue qui partouze avec le héron vert de gris, passé, trépassé ! Hahahahaha… ah ! Wou !Rigoler avec la sale pie vicieuse l’ex Val d’Orge à l’affût de tout ce qui peut lui donner des ailes en attendant qu’on les lui coupe « rasibus ». Toujours prête à trahir quand elle voit d’où vient le vent, auteur de blogs aussi puant qu’elle fausse sainte nitouche, laissée pour compte avec 800 voix…c’est vous dire comme on l’aime. Attention la tchatcheuse, elle prépare ses couteaux pour t’écharper le moment venu. Jure qu’elle trouvera des charmes au serin qui ne lui en trouve pas ! Rigoler avec le joyeux glabre, face de carême toujours hilare, messager d’outre-tombe comme s’il venait d’enterrer sa belle-mère, faux jeton comme pas deux , assassin en réserve, gare à ses couteaux, le diable veille, vous savez celui qui lui a mis la main rouge sur le front et malhonnête avec ça, se servant de ses piètres titres en peau de zibi pour parader et se faire des clients qu’il envoie dare-dare chez le croque-mort . Et y fait la promotion de sa vioque, une traitresse faisandée comme lui avec un be c qui lui traîne par terre oui c’est une chouette et de mauvais augure. Pour lui trouver du charme fau’ete maso , même au plumard, ouah quelle partouze de pattes en l’air ! Fatal ! Rigoler avec la grosse oie balourde qui adore ce qu’elle brûlait hier, la traîtresse du vaudeville le plus grotesque, se dandinant dans son cloaque, toujours en transfert de pois chiches ou de patates. Ah toi fais bien attention c’est le moment du foie gras, d’oie ! Rigoler avec le sinistre chienchien à deux pois chiches dont le citron est bouffé aux vers, benêt patenté dans un fourre-tout au QI =0, quand tu le vois tu te trisses à tire d’aîle. Rigoler quand on fait son boulot pour les p’tits miséreux et qu’on s’entend piailler aux oreilles pour 3 grains de riz alors que la pie voleuse se les fourre par poignées dans sa sous-ventrière de kangourou ! Rigoler avec cette bande de requins assoiffés de pouvoir qui n’a qu’un désir « pourvu que ça dure ! ». Ya ceux qui sortent, ceux-là on va s’en occuper lors du grand jour du jugement dernier où les premiers seront les derniers : c’est pas comme ça qu’on dit ? Dehors la vioque MM, le héron au long bec, la crécelle de Jojo La touffe, dehors le tocard aux grandes pattes avide et prête à ramasser tout ce qui pourrait lui tomber dans le bec en balourdant les autres, sans pitié cette sauterelle aux pattes grêles qui bouffe que lorsque c’est nous qu’on paye ! Tout ça ça se repaît de nos oboles. Mais les autres ne perdent rien pour attendre, ils ont pourri notre grand nid, ils ont plumé les oiseaux gentils et sérieux, ils ont dilapidé nos greniers à grains. A la lanterne, c’est les soirs du grand soir. Un bon coup de balai, on ira chercher les sorcières qui en ont toujours en réserve et on plumera la volaille comme dans les contes, les méchants au cul de basse fosse pour l’éternité avec Croacroa ravi de récupérer ses petits amis en attendant de tous les rouler dans la farine? Non dans la fiente d’oiseau bien entendu, et De Profundis sans honneur et sans gloire ! Ouf je me sens déjà mal, c’est l’asphyxie, vite que je regagne les cimes…Qu’est-ce que ça pue là-dedans !Ca sent pas la giroflée…Le glabre il proclame déjà partout qu’ils vont gagner ça veut dire quoi mon déplumé ? Que tu fausses les résultats dans ton sale Machin avec ta remplumée au programme. T’en est bien capable car t’es un sale vicieux. On t’a à l’œil va…et gare à ta peau. Ah dans l’affaire on allait oublier de donner des nouvelles du sale méchant corbeau Croacroa. Des nouvelles, faisandées bien entendu car entre deux marinades,il croasse…surtout depuis que malgré les manigances sataniques électorales il s’est payé une veste maxi, un manteau de plumes big size de quoi lui donner la mesure d e l’intérêt qu’on lui porte, la mesure de sa nullité éternelle et consacrée. Mais plus il en prend sur le bec plus il est content que voulez-vous c’est un malade, un schizo, un maso…Croacroacroacroa et patati et patata. On m’a raconté qu’il avait changé de crémerie car là où il avait son ancien nid on l’a jeté hors et le coucou après l’avoir bien nettoyé s’y est installé avec armes et bagages, ainsi Croacroa va lors de ses passages hors Enfer aller pourrir la vie d’autres pauvres innocents et bouffer les petits oisillons dont il se délecte…Pouah ! Et de plus son ectoplasme a repris du service malgré les couleuvres que l’autre lui fait avaler et il lui fait infiltrer le grand nid où la concierge en chef, vous savez celui qui fait des moulinets avec ses aîles et ne brasse que de l’air, vicié ; bien entendu eh ben il lui raconte tout à l’oreille, eh ce qu’on s’aime tout de même ! Moi comme beaucoup d’autres je rêve du jour où Satan n’aura plus besoin des services de Croacroa l’ignoble et le croquera pour de bon. J’imagine…« Miammiammiam . Oh ce que ce moche corbeau est dur à cuire et à becqueter. C’est de la vieille carne que vous me servez là les diablotins…ronchonne-t-il, de quoi s’empoisonner… » C’est normal répondent les diablotins ça fait 40 ans qu’il empoisonne la gent oiseau, les humains et même l’Enfer…Ahahahahahahahahahah (rires sataniques).Mais dîtes donc, il a bien mauvaise mine ce sale méchant corbeau, il est jaune livide et tout fripé, c’est grave docteur Choucas. Ouais, ouais, opine le vieux Choucas, gravissime, une maladie grâââââââââve, y s’en relèvera pas, y sera pas même comestible pour l’Enfer, ne l’approchez pas, la connerie, c’est contagieux…con à vie, la maboulerie c’est à vie et plus tu devient vieux plus tu devienbs con et maboul. Oh là là…. ! Gravissime ajoute-t-il en tournant les talons, le bec dans ses plumes pour éviter la contagion, GRAVISSIME ! Satan croquera, croquera pas ? La suite au prochain numéro…
Machin, drapeau en berne!
Drapeau en berne car le Machin de la Baudruche, du glabre, de la Méchante Mégère dite Mimi la bigleuse, de carottes Vichy le plumeux, du chien- chien de Croacroa à deux pois chiches toc-toc, du héron traître aux deux têtes de lard un jour oui un jour non, eh ben ouais il a du plomb dans l’aile car vous n’allez pas braves gens renvoyer au Machin pour vous nuire la MM méchante mégère aux gros hublots, voleuse, hargneuse, idiote malgré ses prétentions arborées sur son CV tout faux…allez vérifier, des preuves, des preuves, moi je n’ai que celle des tas de grains qu’elle nous a fauchés pour les donner à son vieux hibou de mari alors quelle vit de pois chiches, chiches et qu’elle mange qu’à nos frais la grosse ; ni le cuistre héron qui s’écoute roucouler comme un pigeon alors qu’il nous chante des litanies de sa voix éraillée pour nous endormir ; envoyez des zosiaux sérieux, demandez au serin, aux fauvettes…Ce qui m’étonne c’est que plus c’est pourri, plus c’est fauché, plus ça s’radine pour venir au grand nid aux frais de la princesse : 4 jours, 2 fois par mois, en goguette, tous frais payés, y’a des amateurs, c’est des vacances gratos pour des nuls sans petites réserves de biens dans leurs propres nids, moi je paye pas pour ça, j’paye pour les pauvres errants qu’on envoie à l’abattoir parce que des petites graines y’en a pour tous ces paumés et y’en a pas pour eux : c’est de l’anti-protection, c’est la faillite de la mission. C’est la honte. Et ça ose mettre son grain de sel partout là où on fait le bien pour dire que c’est pas comme ça, qui faut payer pour la vieille pie voleuse qui présente des factures démesurées, payer pour les nuls qui vont se goberger à nos frais, vacances tout payé comme si ces zosiaux là y bouffaient pas chez eux aussi. Moi je dis supprimez tout ça vous verrez qu’y aura moins de pékins sur les listes car de plus y font rien, rien ? Non y cassent tout, y revoient tout le monde y sont bêtes et méchants, y bagarrent tout le monde, y sèment la zizanie et moi je dis « qui sème le vent récolte la tempête… », la tempête j’vous dis pas comment je l’ai vécue l’autre jour, je baladais tranquille en vol plané au-dessus du Machin quand j’entendis des piaillements d’orfraie à vous en casser les portugaises. J’me pose juste en face pour voir le spectacle : Hahahahahahahaha ! j’en suis plié de rire…vous devinerez pas…une bataille de becs et de plumes et ça volait …très très bas : le héron cherchait la sortie comme d’habitude pour mettre les bouts au cas où, toujours courageux mais le serin bien que plus petit lui arrache trois plumes du cou et te le ramène sur le ring où il retrouve Geogeo la touffe, hérissée et hagarde criant de sa voix de surette « mais qu’est-ce qui se passe ici pourquoi ça piaille comme ça », un coup d’aile sur le bec et la voilà qui se ramasse sur la grosse Méchante mégère aux hublots qui piaille « au viol », la pauvre comme y’a longtemps que ça lui ai pas arrivé, elle confond, claque et… claque(bordel). Moi pas ,car c’est vraiment le claque…La dinde dodue cherche le mâle qui fuit, il préfère s’la taper dans les plumards payés par la Société Protectrice des Abrutis donc par nous…et se résigne en réclamant la presse, n’importe quoi pour qu’on parle d’elle, les people,c’est si beau et si intelligent, dame qui se ressemble s’assemble ! ahahahahah !. Malheureusement ya que moi qui cause mal…d’elle et du reste car je vois de haut et de haut, ça paye !. Pouf, mais voilà que le glabre m’interpelle, il m’a dans le collimateur car comme on sait, il n’est pas clair…eh toi le journaliste de mes deux…encore avec plumes acérées pour raconter nos p’tites histoires. Pourquoi tu les racontes partout mon salaud, nous on aime pas ça, nos magouilles dégueu c’est juste pour les copains alors si tu continues à dégoiser on va te couper les ailes, dont acte (il adore…) ». Dis-donc facho que j’lui réponds, c’est Staline dans ton Machin depuis qu’té là avec la Baudruche et la vieille pie voleuse la fauchée condamnée qui fait la loi et toute ta bande de voyous, moi j’dis qu’on est en démocratie et la presse elle dit ce qu’elle voit et entend », je le vois qui s’décompose un peu plus car il est toujours décomposé au naturel et de sa voix flûtée en me regardant par en dessous comme d’hab « si tu couines de nos affaires j’te fais la peau… »Eh ! fils de Satan que j’lui réponds, essaie et j’convoque la presse, on te fait le souk à l’AG. Ça y craint, y tourne ses plumes et me présente son postérieur déplumé, alors j’hésite pas j’te lui en applique un coup super bien visé au trou du c… qui l’envoie gicler à trois mètres. Le temps qui s’ramasse et j’avais pris mon vol dans les cimes et j’rigolais, j’rigolais, vous savez les zosiaux y rigolent car ils sont libres, libres, libres…comme la presse. Après cette aventure on m’a raconté que la Baudruche elle pleurait des larmes de crocodile car elle disait que tous la trahissait, qu’elle faisait ce qu’elle pouvait, dam la pôvre, c’est qu’elle peut peu, chacun ses compétences et elle, elle en a pas, dans la bagarre elle s’est pris trois mandales et elle couinait « je suis la présidente, j’veux qu’on m’respecte, qu’on m’respecte… » qu’elle répétait en pleurnichant mais personne ne l’écoutait et personne ne la respectait car présidente ! ses jours sont comptés…la bande des fauvettes rigolait et les mésanges et les bergeronnettes y’avais que les vieilles pies et les sales corbeaux qui riaient jaune, même la grosse oie dodue en passe de se transformer en foie gras se demandait si elle devait trahir tout de suite et raccrocher ses plumes à un autre wagon, mais là, c’est chacun pour soi et sa tronche pour rester au Machin nous on en fait du papier mâché pour nos p’tites déjections, en somme on lui chie sur la tronche . Dans ses noirs enfers, entre deux douloureuses grillades, Croacroa se morfondait car il aurait bien voulu être là, plus c’est minable, plus ça lui ressemble et plus il pourrait déverser sa bave nauséabonde mais Satan lui avait pas donné congé, y’sconsolait car il avait son copain l’ectoplasme ressorti dont ne sait où en observateur et puis ses vieux copains, la grôôôôsse buse obtuse et l’oiseau qui cause,le CD ambulant, qui ne fait rien que des moulinets avec ses ailes vous savez qui…Certains pensent que Croacroa c’est d e l’histoire ancienne , y’en a même qui pensent qu’il est mort, lui qui rigole de la mort des autres : c’est tout comme, car qui sème le vent récolte la tempête et Satan le Rouge, il aime ça, c’est son plat quotidien !!!
Sur un air de rap bien connu
Titre : Vol au-dessus du Machin par un oiseau-rappeur connu des spécialistes es/rap
J’v’olais au-dessus du nid d’coucous
Coucous c’est pas tout à fait ça
ça r’semble plutôt à un nid d’cobras
Ça siffle, ça piaille, ça tape, ça rasemotte
J’me dis où c’est qu’ta mis caisse ici ça va cramer
alors j’bouge mes miches côté GDN
au moins ça m’bote
pour la prochaine, j’ai répéré l’truc
j’me radinerais avec mes cems à moi
et on l’les f’ra à la moulinette
ça les apprendra à essayer d’nous imiter
nous on aime pas ça, on est des keufs dans n’t métier …
Et c’te merde là on en veut pas…